La période de Noël associée au slasher a connu son succès (et son déclin) avec la saga Douce nuit, sanglante nuit . Il en résultait des productions inégales où chaque suite sombrait toujours un peu plus dans la nullité. S’il existe d’autres incursions similaires telles que Very Bad Santa , le genre et le contexte ne se prêtent guère à des films notables, mais à des productions au mieux généreuse...
Depuis que Timur Bekmambetov a ouvert la brèche il y a quelques années, avec Night Watch , le monde porte un regard nouveau sur le cinéma russe tandis que ce dernier ne se prive pas de lui faire de l'oeil, au monde, en cherchant à singer les blockbusters US, voire en marchant carrément sur leurs plates-bandes. Déluge d'effets spéciaux numériques, histoires ambitieuses et réalisations tapageuses,...
Sous forme d’histoires courtes ou de pulps, de nombreux récits horrifiques ont pu voir le jour dans le domaine des nouvelles ou de la bande dessinée. Au fil du XXe siècle, le format a été particulièrement bien accueilli outre-Atlantique, parfois jusqu’à fournir des adaptations classiques, comme Les Contes de la crypte . En France, Scary Stories to Tell in the Dark , l’œuvre d...
On prend les mêmes que le 3 et on recommence (encore!). Alors que le premier épisode parodiait intelligemment des classiques du slasher, la série des Scary movie s'est depuis enfoncée dans le détournement frénétique des blockbusters ayant récemment bien fonctionnés au box-office. Et la seule chose qui la différencie encore de navets comme Big Movie , Spartatouille ou autre ânerie du genre, ce...
Homme d'affaires reconnu, mari et père de famille apprécié, Earl Brooks cache en fait un sombre passé. Un soir, il sort et tue un couple, renouant avec ses démons. Peu évoqués au cinéma par le passé (même si Norman Bates avait jeté les bases de cet être moderne monstrueux dans la sage culte des Psychose (1960), avant que Thomas Hewitt, alias Leatherface, lui offre un visage moins humain que...