Pour le critique de cinéma, il existe en gros trois catégories de films : ceux qu'il a beaucoup apprécié et sur lesquels il y a beaucoup à dire, ceux qu'il a détesté et sur lesquels il y a également beaucoup de choses à raconter et puis il y a la dernière catégorie: ceux qui laissent indifférent. C'est celle-là qui donne le plus de fil à retordre au critique consciencieux et désireux...
En Anglais, Die signifie mourir , mais désigne également les dés à jouer . D'où, le double-sens du titre du film de Dominic James . Die : le Châtiment est décrit par son le dossier de presse comme la rencontre entre Saw et Cube . Les références sont costaudes et si la filiation avec le premier est indéniable (elle crève même les yeux), je pencherais, pour ma part, pour une sorte de Saw "light"...
Avec cette critique, je tiens à rendre hommage à nos amis de chez Emylia qui ont l'art de nous présenter des films dont personne n'aurait entendu parler sans eux, parfois pour le meilleur ( Jack Brook : Tueur de monstres , The Woman , Ce cher Mr. Gacy ), un peu plus souvent pour le pire ( Chasseur de Têtes , Mega Piranha , Grizzly Park ). Néanmoins, je les remercie d'essayer de nous...
Renny Harlin possède une filmographie pour le moins inconstante, alternants nanars de luxe ( Driven , Le pacte du sang ...) avec des productions plus recommandables, à tout le moins honnête ( Cliffhangher , Cleaner ...). Aussi, il est difficile d’aborder l’une de ses réalisations avec une idée arrêtée. De l’appréhension sur le fond, de l’esbroufe sur la forme, les craintes ne manquent pas pour...
Attention, cette critique contient des spoilers. Un village perdu près des côtes est la proie d'un énigmatique monstre qui, chaque nuit, tue un habitant en le vidant de son sang. La plupart des habitants pensent qu'il s'agit de l'oeuvre d'une chauve-souris géante. Sur le grand écran, les années 30 voient naître les grands classiques du fantastique signés par la firme Universal , avec les acteurs...