The Doom Generation

9.0
The  Doom Generation

Critiques spectateurs

Réalisateur: Gregg Araki Avec James Duval, Jonathon Schaech, Rose McGowan, Parker Posey, Cress Williams

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Portrait de Lebreihz Lebreihz
I am Legend - 2309 critiques
publié le 26/01/2015 - 01:27

Un vrai faux road movies

Ah si vous chercher un film qui sort de l''ordinaire, un film qui casse les clichés, les mièvreries, et les bons sentiments...là je crois que vous aurez trouver ce qu'il vous faut.

Greg Araki ?, je connais , l'année dernière j'ai eu a apprécier "kaboom" , un film mettant en scène une sexualité exacerbé, mais sous-jacente ! pas de scènes non plus déviantes, faut pas pousser !

Et notre homme ici nous livre une sorte de road movies. Un couple , sans repaires affectif, avec une fille au langage ordurier , mais qui fait aussi dans l 'ordurier recherché !, avec son petit copain, à la virilité assez peu affirmé ...et qui rencontre ce type....qui me fait penser à un être moralement corrompu !,. Curieusement ce film me fait penser un peu à "tenue de soirée "'avec le trio : Depardieu/Miou-Miou/Michel blanc...ou l'ignoble Depardieu ne souhaite qu'une chose c'est de s'envoyer le frêle michel Blanc, un séquence carrément inimaginable ! Eh bien là c'est un peu ça ! en plus la fille ne peut pas l'encadrer. Et pourtant au-delà de tout ça , va émerger un amour interdit, faites de d'échangisme , et puis de triplettes. Allez savoir pourquoi, mais j'ai trouvé le film...dégueulasse ! ils passent leur temps a bouffer, a fumer, a picoler....tout ce que je ne supporte pas au cinéma !

Alors pourquoi chaque fois que le trio débarque quelque part, c'est une tuerie, dont en plus ils ne sont pas responsables. apparemment leur comportement fait rejaillir chez leurs contemporains toutes sortes de réaction de rejets agressifs.

J'ai dit dans mon titre que c'était un vrais faux road movies. Oui parce que en fait ça pourrait faire penser un peu a un Thelma et louise" , pour son coté rébellion contre "l'ordre morale" et puis en fait non, le coté policer se résous à une séquence de 30 secondes.

Certes le film prend un coté trash !, mais rien d'inquiétant , les meurtres sont plutôt du registre du cartonesque , rien de malsain, ....sauf la fin.

Portrait de Liam-X 2 Liam-X 2
Copycat Killer - 75 critiques
publié le 31/01/2012 - 18:37
10
 

Six dollars soixante six...

Ah, The Doom Generation... Du Araki tout craché: du rock'n'roll, du cul ( de preference du bien débridé et en grande quantité), de la défonce à tous les étages et une réalité bancale entremélée d'hallucinations et de froideur le tout emballé dans un esthetisme ahurissant d'imagination... Ajoutez à cela des acteurs excellents (James Duval et son air eternellement introverti et la sublime Rose Mc Gowan) et vous obtenez un film du meilleur effet, à voir et à revoir sans modérations... Un chef d'oeuvre déjanté tout comme sa suite Nowhere, mais qui sera peut-être incompris si on le visionne le cul un peu trop pincé...
Portrait de DorianGray DorianGray
I am Legend - 1998 critiques
publié le 24/01/2012 - 22:42
10
 

Cruel world

Cette critique vous est présentée par l'ancien Dorian (d'avant sa transformation psychologique), elle fut écrite autrefois ... et vous revient donc sous sa forme originale ... merci de garder les yeux chastes hors de ces mots, de ces phrases forcément décalées datant d'une époque révolue où je n'étais plus tout à fait moi-même ... (NDGeo : je confirme l'interdiction aux mineurs de ce qui va suivre !)

Faire l'expérience Araki, c'est comme se beurrer la raie avec la meilleure came du moment jusqu'à l'épuisement total de vos parties génitales, jusqu'à ce que vos couilles se mettent à hurler en coeur pour vous réclamer encore plus de sexe bien gras, de ces chattes qui dégoulinent, de ces pines tendues, fièrement arborées par ces minets puceaux en chaleur qui la sortent à tout moment, à tout endroit pour vous gicler au visage comme autant de canon à sperme lancés à toute vapeur ... Araki s'extasie dans la plus profonde joie sadique d'un sexe totalement décomplexé forçant les barrières pour enfourner un plaisir divin et satanique.

Doom Generation, outre le fait d'apporter une vision totalement personnelle sur une variation dépouillée et crasseuse de Telma et Louise, impose un esthétisme outrageant, s'équilibrant entre des meurtres sanglants, des scènes suréalistes typiquement exagérées, des paires de couilles rondes et rebondies qui n'en finissent pas de déballer leur beauté et des seins pleins et fermes qui n'attendent que vos dents pour les titiller ...

Doom Generation, c'est avant tout un film axé autour de trois têtes de série grandeur nature : Rose McGowan en pétasse pur jus aux lèvres n'attendant que la pine du chef pour s'enrouler comme autant de serpents belliqueux ... James Duval dont le corps suave et la gueule d'ado mal grandi pousse l'homme dans ses vices les plus profonds issus d'une antiquité imaginée et délirante, ses couilles et ses cuisses profondes, douces et puissantes n'ont rien à envier à un épisode du vénérable Satyricon ... Jonathon Schaech dont la plastique quasi irréprochable pousserait le premier marsouin à se l'emmancher comme une bleusaille et dont la qualité d'acteur se mesure à sa capacité d'auto-flagellation cinématographique ...

Araki, c'est du trash, du décalé, de l'exagération typiquement masculine, du sexe qualibré, de la phantasmagorie récalcitrante et une grosse dose avant de sombrer dans un monde où folie, concupiscence et tragédie l'emportent sur la réalité !

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