Five across the eyes
Critiques spectateurs
Réalisateur: Greg Swinson, Ryan Thiessen Avec Jennifer Barnett, Angela Brunda, Danielle Lilley, Sandra Paduch, Mia YiInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 11/09/2011 - 04:33
Mon Avis
Je me dis que j'aurai du venir lire les critiques ici avant de me lancer dans le périlleux visionnage de ce truc, j'en suis pratiquement venue à espérer perdre la vue. Tout plutôt que cette débauche de stupidité crasse, de mauvais goût et d'incompétence affichée.
Tournée en caméras DV... éclairée à la lampe et aux phares de voiture, y'a pas de rendu final correct possible, si en plus on fait tenir la caméra par un manchot et qu'on monte son film comme un spectacle de kermesse ça devient carrément insultant pour le pauvre spectateur.
On ajoute à ça quelques gourdasses qui sont autant actrices que je suis trapéziste, des dialogues aussi insipides qu'interminables, des situations d'un ridicule achevé, un scénario au raz des pâquerettes et on emballe le tout en essayant de se faire passer pour des artistes transgressifs qui n'ont pas peur du pipi, caca. Et le tout se prend terriblement au sérieux, tout en étant terriblement vide de sens à la limite du crétinisme (cf le final "meurtre en réunion")
Y'a absolument rien à sauvé dans ce film aucune créativité, aucun sens artistique, aucune proposition intéressante juste deux branleurs derrière une caméra qui se prennent pour des cinéastes et qui ne seraient même pas capable de filmer une communion correctement.
publié le 02/07/2011 - 16:45
Mon avis
publié le 01/04/2011 - 17:19
Mon avis
publié le 24/01/2010 - 00:36
Nul sur toute la ligne
publié le 13/11/2009 - 18:11
AIE
publié le 03/10/2009 - 18:19
Mon avis
publié le 03/09/2009 - 11:31
???????????? ben oui.
publié le 15/04/2009 - 22:25
Mon avis
publié le 11/02/2009 - 17:36
Five Across my Ass
C'est là qu'intervient mon invention, ma création, mon oeuvre: le AssWatch, qui consiste à baisser son froc dos au "film", se pencher en avant tout en écartant généreusement les fesses, et utiliser son anus pour apprécier pleinement le spectacle merdique qui nous est offert, et lui rendre honneur... Cela semble difficile de prime abord, mais permet pourtant d'éviter des lésions graves au niveau de la rétine et du cerveau, toutes les informations merdiques étant d'abord soigneusement filtrées par le gros colon, puis l'intestin grêle. Et c'est là tout le génie de ma découverte: un film tel que "Five Across the Eyes" se retrouve immédiatement à sa place, parmi les excréments. J'opérais donc un très scientifique visionnage anal de cette merde, avec 5 pouffs au QI de nénuphars qui gueulaient dans mon cul à n'en plus finir, offrant là tout l'étendue de leurs talents dans un splendide numéro de "Five Across my Ass"... Ces 5 "actrices" qui font plus peur que le film, tellement elles sont douées pour être à chier, méritaient donc pleinement d'avoir les faveurs de mon fondement!
Ce qui force l'admiration dans ce film, est que tout y est vraiment merdique: les actrices aux cerveaux délisquescents, moins malines que des poules sous emphétamines, le scénario tout juste bon pour nettoyer des toilettes turques, les images développées dans une fosse septique, et la mise en scène, qui aura nécessité quand même deux gaulos, aussi belle et bandante qu'une coloscopie. Mais ce qui reste le plus ahurissant, outre un scénar débile, blindé d'incohérences et de situations grotesques, et une 6e pouff (la méchante, pas si vilaine que ça puisqu'elle essaie désespérément de libérer la Terre de 5 grosses connes) complètement ridicule, c'est l'INCROYABLE connerie des dialogues! Festival totalement ahurissant de phrases d'une bêtise et d'une vacuité sans nom, que même le plus indécrottable des beaufs (celui qui regarde le foot avec ses potes trisos, en pétant, rotant et gueulant "Vive la France" une main sur son pack de bière, et l'autre dans son slibard), serait décontenancé par une telle déferlante d'inepsies verbales, venant battre à plat de couture ses plus belles réflexions néanderthaliennes!!! Les dialogues atteignent de tels sommets d'imbécilité, que l'on suffoque, tellement l'air se fait rare à de telles altitudes...
Mais les personnages ne sont pas en reste pour honorer les dialogues (A une des bécasses qui saigne du nez: - Mets-toi ça dans le nez! - Mais comment je fais pour respirer? - Respire par la bouche!), rassurez-vous, et tout est fait pour que l'on ai envie que d'une chose: QU'ELLES CRÈVENT! VITE!!! L'une d'entre-elles, toujours très féminine en toutes situations, n'hésitant pas à couler un bronze très en harmonie avec la qualité du film, dans le but de le balancer sur la voiture de sa poursuivante pour la ralentir. Très classe, très efficace, plus besoin d'armes à feu! Seul inconvénient, on ne tire qu'un coup... Donc la méchante, prisonnière d'un film de merde qui n'en finit pas, devient encore plus furax en en prenant dans la gueule! Les situations les plus consternantes et invraissemblables vont donc continuer à s'enchaîner mollement, telle une dyssentrie, et à dégager une odeur que même le fion d'un clochard ne pourrait plus supporter!
Pour ma part, j'ai passé 95 mn extrêmement pénibles, tellement j'en avais "plein le cul", et je me vois maintenant dans l'obligation de vous quitter pour aller aux toilettes, me vider de toute cette merde qui m'inonde impitoyablement les entrailles... Et ça risque de prendre des heures...
publié le 17/01/2009 - 21:22
Pour Dexter
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