Il y a deux principaux registres dans lesquels Asylum « excelle » : le survival animalier et le film catastrophe. L’enchaînement d’itérations toutes plus méphitiques les unes que les autres interpelle sur la longévité d’une société de production versée dans les projets nullissimes et opportunistes. Toujours est-il que les métrages se suivent, se ressemblent et s...
Préparez-vous car aujourd’hui, c’est communion. Et en attendant que vous récitiez vos prières par cœur, je vais vous parler d’ Alice, Sweet Alice . Grâce à Rimini, une maison d’édition déguisée en père Noël toute l’année, vous allez découvrir un slasher un peu particulier, et sorti quelque temps avant le maître-étalon du genre, à savoir le Halloween de John Carpenter...
Si l'on ôtait les effets gores très réussis et le look ultra-classe du tueur, à mi-chemin entre Hitman et Skeletor , Laid to Rest premier du nom n'était finalement qu'un slasher très banal, en outre desservi par une réalisation parfois bancale. Il semblerait que Robert Hall en ait eu pleinement conscience puisqu'à l'occasion de cette suite, il a décidé de revoir sa copie et de...
Sans sombrer dans l’euphémisme, le found-footage est un genre parsemé de déclinaisons inégales qui, bien souvent, ont tendance à le niveler par le bas, parfois au point de le décrédibiliser. Du côté des occurrences notables dotées d’un budget très modeste, on peut évoquer Grave Encounters ou, dans un autre exercice de style, Noroï: The Curse et The Poughkeepsie Tapes . À l’...
À Bangkok, un serial killer sévit dans les rues les plus sordides de la ville. Il abandonne les cadavres atrocement mutilés de ses victimes dans une valise rouge. Devant le manque d’indices et son impuissance à arrêter le tueur, la police décide de relâcher un prisonnier pour l’aider dans son enquête. S’il permet la résolution de ses meurtres, il sera à nouveau libre. Kongkiat...