Le Massacre des morts-vivants
Critiques spectateurs
Réalisateur: Jorge Grau Avec Cristina Galbó, Ray Lovelock, Arthur Kennedy, Aldo Massasso, Giorgio TrestiniInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 19/04/2021 - 01:22
"L' un des joyaux du cinéma
"L' un des joyaux du cinéma fantastique espagnol." Le coin du Bis !
publié le 21/11/2016 - 22:08
des ultra-sons pour réveiller les morts !
Ce film des années 70 s'inscrit n'empêche dans une époque qui pourrait être caractérisée par l'émergence de l'écologie.
Car en fait ce film c'est un peu l'opposition du "gars de la grande ville" qui débarque chez les" yokel", les "rednecks" Britaniques si vous préférez !
Finalement le film, en plus d'assumer son coté horrifique, met en scène ce couple, qui se rencontre fortuitement d'ailleurs qui débarque au find fond de la campagne Britanique;
Je me suis dit que le film n'a pas du êvident pour ce qui concerne le scénario, car à cette époque là , 1974, la nuit des morts-vivants à déja marqué son temps !
Donc il faut concevoir un film , certes sur un thême horrifique, mais qui ne soit pas non plus un plagiat!
Et je pense que c'est plutôt réussit..alors est-ce que ce film serait plutôt "Romérien" ou "Fulcien" ?
je dirais plutôt Romérien !
Comme je le disais le film véhicule à la fois un message écolo, avec cette machine destinée à tuer les insecte par ultra-son et aussi sociale.
Sociale, car notre couple aux allures un peu "hippies", le gars a les cheveux longs,n'aime pas l'autorité dérange un peu tout ce beau monde.Et surtout ce commissaire de police , très "derrick".
Comme je le disais ces années là seront des années de remise en cause de l'autorité , dans quasiment tout les pays du monde d'ailleurs.
L'autorité qui ne voit qu'en ce couple, que des toxicomans criminels , même si SPOLIER le flic ne se pose pas la question quand à la force nécéssaire pour soulever une pierre tombale de 200 Kg, afin de défoncer une porte ! bah ! les drogués, tout comme les zombies on une force décuplée !, c'est bien connu FIN SPOLIER .
C'est pourquoi notre homme ne faisant pas confiance en l'autorité agit de manière complètemnt irrationelle , face à ce qu'il est en train de découvrir.
Vous me rétorquerez que c'est absurde d'agir ainsi ! Mais souvenez-vous qu'en temps normal nos comportements humains sont loins d'etre tous rationnels, alors imaginez face à une situation surnaturelle !
Alors allez savoir pourquoi le final est assez prévisible, mais en me temps très frustrant, on aurait souhaité voir l'horrible vérité être enfin acceptée par l'autorité
publié le 26/11/2009 - 12:30
Les zombies de la campagne
publié le 06/06/2008 - 23:26
Médiocre
publié le 01/01/2007 - 00:00
Vraiment excellent
Le Massacre des Morts-Vivants relate l'inquiétante course contre l'échec et la mort de deux jeunes gens ayant découvert que les radiations d'une machine destinée à neutraliser les insectes nuisibles de terres agricoles dans une petite bourgade anglo-saxonne provoquent la résurrection des morts du coin. Ceux-ci, qui se présentent tels des zombies assoiffés de chair et de sang, débutent leur carnage avant même que les forces de l'ordre et la population ne s'en aperçoivent. Malgré tous leurs efforts, les deux personnages ne parviendront pas à mettre un terme à cette « graine de fléau » et seront stoppés par un antipathique inspecteur de police qui voit en eux les coupables des meurtres commis par les morts-vivants. À partir de ce scénario très intéressant, Grau développe une toile de fond sociale aussi évidente que particulièrement incisive et audacieuse. Les altercations entre le policier (Arthur Kennedy) et George (Ray Lovelock) traduisent de manière ostensible la haine d'une génération rigoriste vouée envers une certaine jeunesse doucement baba-cool et plus libre d'esprit. Ce conflit de mœurs conduira à un final pessimiste et lourd de sens, où les zombies ne se révéleront guère être les véritables méchants de l'histoire. Époque oblige, il y a une forte connotation écologiste dans le contenu du métrage, probablement un brin naïve aujourd'hui, mais qui ne nuit pas à l'efficacité du propos pour autant. L'aspect engagé du Massacre des Morts-Vivants ne mord heureusement pas la peau à sa dimension horrifique et le film fait également des étincelles en terme d'atmosphère et de scènes-chocs. Jorge Grau instaure un climat glauque et malsain à son œuvre, décuplé par la crédibilité des zombies — affreux macchabées ambulants au maquillage restreint mais au souffle rauque et au regard fiévreux —, l'austérité des décors et la froideur implacable de la mise en scène. Quelques effets gore relativement osés en regard de l'époque flatteront les amateurs: éviscérations, arrachage de sein, pieu planté dans une gorge, coup de hache dans la tête, le tout filmé sans timidité ou tentative de suggestion. Réalisés par le très bon Giannetto de Rossi (celui-ci signera les meilleurs scènes gore chez Fulci quelques années plus tard et aura tout au long de sa carrière collaboré avec quelques réalisateurs majeurs du cinéma italien tels que Luchino Visconti), les trucages pourront de nos jours apparaître quelque peu frustes, techniquement parlant, mais ils n'en gardent pas moins un impact sûr dans leur hardiesse et leur cruauté.
Inutile de tergiverser plus longtemps, Le Massacre des Morts-Vivants est de la trempe d'un zombie movie de Jacques Tourneur, George A. Romero ou encore Lucio Fulci. Grand film d'ambiance mâtiné de satire sociale pas piquée des vers, ce petit ovni trop peu reconnu dans le cinéma de genre — et plus particulièrement d'horreur, où il aurait parfaitement sa place parmi certains cadors — se doit d'être (re)découvert avec tout le respect qu'il mérite. Un excellent cru.
publié le 01/01/2007 - 00:00
Réponse à McGrath
publié le 01/01/2007 - 00:00
Culte
publié le 01/01/2007 - 00:00
Réponse à Tim
publié le 01/01/2007 - 00:00
Encore une VHS Censuré
publié le 01/01/2007 - 00:00
Merde
publié le 01/01/2007 - 00:00
Où est -il?