Liste des Critiques pour Supermax

Réalisateur: José Alvarenga Jr., Rafael Miranda

Casting: Mariana Ximenes, Cleo Pires, Ademir Emboava, Bruno Belarmino, Erom Cordeiro

Il n'y a aucune critique enregistrée pour ce film. Vous pouvez aussi ajouter votre critique !

Run or Die

Dans la profusion de DTV qui sorte à la va-vite avec des critères de choix aléatoires (des perles demeurent inédites dans nos contrées alors que des immondices sans nom trouvent un chemin jusqu'à notre dvdthèque), il est bien rare que l'on découvre de bonnes surprises à se mettre sous la dent. Un constat qui se vérifie dans le cinéma de genre, mais aussi dans des registres plus grand...

Amityville : Darkforce

Depuis le second volet, la saga Amityville n’a plus grand-chose à offrir. Les suites se sont enchaînées et se sont révélées au mieux moyennes, au pire d’une infâme nullité. Le fait de voir arriver une septième itération relève donc plus de la gageure cinématographique que d’une nécessité à fournir une nouvelle pierre au mythe du 112 Ocean Avenue. La qualité déclinante, le manque...

Mu Zan E

Grand pourvoyeur de pellicules scabreuses et dérangeantes, le cinéma japonais a tôt fait d’explorer les recoins les plus sombres et putrides de l’âme humaine. Certains réalisateurs s’en sont allègrement repus dans les années1970 avec les pinku eiga. Mais les inclinations sadiques et masochistes ne se limitent pas à un sous-genre érotique. Elles s’insinuent dans des...

Baba Yaga

Issue de la mythologie slave, la légende de Baba Yaga a très tôt imprégné l’imaginaire collectif, notamment dans le domaine cinématographique, littéraire ou musical. Tour à tour considérée comme une guerrière, la gardienne du royaume des morts et la maîtresse du monde sauvage, l’image de la sorcière la plus véhiculée demeure la ravisseuse d’enfants. Et c’est d’...

Amityville 2 : Le possédé

Le premier film de la saga Amityville se penchait sur la période d’habitation de la famille Lutz. Arnaque opportuniste ou cas avéré de maison hantée, l’intrigue se développait sur l’influence latente de l’assassinat de la famille DeFeo. Ce dernier point étant un argument de poids pour soutenir l’aura glauque des lieux. À peine évoqué en début de métrage, ce fait...