The House of the Devil

House of devil est un film d'horreur prenant pendant tout le long du film mais aussi étrange que ça puisse le paraitre, devient catastrophique quand l'action commence.

En effet, le film commence tranquillement sans vraiment s'ennuyer : on prend le temps de s'habituer à Samantha et de prendre connaissance de sa situation. Quand elle débarque dans la sois disante maison pour faire du Babysitting, on sent tout de suite une ambiance assez froide et inquiétante. Contrairement à d'autres films du genre, le point fort de cette production est de faire trainer les choses. Oui mais de les faire durer d'une très bonne manière ; c'est à dire que même s'il ne se passe rien, le suspense est très présent et l'atmoshère très pesante car en plus d'une maison assez glauque, on sait qu'il s'y passe quelque chose d'inquiétant et de troublant. Donc on est tout le temps pris par le film malgré qu'il n'y ait pas d'action. Puis, Samantha, outre le fait qu'elle soit jolie, c'est un personnage plaisant et sympathique. Elle a des réactions naturelles : elle sait être inquiète, en colère, sérieuse et joyeuse quand il le faut...et surtout curieuse mais ici valait pas mieux pour elle.

Donc suite à sa trop grande curiosité, l'action va enfin commencer. Le cauchemard débute mais pas que pour elle, pour nous aussi. Sérieusement, déjà que les scènes horrifiques sont d'une banalité affligeantes, elles sont très baclées. Le déroulement de toute l'action horrifique se fait en même pas 20mn !!! En plus, c'est quoi ces "méchants“ ? En dehors d'un seul, aucun ne fait flippé et le plus jeune et le plus fort est d'un manque de crédibilité et nul à c...face à une jeune fille comme Samantha. Et ce n'est pas fini : la séance finale incoréhente par rapport à ce que Samantha s'est faite à elle même juste avant. Bien évidemment, le film se termine là dessus sans réel explication par rapport à tout ce qui s'est passé auparavant, ni pourquoi ces dérangers font ça. De toute façon, je ne vois pas l'intérêt de faire naitre le mal, il existe déjà : les responsables de ce film (et de cette fin scandaleuse). C'est une insulte et un foutage de g... aux amateurs du genre !

House of devil est donc le film qui peut se retrouver avec une bonne note si on évalue l'ensemble du film comme une mauvaise note au vue de la fin avec les scènes horrifiques (faisant l'importance de la qualité d'un film d'horreur). Je mets la moyenne pour l'ambiance et l'atmosphère du film avant que Samantha soit prise au piège mais ma colère est grande avec ce que j'ai vu ensuite. Un gros pétard mouillé !

Une étudiante trouve un petit boulot d' 1 soir pour payer le loyer de son nouvel appart. Elle se retrouve seule au milieux de nulle part coincée dans la maison du diable. Pas franchement originale, mais il y avait quand même de quoi ficeler un bon petit film d' horreur..... mais non.

En dehors du fait que ce film parait tout droit sorti du début des années 80 et que l'actrice principale, qui entre parenthèses a du se sentir un peu seule sur le tournage, est plutôt jolie et bonne actrice, ce pseudo film d'horreur présente très peu d' intérêts.

On attend patiemment qu'il se passe quelque chose. Mais strictement rien pendant plus d' une heure. Pas de suspense, juste mademoiselle qui visite la maison, cette fameuse maison qui n'a du diable que le titre du film, pour rester poli!!!!! Et puis, alléluia!!! en effet il se passe bien quelque chose dans le dernier quart d' heure. Mais malheureusement, toujours rien d'exceptionnel.

Bien que ce ne soit pas mon genre de films, House of the devil a le mérite de me replonger dans l'univers des eighties.Le film a un seul défaut pour moi c'est que dans la deuxiéme partie, ou sam se retrouve seul dans la maison, on s'ennuie énormement. C'est dommage car pour le reste c'est impeccable: le scénario a la fois original et recyclant quelques classique comme rosemary's baby par ex, en même temp est vraiment bon, l'ambiance du film est froide comme le meurtre de la blonde dans la voiture. et le final bien que légerment saugrenu et bien fun, sanglants et stressant. Et la révelation du film n'est autre jocelyn donahue, remarquable en tout point.The house of the devil sans être un chef d'oeuvre, reste un trés bon film d'horreur comtemporain, pourtant tourné dans une autre époque est restera une excellente surprise 2010

Encensé par la critique

Bon je me méfie toujours quand un film reçois autant d'éloges (généralement je suis toujours déçu). Mais quand une personne me dit qu'effectivement certains films se targuent de titres pompeux venant d'on ne sait ou et qu'au final c'est une belle m.... mais que "The house of the devil" échappe à cette règle je me dit allons-y les yeux fermés.

Petit rappel quand même : "Le film d'horreur de l'année"; "La nouvelle référence du genre"; " Un hommages aux années 80" ; .............. Houla ben punaise je dois avoir un problème là. Je me suis fait c..... durant tout le film (à part après une 1h10 du film pendant 3 minutes). Et pourquoi ? Ben parce qu'il se passe absolument rien et quand je dis rien c'est RIEN pour arriver à un final banal. Tout ça pour ça ! Où est l'angoisse ? Où est la terreur ? Où est le renouveau ? Où est l'hommage ? Dans le générique de fin peut-être ?

Vraiment déçu par ce film. Les années 80 doivent se retourner dans leurs tombes

Vraiment un grand hommage au film d’exploitation des année 80.Tout y est,c'est vraiment chouette de voir qu'il y a quelques réals qui osent encore faire ce type de films.

Pas mal de gens disent que c'est le film fantastique 2010, je trouve sa un peu fort perso. C'est vrai le film est pas mal, mais j'irais pas dire que cest le must du must quoi . Le truc chaint du film , cest que cela met pas mal de temps à commencer.. Il faut attendre pas loin d'une heure pour se sentir vraiment dans l'histoire . Le film est tourné dans le style années 80, les vetements , les coiffures , les decors ,.. On est vraiment dans le debut des années 80 . Je pense que c'est quelque chose qui tiens à coeur le realisateur. Le gros point positif vient de l'ambiance, les frissons quoi . C'est simple on est de retour dans les films du genre maison hanté des années 80 , du genre amityville. Sans grand effet speciaux, sans gros budget, le film stresse bien.Les plans de camera , les bruits , la noirceur, les grincement , la maison en elle meme, tout cela va jouer sur notre psychologie. SPOILER la fin avec le " sacrifice " et tout se qui va avec je trouve sa un peu fort , et le soit disant demon aussi..FIN spoiler. Le final du film lui colle bien à l'histoire. Je m'attendais à mieux quand meme

Étrange toutes les similitudes que contient ce film. Commençons par son actrice principale dont la ressemblance avec Olivia Wilde (la doctoresse n° 13 dans la serie Dr House) est plus que troublante, vient ensuite la musique d'intro qui dirait-on une partition du groupe des Gobelin (ayant officié plusieurs fois à la grande époque de Dario Argento) puis pour terminer le pitch qui sans ce forcer nous fait penser à Burnt Offerings (Trauma) de Dan Curtis ou dans ce dernier une famille devait gardé une maison ainsi qu'une vielle dame demeurant au dernier étage.

Ce qu'il y a aussi d'étrange c'est qu'excepter les dix dernières minutes il ne se passe quasiment rien dans le film, sans que celui ci en devienne chiant pour autant et pourquoi ça, tout simplement du à une mise en scène nous fessant pressentir pour cette héroïne un danger omniprésent mais ne sachant réellement à quel moment celui ci frappera.

La tension, et le suspense gagne en puissance via l'avancer de l'histoire (on se surprend de sauter au moindre bruit) et juste avant le dénouement (l'acheminent de l'héroïne finissant devant la porte de la veille dame) nous proposera une sacrée dose de chair de poule et de faire battre en puissance douze notre petit coeur.

A propos du final, et tout ce qui se trame avec, malheureusement indiquer dans le titre et le synopsis, saura tout de même sortir son épingle du jeu grâce à une sauvagerie brut et sans miséricorde. The House of the devil est ce genre de film que je regrette d'avoir vu, pour l'unique et simple raison que je ne pourrai plus le revoir en étant aussi agréablement surpris que la première fois. Ceux qui ne l'ont pas encore vu ... la chance que vous avez de pouvoir le découvrir !

De toutes les décennies que le cinéma d’épouvante a connu, celle des années ’80 est de loin la plus prolifique. Souvenez-vous ! O combien ne baviez-vous pas devant ces innombrables jaquettes suintant l’hémoglobine ! Je ne compte plus les chefs d’œuvre et les films cultes de cette époque qui aujourd’hui est malheureusement révolue. Il ne reste plus qu’a attendre les hommages tant attendus et il est clair que le meilleur s’est longtemps fait attendre. Depuis que le « Massacre à la tronçonneuse » de Marcus Nispel a relancé le film d’horreur, j’attendais avec une impatience un peu démesurée un vrai hommage rendu aux années ’80. Il m’aura fallut attendre jusqu’en 2010 pour enfin voir mon rêve se réaliser. Car le film de Ti West est tout simplement l’envoyé venu du ciel. Loin du sympathique mais calamiteux « Cabin Fever 2 », Ti West nous replonge plus de 20 ans en arrière sur le fond et surtout la forme. Sur ce point, là est le meilleur atout du film. J’ai rarement vu une telle minutie de reconstitution d’époque ! Durant une heure et demie, je me suis senti retomber en enfance. Maison, voitures, vêtements, musique,… Tout sans exception est resté fidèle à cette atmosphère si particulière qui fait tout le charme de « The House of the Devil ». Les premières minutes, générique compris, nous le prouve aisément. Mais ne vous attendez pas pour autant à un film d’horreur ou le sang coule à flot. Car le film est un long-métrage d’ambiance et de ressentis ou le personnage principal est cette foutue maison. La peur vient des craquements du plafond, du vent qui parle, du silence et de l’innocence d’une jeune fille. Jocelin Donahue est impeccable et a mérité son prix d’interprétation au Screamfest 2009. Quel plaisir de retrouver Tom Noonan, ce comédien si talentueux qui ne fait que se bonifier avec l’âge. Le film conte un casting réduit mais la présence de chaque personnage est importante et participe vraiment à l’ambiance si troublante du film. Un effet qui aurait pût être total si le scénario avait été plus qu’une banale histoire de secte satanique. Mais attention ! Que le scénario soit très mince et qu’il est déjà été vu mille fois n’entrave en rien le plaisir. Un plaisir qui doit obligatoirement se faire ressentir pour tous les fans qui se respectent. Comment ? Tout simplement en se laissant emporter par la magie de l’ensemble qui débute à peine le générique commencé. Merci Ti West !