Shuttle

Bon ! il ya quand même une originalité à tout ça, c'est que dans les films, les emmerdes pour les belles jeunes filles qui prennent des vacances, commencent soit dans l'avion parce que je ne sais quel terroriste aux vagues motivations politique décide de détourner l'avion, soit c'est sur le lieu de vacances que les probèmes commencent par la rencontre avec un séducteur qui est en réalité un rabatteur pour des reseaux de traficants d'organes.

Eh bien là non !...c'est au retour de vacances, avec une navette aéroportuaire tout a fait anodine, avec son chauffeur des plus banal.

Alors si ça bien sort de l'ordinaire pourquoi ai je mis une note aussi basse ?. Eh bein le film n'a d'intérêt qu'a la 80 ième minute peut-être !

Eh bien oui, avant cette minute fatidique, le film est banal, à pleurer. On nous ressert le coup du kidnapping, puis de la panne (au sens premier). j'adore SPOLIER le coup de la crevaison, le chauffeur avait prévu une fausse manoeuvre avec u autre véhicule, pour rouler sur des clous afin peut-être de crever FIN SPOLIER tout ça pour neutraliser l'un des passagers en SPOLIER mettant le cric sous le véhicule d'une mauvaise manière, pour que ô miracle ce dernier s'éffondre en broyant les doigts du gars !, avec un véhicule d'un tel poid, nous auriez commencé a peine à le soulever que le cric aurait déjà ripé, e j'aime bien comment le criminel a réussit a soulever un véhicule , dont le tambour repose sur le sol directemet, avec le cric de service... !FIN SPOLIER tout ça pour dire que le réalisateur rajoute une histoire abracadabratesque pour justifier une scène assez dur.

Et après c'est de plus en plus bête. Le kidnappeur déconseille a ses otages toutes tentatives, mais voilà, fait en sorte que ces derniers les fassent !. Ca commence par le coup du GAB, et ça se poursuit avec le point de vente ou notre fille comme une imbécile se croit obigé de faire son numéro de langages des signes devant la caméra, alors qu'un mot à la cissière était plius simple (imaginez un peu les flics , dvant chercher au milieu de la nuit un spécialois du langage des sourds)

Alors je ne vous dirais pas tout, mais l'ensemble donne la désagréable sensation que tout ça e sert qu'a justifier un film de 1h 44. On rentre dans le shéma suivant : tentative d'évasion, et puis recapturation, et ça sans arrêt...bref ça n'a pas de sens, car nos kidnappeurs ne sont vraiment pas discret.

Donc au bout d'un temps on se demande quelles sont les motivations de ces criminels ce n'est pas l'argent, ni les baggages. A un moment on peu penser qu'il s'agit de simples vulgaires violeurs. Là, on a le droit a une séquence, qui est une forme d'escroquerie...en pensant que l'une des fille va passer à la casserolle...avis aux amateurs de ce genre de séquences !, vous n'en aurez pas pour votre argent.. on est pas dans "I spit on your grave"...rassure-vous !

Non le motif est tout autre, et tout aussi absurde d'ailleurs. SPOLIER la traite des banches!!! ok elles sont blanches, mais ce sont des filles qui ont une situation, ce ne sont pas des marginales, donc il y aura enquête approfondie, et avec la liste des indices qu'on laissés les criminels ça va être très facile e remonter jusqu'à eux; FIN SPOLIER

Le seul intérêt, et qui fait que le film ne sombre pas dans la nullité; C'est la photographie, avec cette ambiance Sans oublier ce criminel peu ordinaire dans sa présentation.