La Fureur des Gargouilles
Critiques spectateurs
Réalisateur: Bill Corcoran Avec Eric Balfour, Nick Mancuso, Tanya Clarke, Caroline Néron, Justin SalingerInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
- Connectez-vous ou inscrivez-vous pour publier une critique
Vous souhaitez soutenir Horreur.net ? N'hésitez pas à faire un don, même symbolique, sur Tipee.
publié le 30/03/2012 - 09:52
Mon avis
publié le 24/11/2010 - 12:27
Abomination !
Niveau ambiance, on frôle le zéro absolu. Les quartiers insolites de Paris ? A la trappe ! L’effervescence des grandes avenues et des quartiers les plus connus ? Que nenni ! Au lieu de mettre en valeur la ville lumière par quelques moyens que se soit, La fureur des gargouilles promènent ses personnages bien plats dans des ruelles qui se ressemblent et terriblement désertes. Malheureusement, la liste des défauts ne s’arrête pas en si bon chemin. Outre des lignes de dialogues aussi indigestes qu’un morceau de viande avarié, les acteurs sombrent davantage dans la caricature et le cabotinage plutôt que dans une peur primitive face à la gargouille.
Concernant cette dernière, on ne la voit que trop rarement. Une ombre, un peu de peinture rouge sur un mur ; voilà ce que vous réserve la plupart du temps l’histoire. Si le dénouement permet de mieux voir la gargouille, c’est dans l’intention de nous faire prendre en considération des effets spéciaux sommaires, malgré une bonne incrustation de la créature dans l’image (peut-être le seul point où l’on ne peut faire trop de reproches !). Enfin, je terminerais ce tour d’horizon catastrophique par un rythme apathique. Un meurtre, beaucoup de bavardages inutiles, un meurtre et ainsi de suite. Encore une fois, on meurt davantage d’ennui que de peur. C’est ridicule, lent et même le final demeure d’une platitude exaspérante. Du début à la fin, il n’y a pas la moindre intensité pour nous contenter.
Bref, La fureur des gargouilles est certainement le plus mauvais film de la saga Maneater series, qui n’est pourtant pas avares en navets. On nage dans une nullité quasi-permanente. Protagonistes sans reliefs, scénario tout aussi plat, décors vides… La liste est longue et elle n’est certainement pas exhaustive. Amateur de survival animalier, il n’y a rien à se mettre sous la dent.
publié le 06/10/2010 - 14:55
Quelle tête de gargouille !!!!