Suspiria
Critiques spectateurs
Réalisateur: Dario Argento Avec Jessica Harper, Stefania Casini, Alida Valli, Miguel Bosé, Udo Kier, Flavio Bucci, Barbara Magnolfi, Joan BennettInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 29/12/2022 - 15:16
Vive Goblin
C'est loin d'être le meilleur film d'Argento. Bien en dessous de profondo rosso ou l'oiseau à plumage de cristal ou Inferno.
Mais il m'a laissé un souvenir : à sa sortie en 1978 une entrée de cinéma sur les Champs Elysées à Paris coûtait 6,50 francs et l'entrée pour Suspiria était à 9,50 francs ! Et ensuite les prix n'ont fait qu'augmenter jusqu'à ce jour. Augmentation pas toujours accompagnée d'une amélioration proportionnelle des films.
De ce film je retiens essentiellement la musique de Gobelin...
publié le 17/04/2020 - 22:36
Pour son premier volet de la
Pour son premier volet de la trilogie des Trois Mères, Dario Argento joue avec maestria sur les couleurs, les décors et la musique pour construire un monument d'horreur baroque dont les scènes sanglantes pourront choquer les âmes les plus sensibles.
publié le 25/10/2013 - 12:23
Un classique!
publié le 01/08/2013 - 08:41
200ème : expérience cinématographique
Pour moi, Suspiria est bien plus qu’un film. C’est avant tout une expérience cinématographique. J’entends par là que chaque visionnage est un nouveau plongeon dans le cauchemar psychédélique de Suzie Bannion. Je vibre beaucoup plus à travers les déchainements visuels et sonores que pour le sens de l’histoire ou le jeu des acteurs qui me paraissent ici secondaire. Je considère qu’il s’agit d’un conte aussi poétique qu’horrifique qui a la faculté de m’ensorceler jusqu’aux dernières flammes.
J’irai même jusqu’à dire que le film semble avoir une âme. Et bien évidemment, l’occulte l’enveloppant majestueusement, il s’y dégage quelque chose de malsain et de diabolique. Heureusement, cette magie ne franchira pas la barrière de l’écran.
Dario Argento disait, dans une interview accordée pour l’édition de TF1, que ce film était un peu « un délire. » Je le rejoins complètement. Selon moi, si le cauchemar de Suzie est devenu un classique, c’est parce que l’équipe du film a laissé une part d’inconscience les guider. Certes, le professionnalisme est palpable. Mais l’expérimental l’est encore plus. Résultat : Suspiria a des allures d’œuvre d’art moderne. Je le vois à chaque fois comme un tableau animé auquel il faut prendre garde. Je crains le syndrome de Stendhal…
L’avantage de ce film, c’est qu’il ne vieillit pas. Étrangement inspiré d’œuvres enfantines comme Alice in Wonderland ou Snow White and the Seven Dwarfs, il est même devenu une source d’inspiration profonde. Je pense à Aenigma ou au plus récent Masks, pour ne citer qu’eux. Ses jeux de lumières, principalement rouges et bleues, ont par exemple étés plusieurs fois repris (avec plus ou moins de sens), tout comme le concept de l’école de filles.
Au-delà de la puissance des couleurs et du déchainement musical de Goblin, je trouve que le charme de Suspiria passe également par la fragilité des élèves et par leurs peurs. En effet, avec du recul, le film traite du passage à l’âge adulte de façon métaphorique. Et il se mêle subtilement au danger qui se tapit dans chaque mur et dans chaque objet. Je suis également impressionné par la recherche picturale permanente dans laquelle apparaît Escher et l’emprunte d’Argento (les traversées de « miroirs » par exemple). Si je devais ne citer qu’une scène, ce serait celle qui est filmée au travers d'une ampoule. Elle me rappelle toujours The Wizard of Oz.
Ces quelques lignes ne sont donc pas une critique, mais une déclaration d’amour à l’un des chefs d’œuvres du cinéma d’horreur.
publié le 18/12/2012 - 13:41
Attention sorciére pas contente
publié le 18/08/2012 - 00:14
Mon avis
Puis n'étant pas fan parce que, disons le 'Direct 2 Comment' plus nanar que ça dans le cinéma contemporain du genre de l'ancien continent..... Faut se retenir !!!!! Argento est le best pour ce genre de truc ...... heuuu gianclo, giamo, vagiano, viagra...... Mmmmhhh quel est le terme exact du genre. BREF........ Suspiria j'ai aimé ! La dramaturge des acteurs à la corbeille, c'est déjà ça de moins à argumenter...... Scénar' je ne suis pas en mode Version que seul un post-it et crayon suffisent en attendant que le "ding" du four à micro-onde surgit pour dire la bouffe version mutation, car vu les saloperies que l'agro nous fait ingurgiter (nous pauvre conso').... Nous atteignerons jamais les 70 ans, ça pour sur) est assez chaude..... Non plus sérieusement. J'ai adoré mais vraiment adoré le film. Mutation entre le fantôme de l'opéra et je sais plus quoi d'autre(s) mais la constitutions des studios donc déco et jeux de lumières sont vraiment excellente. Je ne sais pas, mais cette façon de développer la déco et l'ambiance qui en dégage avec si peu de moyen à la base est de loin être une défaillance ....... Ensuite la zic du groupe italien qui accompagna la majorité (ou totalité) de la filmographie de Dario dont le nom m'échappe qui n'est pas en rapport avec un reptile ? (Pas Reptile ou Reptilian des Nine Inch Nails) ...... Rajoute un genre de Post-Punk Kitsch à certain moment du film..... et j'adore ça vraiment. En bref j'ai aimé ce long métrage du noyade (au conditionnel, lancé le bouée de sauvetage, mais pas obligatoire) pittoresque qu'est le cinéaste Dario.
J'aime beaucoup la culture Underground (batcave, le cinéma de minuit, no-new york) tant musicale que cinéma et Suspiria en fait partie......
Et suspiria se laisse fondre comme l'album l'album de The Soft Moon..... Font bien ensemble.
8/10
publié le 02/04/2012 - 23:02
Un vrai chef-d'½uvre!
publié le 01/02/2012 - 21:51
Mr Argento S.V.P
Tout d'abord grâce a son scénario excellent pour l'époque, une intrigue poignante tout au long du film ainsi qu' un suspense omniprésent.
Argento se démarque aussi par son jeu de caméra, qui n' a rien a envier a ses comparses de ces dernières années. Un jeu de couleur visuellement parfait avec une prédominance rouge, auquel le réalisateur sait rester fidèle. Notons aussi un décor hors du commun, toujours pour l' époque bien entendu. Avec un petit coté sixteen.
Je vous parle même pas de sa bande son tout simplement époustouflante, signé Goblin s'il vous plait! Encore une référence du genre.
Un jeux d' acteurs honnête, a défaut d' être parfait. Mais a mon avis c' est plutôt au niveau du doublage que se trouve ses quelques lacunes.
Bref, pas grand chose à jeter dans ce Suspiria.
publié le 25/04/2011 - 20:21
Lah lah lah lah lah lah lah...
publié le 29/12/2010 - 11:50
Oui, mais enfin...
publié le 18/12/2010 - 22:23
Fais paris de mon top 10
publié le 09/10/2010 - 11:22
Mon avis
publié le 04/08/2010 - 17:48
Un classique
publié le 28/05/2010 - 20:05
Mon avis
publié le 13/04/2010 - 12:10
Mon avis
publié le 03/03/2010 - 17:12
Suspiria
"Jamais l'horreur n'a été aussi sublime" Comme si l'horreur avait besoin d'être sublime ! Je n'ai pas compris où ce film nous entraîne. Il y a une fille qui trouve son école de danse bizarre, elle a des malaises, des gens du personnel meurent, la copine de la fille lui raconte des histoires qui font peur à propos de l'école de dance et de l'effrayante directrice... Entre temps je crois qu'il y a des gros vers qui tombent du plafond... La copine de la fille veut donc espionner les gens la nuit, elle meurt dans un tas de fils coupants (le gore est bien je l'avoue). La fille, qui ne doit pas être très contante, veut découvrire le mystère, elle se souvient des paroles d'une autre fille qui sortait de l'école quand la fille (la première) est rentrée : "dans la salle (???), au fond, il y a (un nom de fleure), tourne la (deuxième ?)", elle arrive dans une salle mystèrieuse (après avoir suivi ces paroles) où elle découvre que les professeur sont des sorcier, qui veulent tuer cette fille (celle qui est rentrée dans la salle) elle se retrouve dans une pièce ou il y a la méchante directrice sorcière, qui est invisible. Des trucs s'animent, un éclair, la fille voit le contour du corps de quelqu'un (la sorcière, directrice, méchante), elle la tue (la fille tue la sorcière) et.... générique.
En bref la fin est incroyablement baclée, l'histoire est vraiment folle (pour ne pas dire debile) et même le gore qui est quand même bien fait est plassé d'une façon étrange et dévalorisante.
Les scène qui m'ont plus sont : -l'introduction (les crimes) -la mort de l'aveugle -la mort de la copine à la fille dans les fils coupants (même si l'idée est folle (pour ne pas dire debile)) -les petit moment de tension dans le dortoir ou la copine de la fille a la super idée de raconter des histoire qui font peure la nuit, dans une lumière rouge, avec queulqu'un qui rôde.
et les acteur sont bons
Donc quelques moment de tension mais le reste m'a personnellement déçu.
publié le 28/10/2009 - 18:28
Mater Suspiriorum
Commençons tout d'abord par le gros morceau l'esthétisme développé dans le film. Tout d'abord visuel tout d'abord du point de vue des décors, notanment la magnifique école de danse avec ses couloirs flamboyant et le bureau de la directrice entiérement plongé dans un surréalisme suintant des murs tout est y sublime, il en va de même pour tous les bâtiments qu'ils soient simplement vus de l'extérieur, la place où déambule l'aveugle entourée de bâtiments puissants ou de l'intérieur comme l'immeuble où se déroule le premier meurtre. On notera l'emploi de couleurs chaudes notanment à l'intérieur de l'ecole sauf dans le bureau de la sous directrice.
En ce qui concerne la lumiére on notera encore la forte utilisation du rouge magnifequement employé, ce qui n'empêche une scéne filmée sous une lumiére verte admirablement mise en scéne, ces différents jeux de lumiéres nous permettant d'entrer dans le monde abstrait ( comme tu as put le dire Jerem ) de la Mater Suspiriorum.
En ce qui concerne la mise en scéne celle ci est à la hauteur de l'esthétisme qu'elle tend à developper avec notanment un premier meurtre admirablement filmé, les scénes sur la place déserte avec l'aveugle sont excellentes, il en va de même pour le meurtre au rasoir, j'apprécie notanment certaines vues "subjectives" et les jeux d'ombres lors du campement de fortune, les gros plans sont trés intéresssants avec notanment celui sur des objets telle que le verre de vin quasi-collé à l'objectif de la caméra. La photo a, quant à elle, réussie à merveilleusement rendre le travail effectué par Argento.
Pour terminer cette partie sur l'esthétisme je m'arrêterais sur la bo, magistralement mis en musique le film en gagne en intensité et en esthétisme en faisant une expérience unique tant du point de vue sonore et visuel, merci les Goblins. Chaque morceau a sa place et aucun n'est superflu, tant ils font partie intégralement du devellopement narratif.
Pour terminer je souhaiterais aborder deux autres points le scénario et les actrices, si l'histoire comme tu as put me le dire Jerem ne vole pas haut, elle a de nombreux mérites notanment celui de développer et de débuter une thématique fort intéressante qui est celle des trois méres et de donner un visage intéressant à la sorcellerie et à l'idée même de sorciére, devellopant l'histoire d'une "Alice au pays des sorciéres" fort intéressante, Argento l'adaptant alors à sa maniére.
En ce qui concerne les acteurs et surtout actrices je n'ai rien à leur reprocher Miss Tanner et la sous directrice sont impeccables et Jessica Harper aussi se débrouille trés bien alliant charme et talents, les autres acteurs s'en sortent aussi extrêmement bien.
En résumé un film qui reste une des expériences esthétiques les plus abouties et les plus magistrales de ce siécle dévellopant et donnant naissance à une thématique que je trouves fort intéressante avec un scénario fort sympathique avec de trés trés trés bonnes idées et une mise en scéne atteignant le génie et d'excellents acteurs.Argento nous livre un conte de fées halluciné et sanglant, une merveille, un diamant pour les yeux, un bonbon pour les sens, etant donné que j'avais mis 10/10 à "Ténèbres" et que j'ai encore plus apprécié "Suspiria" je lui donnes 20/10 ou en tout cas la note maxi possible et imaginable.
10/10
publié le 13/05/2009 - 05:21
Mon avis
publié le 22/02/2009 - 20:54
Soupirs...d'ennui!
publié le 11/11/2008 - 10:58
Bien
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