Critiques spectateurs de Blood
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Vampire... Vous Avez Dit Vampire?
Le pire film de vampire que je connaisse, je l'ai trouvé, Vampire contre Vampire ! Scénario lamentable, acteurs en dessous de tout, dialogues puérils et VF écrécable, sans compter le méli mélo avec un vampire qui se transforme en loup, tout est fait en sorte pour accoucher de la pire bouse la plus ennuyeuse au monde et le pari est réussit, tout simplement, lamentable.
Publié le 1 Janvier 2007
Chinatown
Chinatown est une enquète somme tout basique mais qui se revèle vraiment sale au fur et à mesure. Le principal argument du film est de réunir Polanski derrière la caméra et Nicholson & Faye Dunaway devant, le résultat est excellent, tout le monde fait son travail à merveille et même si la chute n'est guère encourageante, elle conserve une certaine logique avec l'ensemble du film. Deux points que je n'ais pas aimés, déjà la VF particulièrement mauvaise ainsi que le titre du film que ne colle absolument pas au contenu, je m'attendais à un film qui se passerait à Chinatown alors qu'il faudra attendre les cinq dernières minutes pour enfin s'y retrouver donc à tous les amoureux des ambiances asiatique, passez votre chemin, il ne s'agit que d'un thriller, mais d'un bon thriller.
Publié le 1 Janvier 2007
Chromosome 3
Tout commence à Toronto, une histoire classique à première vue d'une mère interné dans un asile mais rapidement, les méthodes du psychiatre dénotent, il utilise un concept permettant de se projeter comme image paternelle sur ces patients pour une théraphie de choc. Dès ces premiers films, Cronenberg affichait déjà ces thèmes de predilection tel que la skizauphrenie, la manipulation génétique, la projection ou bien encore les protubérances émanants de troubles psychotique. Le film bascule tout doucement dans le surnaturel et l'incompréhensible tout en preservant une conclusion qui remplira parfaitement son rôle. Mention spécial à Oliver Reed qui trouve ici l'un de ces meilleurs rôles, du bon Cronenberg.
Publié le 1 Janvier 2007
Rage
On est plus dans l'horreur que dans le thriller contrairement aux autres films de Cronenberg, les simptomes de l'épidemie du virus ainsi que la cause de la propagion ressemblant à s'y méprendre aux zombis. La jeune actrice qui tient le film entier sur ses épaules (ce qui était asser rare dans les 70's surtout dans ce genre hormis Sigourney Weaver), c'est un joli petit lot qui va devoir survivre en commetant crimes sur crimes. Mais là où les choses lui sont facilités, c'est à travers les hommes dépeints dans ce film, véritables bètes traquant la proie, elle ne pourra jamais se reposer cinq minutes pour faire le point, il y aura toujours un bélatre pour venir tenter sa chance, on n'en ressort pas grandis.
Comme il est de tradition dans les films de zombis, aucune explication ne viendra nous expliquer le pourquoi du comment mais j'en garde tout de même un bon souvenir, une vraie curiosité que tous fans du Canadien doit connaître.
Publié le 1 Janvier 2007
Necronomicon
Avant même d'avoir vu le film, Necronomicon bénéficie d'un capital sympathie et ce, grace à trois noms, Yuzna, Combs mais surtout Lovecraft. On se dit alors qu'on va retrouver la même recette que sur Re-Animator, pas exactement à vrai dire...
Il s'agit donc en fait d'un film à sketches, trois plus la trame principal à partir de laquelle on accède aux histoire, donc quatre on va dire.
La première réalisé par Christopher Gans est la moins bonne du lot, il faut donc s'accrocher pour voir la suite. Il s'agit d'une histoire simpliste et cubénie ne proposant aucune rebondissement, aucun humour, vraiment tout est à jeter à part les jambes de la huissière qu'on avait pu voir en doctoresse folamour sur robocop 2.
La seconde histoire réalisé par un Japonais est ma préférée. On retrouve une petite histoire sympathique avec de bons effets gore, un acteur que j'aime beaucoup et de l'humour bien grincant.
La dernière est réalisé par Brian Yuzna qui signe une sorte de pré-quelle aux Retours des morts-vivants 3, sympathique également sans atteindre des sommets cependant.
Enfin, l'histoire de fond tiens la route mais la chute en forme d'Happy End avec un Jeffrey Combs métamorphosé physiquement qui se prend, l'espace d'un instant pour Bruce Campbell avec un bon gros clin d'oeil à Evil Dead 2 (le tourbillon), ça ne colle pas.
Les films à sketches, ça n'a jamais rien de transcendant et à partir du moment que le métrage est segmenté en plusieurs histoires réalisés par des personnes différentes, il y a un cruel manque d'homogénité, du coup Necromicon est tout juste sympathique. Je préfère dans le même genre Darkside ou Body Bags.
Publié le 1 Janvier 2007
Scanners
Je suis asser déçu du spectacle, scénario simpliste, ennemis machiavélique dont les motivations sont mal définies, et le comble du tout, hackage d'un ordinateur par télékinézie ! C'est vraiment du grand n'importe quoi pour ce film qui ressemble à une commande, on est bien loin de la complexité des autres Cronenberg et ce malgré un casting de très bon niveau, le film n'est pas allé au bout du concept et le résultat n'est pas convainquant, je préfère encore Brood ou Rage.
Publié le 1 Janvier 2007
Dead Zone
Premier véritable chef d'oeuvre de Cronenberg à mes yeux, Dead Zone est vraiment un petit bijoux. Jamais le concept des mediums n'a été aussi justement traité, ici, on a le droit à l'avant, le pendant, l'après nous plongeant Christopher Walken, parfait comme à son habitude, dans les différentes étapes de son nouveau don. L'altruisme, l'aide à la police, l'hermite et finalement, l'acceptation ou il devient passif. Martin Sheen offre également une exceptionnelle interpretation, mention spécial pour la fin sur l'estrade, véritable scène d'anthologie. Malheureusement, je n'ais pas le roman de King et ne peut comparer l'adpation mais le film est allé bien au delà de mes esperances et je ne lui est trouvé aucun défaut majeur, un thème fort, un casting fort, un realisateur fort pour un résultat incroyable, plausible, et soigné jusqu'a la fin, du grand cronenberg !
Publié le 1 Janvier 2007
American Gothic
Sur les trace de Massacre à la Tronçonneuse, American Gothic est la rencontre d'un groupe de jeunes citadins avec une famille de malades mentaux aux jeux particulièrement malsains. Le spectacle est réussi et divertissant même si l'ombre des rape & revenge à l'ancienne plane au dessus du film à tout moment. Mention spéciale pour la fin qui offre un retournement de situation imprévisible et novateur. Un bon divertissement.
Publié le 1 Janvier 2007
Doom
Comment adapter un jeu video sans scénario, en laissant faire les scribouillards des majors bien entendu qui nous servent ici une trame digne d'un Resident Evil à base de scientifiques et de marines. Tous les poncifs du genre sont ainsi réunis, mauvais acteurs, mauvais dialogues mais en plus, chose asser incroyable, contrairement à un RE, le film n'est même pas divertissant, 45mn et j'ai laissé tomber devant cette enchainement de portes et de lampes qui tombent en rade à un mètre de l'ennemi. Pur produit commercial, le cachet artistique est absent comme on pouvait s'y attendre, mais en plus, on se fait chier, le comble ! Preferez AvP dans le genre blockbuster pourrave, au moins, on ne s'ennui pas.
Publié le 1 Janvier 2007
La Guerre des Mondes
J'étais asser sur le quai vive, moi, les niaiseries de Spielberg... Et pourtant, je dois reconnaître qu'on a là un bon film de SF, un bon film catastrophe avec la dose de SFX, des personnages attachants et un Tom Cruise criant de réalisme. Mise à part l'utilisation de gamins et les voix off, le résultat est tout de même très concluant. N'ayant pas eu encore lu le roman de Wells en revanche, je ne me prononcerais pas sur la qualité d'adaptation. C'est bien Steven, t'es sur la bonne voix.
Publié le 1 Janvier 2007
Crash
Première intérrogation après la vision du film, mais qu'est-ce que Cronenberg à bien voulu dire ? Le premier adjectif concernant le film qui me vient à l'esprit est, répugnant mais connaissant la Canadien, les apparences sont souvent trompeuses et une analyse en profondeur est nécessaire pour comprendre toute l'essence de ce film, ok.
Plusieurs lectures sont possibles, voici donc mon interpretation. J'ai donc du mal à comprendre la démarche du realisateur, il ne s'agit surement pas d'un film grand public et encore moins d'une critique de la société. Le film nous narre les tribulations d'un petit groupe d'individus ayant survécus à la mort suite à un accident de la circulation et vivant comme des morts en sursis. Le sentiment d'être encore vivant et de vivre dans la précarité de la vie acrue la libido et c'est l'occasion de nous montrer moult orgies sexuels du début à la fin faisant passer Basic Instinct pour un épisode de la petite maison dans la prairie, rien ne nous est épargné, homme/femme dans différentes positions, homosexualité masculine, féminine, viol avec consentement... Plutôt que d'essayer de continuer à vivre, les interlocuteurs stoppent tout espoir de recommencer ou de continuer quelque chose et vivent au jour le jour dans une sorte de fascination et fétichisation de la mort où la simple vision/mention de la mort à travers un accident de la circulation éveil en eux un désir sexuel incontrolable.
Pour appréhender convenablement le film il faut être passé tout près de la mort et en avoir eu confiance. Il faut faire abstraction de tout ce qu'on nous a appris sur la mort. Les protagonistes vivent dans une sorte d'acceptation de la mort et de leur pulsions malsaines, comme par exemple, prendre des photos lors d'un accident alors que les cadavres jonchent le sol. Ils attendent la mort et la devance même en se mettant eux même en péril.
Si j'ai compris le message du film, je ne comprends pas en revanche l'intérêt d'en faire un film ou plus exactement celui là. Seul une petite minorité de personnes pourront comprendre la démarche, mais quand bien même, la manière de le présenter est maladroite et le film en ressort comme une experience malsaine et morbide au final. Une deuxième vision était plus que facultatif à mon sens. Si j'ai compris où Cronenberg voulait en venir, je pense qu'artistiquement, il s'est trompé et nous livre un film brouillon, dérangeant et qui aurait mérité un autre montage, moins de sexe et une trame complètement différente, bref, un autre film. A voir une fois cependant mais ames sensibles s'abstenir, ça va très loin.
Publié le 1 Janvier 2007
Mission to Mars
Mais que sait-il passé ? Le génialissime réalisateur de Scarface et Carrie a décidé de s'attaquer à la SF, why not, mais le résultat est mais alors mauvais, ça pue la paté pour chien mais à un stade... Le film est blindés de longueurs, flashbacks avec de la guimauve au kilomètres, du mélo, des passages grandiloquents tout ça au service d'un message ultra simpliste sur les origines de l'être humain, risible, tout comme les acteurs dont le seul qui bénéficie d'un charisme indiscutable, ne sera pas présent durant tout le métrage. Hyper déçu connaissant le réalisateur de voir ce gros nanard pretentieux qui aurait pu être pondu par n'importe quel jeune realisateur, incroyable, est-ce la fin pour De Palma ?
Publié le 1 Janvier 2007
Candyman
Adaptation d'un roman de Clive Barker (Hellraiser, Nightbreed, Le maître des illusions), Candyman a tout du nanard marchant sur les tracers des plus célèbres slashers. Je ne pense pas que l'histoire sois en cause mais sans traitement cinématographique, à travers un scénario simpliste et blindé d'incohérences, de mauvais dialogues et d'un casting qui place la star du Z, Virginia Madsen, au premier rang. Tout ceci sent le déjà vu, le réchauffer, preuve en est, le film est depuis fréquement diffusé sur des chaines du groupe AB ou RTL9 comme bon nanard de fin de soirée...
Publié le 1 Janvier 2007
Bruiser
Quand Romero décide de délaisser les morts vivants pour une commande, ça donne Bruiser. L'histoire d'une lopette qui ne parvient pas à gérer sa vie et attends le seuil critique de l'intolérance pour se vanger avec un masque, caché derrière ce morceau de plastique, il trouve les castagnettes pour s'imposer et régler de manière définitive ces différents problèmes avec son entourage. Thème minimaliste, Bruiser est un vulgaire polar narrant la misérable existence d'un refoulé comme il en existe des millions, un film qui mériterais de passer en seconde partie sur TF1 tant le manque d'ambition et de complexité est déplorable. Je mets 1 pour les dialogues.
Publié le 1 Janvier 2007
Nuits de terreur
Sympathique petite série B ou une sorcière apparait la nuit où l'on a perdu notre dernière dent de lait, si on la regarde, elle nous tue dans d'affroces soufrances. Le film est donc plaisant même si aucun ingredient ne font de lui un bon film et encore moins une référence, pour ça il aurait nécessaire de nous offrir un bon casting et un scénario moins simpliste. J'avais vu un autre film sur un thème similaire, des gens qui échappaient au noir mais le résultat est beaucoup plus convainquant, incapable de me souvenir du titre. A visionner un soir, entre potes avec des bières.
Publié le 1 Janvier 2007
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