En 1984, Douce Nuit, Sanglante Nuit s'offre une petite place dans le paysage très prisé des slashers. On se souvient d'un film modeste, parfois longuet, mais assez honnête dans l'ensemble. Il semblait presque inévitable qu'une suite surgisse quelques années plus tard (trois pour être précis). On n'aura pas droit au syndrome de l'increvable et voir Billy s'extirper de...
Attention, cette critique contient des spoilers. Une jeune infirmière, épaulée par une supérieure dévouée et attentive, comprend rapidement que celle-ci cache en réalité un lourd secret. Depuis plusieurs décennies, l'hôpital sert de repaire à bon nombre de praticiens dégénérés ayant offert quelques sueurs froides aux amateurs de sensations fortes. La 3D pouvant permettre de prolonger le plaisir...
Quand on s’attaque à un thème aussi exploité que les morts-vivants ou la comédie de zombies en l’occurrence, il faut avoir un minimum d’idées et un scénario potable pour se lancer dans l’aventure. Faire un film sans imagination et surtout sans apporter un petit quelque chose au genre, c’est un peu comme suivre le troupeau de moutons qui saute de la falaise. Autrement...
Mais pourquoi diable les producteurs ont-ils choisi de faire une suite Direct-to-video à l'excellent Effet Papillon alors que ce dernier avait rencontré un énorme succès, tant public que critique? Une décision d'autant plus incompréhensible que la fin du premier film telle qu'elle apparaissait dans le Director's cut n'ouvrait pas la porte à une suite et que pour obtenir une...
**Attention, cette critique contient quelques spoilers.** Lors d'une fête foraine, deux jeunes couples décident de passer la nuit dans le train fantôme. Mais ils n'y sont pas seuls. Promu maître de l'horreur dès son second film, Massacre à la Tronçonneuse (1974), Tobe Hooper n'est pas loin d'être pour beaucoup de cinéphiles l'homme d'un seul film. A l'instar d'un Wes Craven après Les Griffes de...