Critiques du film The Roost ([field_annee])

Vous êtes ici

Il n'y a aucune critique enregistrée pour ce film. Vous pouvez aussi ajouter votre critique !

The fades

The fades

Les Britanniques sont connus pour offrir des séries à contre-courant d’une production de masse efficace qui manque cruellement d’originalité. Après s’être penché à de nombreux thèmes chers au fantastique et à l’horreur, le Royaume-Uni s’attaque aux fantômes sur fond de prophéties apocalyptiques. Doté d’un pitch non dénué d’intérêt, d’une solide réputation autant auprès du public que des...
Planet of the Sharks

Planet of the Sharks

Innover dans le domaine de la sharksploitation ne relève pas de la gageure, mais du non-sens. Depuis plus d’une dizaine d’années, SyFy et Asylum ont fini d’achever le semblant de crédibilité que l’on pouvait octroyer au genre. Si l’on ne s’étonne guère de trouver des productions toutes plus affligeantes les unes que les autres, il reste néanmoins surprenant,...
The Traveler: le Justicier des Ténèbres

The Traveler: le Justicier des Ténèbres

La déchéance, c'est vraiment quelque chose de moche. Prenez Val Kilmer , par exemple. Son talent est indéniable et reconnu par tous. Du moins, il l'était au temps de sa splendeur. Top Gun , Willow , Les Doors , Heat , L'ombre et la Proie , et j'en passe, tous témoignent de sa qualité d'interprétation. Malheureusement, si son talent est connu de tous, il en va de même pour son...
Shark week

Shark week

Le film de requins-tueur et Asylum, c’est une éternelle histoire de désamour. Prônant le grand n’importe quoi et le mauvais goût à outrance, la société de production s’est fait un devoir de massacrer squales et autres prédateurs dans des navets tous plus ignobles les uns que les autres. Pour mettre en boîte pléthore d’immondices cinématographiques, elle a son lot de...
Les Rues de l'Enfer

Les Rues de l'Enfer

Dans une banlieue difficile de Los Angeles, Brenda, une jeune femme forte et indépendante, décide de venger sa jeune soeur, sourde et muette, violée par un gang. Dès la fin des années 70, pour évoquer la montée en flèche de la violence et de la délinquance dans son pays, le Septième Art américain se lance dans les films d'auto-défense (cf la sage culte du Justicier , avec Charles Bronson),...

Devinez le film par sa tagline :

Beware your destiny
Score actuel : 0
1 pt par bonne réponse, sinon -1 !