Slumber Party Massacre 2
Critiques spectateurs
Réalisateur: Deborah Brock Avec Crystal Bernard, Jennifer Rhodes, Patrick Lowe, Juliette Cummins, Kimberly McArthurInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 01/03/2013 - 14:22
(I Can't Get No) Satisfaction
Le film ne fait pas directement suite à l'original. L'histoire prétexte un lien traumatique entre la première héroïne, internée, et sa petite sœur qui fait des cauchemars suite aux horribles évènements. Jusqu'à la 40ème minute, où ça commence à devenir plus sanglant (scène de la salle de bain bien dégueulasse), Courtney et ses potes se trainent avec de petites amourettes collégiennes, quelques chansons et de petites coupures cauchemardesques où le Killer fait quelques pas de danse en dévoilant par flash les meilleurs moments de la fin.
The Slumber Party Massacre II n'est pas très généreux sur le plan sexy. Nous n'aurons droit ici qu'à une modeste poitrine et rien de plus. Côté meurtrier, il ne se passera rien avant 50 minutes (le film fait 1h10). Par contre, à plusieurs reprises, on peut se taper des chansons entières. Côté humour, c'est light. Quand on rit, c'est plus pour de grosses conneries, comme l'agression du poulet.
Le tueur est une sorte de phantasme à la Freddy. Pour Courtney, c'est un croisement entre la répulsion et l'attirance du rebelle au blouson noir (avec son clope sur l'oreille). S'il sait bien danser et sortir des citations de chansons connues, quand il se décide à sortir sa putain de guitare/perceuse, ça troue le ... Enfin, ça troue un peu tout ce qui passe. Mais là, il y a la dose d’hémoglobine et de morceaux de chaire ! Malheureusement, son détachement de la réalité permanent empêche le rockeur de se monter réellement flippant à la fin.
The Slumber Party Massacre II est donc un petit film agréable des 80's. Suite peu inspirée, il se réfugie derrière les hallucinations de son héroïne et se dote d'un tueur original avec une arme... inattendue. Le film avait le potentiel d’offrir beaucoup plus. C'est cool, mais jamais transcendant.
publié le 13/02/2009 - 12:18
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