Critiques du film Prodigal Son ([field_annee])

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Vampire Lovers

Vampire Lovers

En Styrie, au début du XIXème siècle, d'étranges morts se succèdent tandis qu'une jeune femme s'immisce dans la vie de Laura, une fille de bonne famille. Au début des années 70, après l'énorme succès de ses franchises phares, principalement les Dracula et Frankenstein , la Hammer se devait d'apporter un peu de sang frais à sa ligne éditrice. Ainsi, en explorant par exemple une...
Blood Snow

Blood Snow

Blood Snow ... Quel titre d'une banalité affligeante alors que le Necrosis originel a tout de même une autre gueule. Vous me direz que ça ne change rien au contenu du film (et vous aurez raison) mais il n'empêche que cette manie de remplacer les titres anglophones par d'autres également en Anglais afin d'assurer l'exploitation en France est agaçante. Bref, après ce petit coup de gueule salvateur...
Timber Falls

Timber Falls

Pour son premier film d'horreur, le réalisateur Tony Giglio s'est attaqué à un genre très prisé, voire surexploité: le Survival. Forestier dans le cas de Timber Falls . Pour ce faire, le réalisateur s'est muni de son petit livre "Le Survival pour les Nuls" afin de respecter le cahier des charges inhérent au genre. Le film ressemble donc à une succession de clins d'oeil...
Brightburn : L'Enfant du mal

Brightburn : L'Enfant du mal

Si le film de super-héros reste l’occasion d’exploiter plusieurs genres, de la science-fiction à l’action, il dispose de codes à part entière. Hormis quelques exceptions, dont la trilogie Glass de Shyamalan, les productions Marvel et DC monopolisent allègrement cette frange du paysage cinématographique; elles-mêmes adaptées des comics respectifs. Aussi, il est particulièrement...
Douce nuit - sanglante nuit 4: l'initiation

Douce nuit - sanglante nuit 4: l'initiation

Grâce à la magie du cinéma et son incommensurable absurdité dans certains cas, une franchise qui voit se succéder des films infâmes ne s’arrête pas en si mauvais chemin. Hormis le premier opus, Douce nuit sanglante nuit brille par sa nullité intrinsèque. Surenchère incohérente d’histoires plus maigres qu’un sucre d’orge, guirlandes d’interprètes à la ramasse, décorations de pacotilles et...

Devinez le film par sa tagline :

Une petite fille découvre le pouvoir d'une mystérieuse fleur.
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