Bleue est la mer Blanche est la mort 1971
Synopsis
Bleue est la mer, blanche est la mort retrace le récit d’un voyage de 18 mois, initié par Peter Gimbel, sur les traces des requins, et plus particulièrement du grand requin blanc, animal qui malgré lui à donné si mauvaise réputation à tous ses cousins prédateurs...
Anecdotes
Les requins et le cinéma, c'est une longue histoire. Le film culte de Spielberg, ainsi que le best-seller de Peter Benchley, ne sont pas étrangers à cet état de fait. Il est vrai aussi que l'animal présente certaine prédispositions naturelles : un aspect terrifiant, une taille impressionnante et une mâchoire à faire pâlir.
Il ne faut cependant pas oublier que le requin qui vous glace le sang n'est pas n'importe qui. Il s'agit du grand requin blanc (ou Carcharodon carcharias), un super prédateur qui peut atteindre 5 mètres de long, voire plus. Le grand requin blanc a une ouïe et un odorat très sensibles. Il est capable de sentir une goutte de sang dans plus de 4,6 millions de litres d'eau (!) et d'entendre une proie à 1km de distance. Bref, pas le genre d'animal que l'on aime croiser quand on fait de la plongée ! Mais que nos amis plongeurs se rassurent, la réputation de ce requin est très exagérée et qu'il n'attaque que rarement l'homme (la plupart des attaques se situent sous les tropiques alors que le grand requin blanc y est rarissime).
Enfin, sachez que seules 5 espèces sur les 250 existantes sont jugées dangereuses pour l'homme... Pour en revenir au cinéma, on constate que le film de Spielberg a connu un nombre assez important de plagiats et que peu de films sont vraiment originaux.
Critiques Spectateurs
Il n'y a pas de critiques spectateurs pour l'instant.
N'hésitez pas à ajouter la votre !