La Maison du Diable
Critiques spectateurs
Réalisateur: Robert Wise Avec Julie Harris, Richard Johnson, Claire Bloom, Russ Tamblyn, Lois Maxwell, Fay ComptonInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 07/06/2015 - 22:46
une référence
Pas toujours facile de faire un film d'épouvante sans y montrer un fantôme, un tueur sadique, un monstre ou une créature hideuse ..... Robert Wise y est parvenu. Dès ma première vision de ce film, encore jeune, j'ai été impressionné par l'ambiance dégagée dans ce film, d'abord par le noir et blanc, puis par ce manoir lugubre et par le jeu des acteurs auxquels s'ajoutent quelques bruits : des pas, des coups sur les portes .... Le tout pour un résultat très abouti, bien meilleurs que dans certaines copies ou remake (Hantise) où à force de vouloir en faire de trop, on attire plus le spectateur sur la qualité des effets spéciaux que sur l'ambiance de terreur du film. A voir absolument, même pour les jeunes qui ne sont pas fans du noir et blanc.
publié le 23/04/2013 - 22:08
Bien dans le style de son époque
publié le 16/04/2013 - 13:16
G.C on a vu le même film hier soir.
publié le 15/04/2013 - 22:55
Mon avis
publié le 28/01/2013 - 19:16
Mon avis
publié le 28/01/2013 - 18:00
Mon avis
Les acteurs, eux, font le minimum syndical. Sans en faire trop, ils tentent de comprendre ce qui se passe dans le castel. Sont-ils victimes d’hallucinations ou bien le castel est vraiment hanté ?
La réalisation de Robert Wise est ce qui fait toute la force du film. Novatrice (pour l'époque et même encore aujourd'hui) grâce aux mouvements de caméra surprenant.
The Haunting est un film qui a l'intelligence de ne pas se planter sous un tas d'effets spéciaux fauchés et qui parvient 50 ans après sa sortie, à nous toujours nous terrifier
publié le 26/01/2013 - 17:16
Mon avis
The Haunting narre l'expérience menée par le Dr Markway (Richard Johnson) sur les esprits dans une terrifiante et imposante demeure réputée hantée. Pour ce faire il invite à ses côtés Eleanor (Julie Harris) et Theo (Claire Bloom) dans la bâtisse, ainsi que le neveu de la propriétaire, Luke (Russ Tamblyn). C'est donc tout en subtilité et en questionnements que l'on nous embarque dans un voyage vers la peur.
Ici, il n'est aucunement question d'effets spéciaux kitsch à souhait, non, ici il est question d'une pure horreur psychologique. La mise en scène ingénieuse et innovante pour l'époque – avec ses mouvements de caméra et ses angles de prise de vue – sert à elle seule à nous terrifier. A aucun moment nous ne rencontrons ces esprits, à aucun moment nous n'avons la preuve qu'ils existent. En effet, les faits semblent tous être explicables, mais le sont-ils vraiment ? C'est en permanence ce questionnement qui torture nos sens et ceux des personnages. Aussi, comme dirait le Dr Markway, « A closed mind is the worst defense against supernatural », il nous aura prévenu !
Mais ces fantômes ne sont pas les seuls choses angoissantes, c'est également cette plongée dans la psyché fragile d'Eleanor – incarnée à merveille par Julie Harris parfaite dans son rôle – dans son long chemin vers la folie. La peur, la mort de sa mère, cette maison qui l’obsède la mènera dans des confins d'épouvantes où nous sommes les seuls témoins impuissants et pétrifiés. La terreur va crescendo, les vingt dernières minutes sont les plus angoissantes, les plus prenantes, votre rétine reste collée à l'écran espérant que tout ceci cesse et là le drame final intervient, implacable ! Jusqu'à la dernière minute nous nous demanderons ce qui s'est passé dans cette maison sans trouver de réponses suffisamment rassurantes.
Que Saw, Hostel, The Hills Have Eyes et tout ces films au gore écœurant au goût douteux aillent au diable, la vraie horreur se trouve dans The Haunting, dans ces films à atmosphère, dans ces plongées dans l'esprit des dérangés, dans ces visites de maisons. Wise nous gâte réellement avec l'un de ses meilleurs film, l'un de ses plus inventif et mémorable. Ne vous faites pas avoir le titre VF, c'est bien un must, un incontournable pour tous les fans de The Others (2001) et compagnie...
publié le 02/09/2012 - 18:11
La maison de retraite hantée
publié le 28/03/2012 - 06:46
Pure merveille
publié le 08/08/2010 - 15:33
Frissons d'outre tombe
Si l'usage du noir et blanc pose un climat d'emblé angoissant, il est quand même étonnant que le film fasse une aussi forte impression malgré très peu d'artifices pour instaurer le malaise. Des coups répétés au loin, une porte qui gondole, une température inexplicablement variable, le subconscient torturé de l'héroïne révélé en voix off pour faire partager ses terreurs, des expressions et dialogues dépeignant avec talent l'oppression subie par les personnages...
Wise est le maître de la suggestion et exploite à merveille les tensions psychologiques qui naissent entre les personnages pour mieux nous destabiliser. On en viendra à se surprendre à partager les troubles de ces derniers tant la maison parait si hostile et...vivante (formidables décors ténébreux soit dit en passant) alors qu'à aucun moment on ne verra le moindre bout d'ectoplasme ou objet volant (tout le contraire d'un POLTERGEIST ou d'un HANTISE en somme).
On appelle ça un chef d'oeuvre indémodable!
PS: pour prolonger l'aventure, n'hésitez pas à jeter un oeil sur le formidable roman original ("Maison hantée" de Shirley Jackson, parfois retitré "Hantise" pour la réédition). Egalement un monument de terreur psychologique inégalé qui complète bien le récit du film :)
publié le 11/07/2010 - 21:20
La maison du diable
publié le 12/03/2010 - 06:07
Une maison...
Voilà donc un classique. Oui ma bonne dame ! Voici le genre de film issu d'une période plus que prolifique en chefs d'œuvres, comme par exemple : Les Oiseaux (1963) d'Hitchcock ou encore mieux Psychose en 1960.
Mais revenons plutôt au réalisateur, Robert Wise, véritable caméléon, qui comme un certain M. Kubrick, s’essaya à plusieurs genres pour à chaque fois réaliser un des classiques du genre : la comédie musicale avec West Side Story ou La mélodie du bonheur, le film de guerre (la Canonnière du yang-tse, l'Odyssée du sous-marin nerka...), le péplum (Hélène de troie) ou la S.F. (le jour où la Terre s’arrêta, Star Trek). Pourtant une polémique, quant à la source d’inspiration du film, hante encore aujourd’hui sa pellicule. En effet, beaucoup de personne ne doute pas que Wise se soit inspiré ouvertement du film Psychose d’un certain monsieur à la silhouette prononcée. Allant même jusqu’à utiliser la même trame narrative… Sans prononcer le mot de plagiat, trop souvent galvaudé, qu’il y est inspiration consciente ou non, Wise s'en tire merveilleusement.
The Haunting constitue un des films étalons consacrés aux maisons hantées et une sacrée claque encore aujourd’hui. Ne vous y trompez pas, ceci n’est pas un film facile ou simple(iste). Wise nous force à réfléchir ou mieux à ressentir… La mise en scène, l’image, le son... Tout nous absorbe littéralement dans cet univers, nous rendant témoin privilégié. Mais surtout, multipliant les pistes de lecture, Wise nous entraîne peu à peu dans la folie de la protagoniste (Julie Harris). Ici, je m’autoriserai à citer une partie de l’analyse de Jérôme Peyrel sur ce film (Ceci pour appuyer un peu mon propos): « la profondeur ne se limite pas à ces tours de passe-passe (bruitage, traitements d’images,…) : le thème fondateur de l'intrigue, de la légende même de la maison, c'est la brisure, le renversement, le trauma infantile. Le cinéaste l'exprime en jouant à fond la carte du dérangement : fondus, cadrages déficients…, lors de la séquence d'ouverture du film : là est dite une des clefs du métrage, durant lequel le spectateur certes entendra, sentira, devinera mais ne verra rien de ce qui le terrifie. » La messe est dite !
M’étant un peu égaré, pour cette critique, je pourrais vous parler des acteurs (grandioses), de la maison (ou plutôt des maisons), de l’exemple parfait qu’est ce métrage que la surenchère ne vaut jamais un bon scénario porté par un réalisateur de génie appuyé par des professionnels de talents. Je pourrais… je pourrais… Mais en fin de compte, les mots ne sont rien fasse au ressentir, donc ne lisez plus ! Allez vous procurer ce merveilleux film et profité de ce retour dans le passé, qui légitime à lui seul le célèbre dicton : « C’était mieux avant ! »
publié le 10/02/2010 - 01:09
SUPERBEMENT INQUIETANT
publié le 30/12/2009 - 23:54
It’s alive ! Aliiive !
publié le 23/10/2009 - 21:06
Est ce bien réel??
publié le 10/05/2008 - 00:56
Demeure insolite
publié le 01/01/2007 - 00:00
Très bon!
publié le 01/01/2007 - 00:00
VO de Jackson!
publié le 01/01/2007 - 00:00
Mon Avis
publié le 01/01/2007 - 00:00
La femme du diable
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