Mega Shark Vs. Octopus
Critiques spectateurs
Réalisateur: Jack Perez Avec Deborah Gibson, Sean Lawlor, Stephen Blackehart, Lorenzo Lamas, Dean KreylingInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 28/08/2015 - 11:52
On voit pas l'fond... mais on le touche.
Paraît que la différence entre l'intelligence et la bêtise, c'est que la première a des limites.
Cette nauséabeurkerie le démontre.
D'accord, c'est d'un bout à l'autre inepte, mais dans ce genre de film, le spectaculaire est plus qu'autorisé à prendre le pas sur le rationnel, mais là c'est idiotement inepte.
Les bestiaux sont gigantesques, mais changent de taille selon la proie visée.
Les scientifiques sont tout juste bons à faire des cocktails.
Les militaires sont des gros noeuds pas foutus de faire un carton correct dans une cible de la taille d'un gros porte-avion. Faut dire qu'avec 3 sous-marins, 1 porte-avion et 2 croiseur, la miséreuse US Navy n'est pas équipée... mais vu que de toute façon ses commandants tirent sur des cibles sous-marines avec de l'artillerie anti-aérienne, ç'aurait été du gaspillage de leur filer plus de matos.
Par contre, le sous-marin d'exploration est une merveille d'hydrodynamisme : coincé entre 2 gros militaires qui torpillent tous azimuts, et 2 mastodontes de plusieurs milliers de tonnes (ben oui, à 15m, le poids du mégalodon est estimé à 50 tonnes, alors à 400m, j'vous laisse faire le calcul) en train de se friter à mort, il dévie pas son cap d'un micropoil, totalement insensibles aux remous. Trop d'la balle.
Vu l'énormité de la somme des énormités à filmer, y a pas dû y avoir des masses de volontaires. Du coup, l'abruti responsable du scénar a pris la caméra. Il est pas plus doué dans ce domaine que dans le précédent. Des plans qui passent et repassent, des cadrages approximatifs, une luminosité systématiquement inadéquate, des décors (totalement improbables, d'ailleurs) en carton mal recyclé... Les seules images assez jolies sont dans les 3 premières minutes, mais elles sont pas de lui : il s'est contenté de piller divers docus animaliers pour faire un peu de meublage pas cher.
Les effets sont ridicules. Entièrement en synthèse, ils parviennent à donner aux sous-marins une tronche de maquettes plastique mal collée. Le requin est par moment pas trop mal fait... sauf que c'est un Grand Blanc, pas un Mégalodon. La pieuvre... ben à part les tentacules, on la voit quasi jamais.
L'interprétation... juste... nulle. La blonde est à fond dedans (alors qu'on préférerait la voir dans un film où les autres seraient à fond dans la blonde), et pas une seconde elle réalise qu'elle est la seule à y croire, les autres n'étant venu là que pour le chèque, et tous visiblement pressé d'en finir au plus vite.
Une daube inutile.
Conseil perso, si vraiment vous voulez voir un requin géant qui vole : coupez l'son d'votre navigateur, tapez "youtub mega shark octopus best" dans votre moteur de recherche de porno (faites pas les offusqués), et mettez-vous "You Can't Stop It" de Skindred en fond. Ainsi, vous aurez vu les 4 seules minutes potables du film avec une bonne bande son. Et encore, le gars a mis quelques scènes que j'aurais virées...
publié le 27/02/2013 - 20:11
La guerre des sushis
Des requins marteau et des espèces de poissons de récifs en Alaska, une dent en plastique tellement bien faite que c'est sûrement le neveu du producteur qui s'en est chargé, une exagération de la taille du Mégalodon (gonflé aux OGM probablement), les gardes militaires portant tous des lunettes de soleil bon marché (ça ne cache pas leur sale tête de toute façon), une scène où le requin se prend pour une truite essayant d'attraper une mouche en plein vol (747 la mouche), une autre où l'on peut voir 3 avions de chasse différent représentant le même chasseur pourtant (respectivement F15, F18 et F22. Pour les confondre faut être aveugle), des intérieurs de sous-marins et autres navires montrant bien qu'aucun guignol de la production n'en à jamais vu (pilotage au joystick trop foooort!). On y ajoute aussi des dialogues plats et sans intérêt, une bande d'acteurs juste bon à jouer dans des spots publicitaires (et encore) ainsi que des FX sortis tout droit du garage de l'oncle Sam. On secoue et hop! Voilà un film Asylum supplémentaire.
Précautions avant emploi: préparer une activité à portée de main au cas où l'on perd de l'intérêt pour le film.
publié le 04/12/2012 - 13:23
Ridiculorigolo
publié le 01/08/2012 - 14:24
Megashark vs giant octopus
publié le 13/08/2011 - 19:10
Sharky et Poulpy
publié le 24/10/2010 - 18:14
Megagroscon vs octanus
publié le 03/07/2010 - 14:07
Touché...Coulé!!!!!!!!!!!!!!
publié le 07/01/2010 - 23:03
Mega Shit vs Giant OctoDaube
Maintenant, voilà, il y a l'aspect 2e degré, que dis-je 36e degré... où ai-je la tête: 45689854133521e degré, qui fait que la pire des merdes peut finalement sentir la rose et vous anesthésier de son doux parfum...
Dans ce cas, mieux vaut quand même rester le nez bouché car c'est une belle grosse déjection que nous avons là, et malgré le fait que les mouches à merde vicieuses et bourdonnantes que sont tous les fans de nanars se préparent déjà à festoyer, c'est une chiée bien molle qui nous est servie, de celles qui n'ont aucune tenue, aucune consistance, bref: aucune classe...
Je rappelle la différence entre nanar et navet? Les deux sont nuls, mais le premier peut atteindre un "état de grâce" salutaire et divertissant par le biais d'une connerie parfois géniale à force dêtre surréaliste et surprenante, et l'autre est tout simplement sinistrement nul et barbant. Ici, on navigue entre les deux. Comme disait Max, le film est laborieux, on s'emmerde pas mal, et contrairement à lui, je trouve les acteurs effroyablement nuls. Heureusement, si certains sont nuls "pas marrants" (les têtes d'affiche), Lorenzo Lamas (la tête de noeud) s'en tire avec les honneurs, et nous fait bien rire avec une interprétation complètement à côté de la plaque, bien Z et naZe, que même le pire cachetonneur de la pire des série Z lui envierait... Saluons bien bas donc cette valeur ajoutée qui fait que l'incompétence devient une qualité dans un mauvais film! Etonnant tout de même de la part de cet acteur, qui sans jamais avoir été transcendant, savait rester convaincant sur d'autres productions...
Autre "qualité" de cette bouZe honteuse uniquement destinée à ceux qui aiment continuer à s'abîmer le cerveau après avoir bien bu, fumé et tapé leur femme (que des plaisirs simples qui font le charme de notre société actuelle), quelques séquences tellement débiles qu'elles confinent au génie pur: Le requin qui bouffe un pont, ou qui saute sur un avion... que du lourd! Et là, si vous êtes du genre à rigoler bêtement quand quelqu'un a pété, vous allez vous sentir comme chez vous! La connerie vous enveloppe sans complexe dans son manteau le plus chaud, vous octroyant un confort trisomique par ces temps froids et rigoureux, dont vous ne pourrez plus vous passer tellement cette chaleur si humaine (la connerie que maîtrise si brillament l'espèce humaine auto-proclamée "espèce supérieure") sera une douceur pour vos sens dont vous ne pourrez plus vous passer!
Mais tout le problème est là! Si le film est parfois brillant par son incroyable bêtise, ses dialogues stupides et certaines séquences tellement branquignoles qu'on se les repasse immédiatement afin de vérifier que l'on a pas rêvé, il est très inégal nanardesquement parlant! Mon connardomètre (un appareil ultra sophistiqué conçu par votre serviteur, et ensuite développé par la NASA afin de vérifier s'il est vraiment utile d'envoyer l'homme dans l'espace sachant qu'il n'est déjà pas foutu de gérer la Terre correctement) ne frétille que par instants... Quelques orgasmes mongoloïdes de temps en temps, mais peu d'érections trisomiques finalement...
Et oui, un amateur de nanar c'est comme un enfant, vous pouvez l'occuper avec un truc con, mais il faut savoir maintenir son attention sinon il vous balance son jouet à la gueule après lui avoir crevé les yeux! Et plus vous lui en donnez, plus il en demande! Donc quand on chie des scènes tellements débiles, que l'on a envie de s'agenouiller, que dis-je, se prosterner, tant l'admiration nous submerge, il faut savoir maintenir le niveau! Ce n'est pas le cas ici! Du génie à l'état pur, certes, mais également beaucoup d'ennui, de tunnels sans éclats de scènes de remplissages pas drôles où on attends "le truc qui déconne" mais qui ne vient pas! Frustrant, comme une envie de péter qui reste coincée dans les intestins, et qui finit par casser l'inspiration et enlève toute la magie spirituelle de l'instant... Je vous parais trivial avec mes "allégories"? Mouais... Moi je dirais qu'on s'adapte au niveau des films que l'on critique surtout...
Quoiqu'il en soit, je ne peux malheureusement pas octroyer plus qu'un 6/10 nanardesque, car bien que la teneur en délabrement intellectuel de l'ensemble soit totale, elle ne chatouille les zones érogènes du cortex cérébral que par instants fugitifs... Un film à voir donc vite fait entre potes, si possible attardés, avec le doigt vissé sur l'avance rapide de la télécommande (la plus belle invention de l'homme après la bombe nucléaire), bien pratique pour les films nuls dont vous voulez quand même voir la fin avant que les flics débarquent chez vous parce vous avez mis un peu trop d'entrain à dérouiller votre femme... (C'est sa faute m'sieur l'agent: elle suce mal depuis qu'elle a plus ses dents...)
publié le 28/12/2009 - 19:01
Aaaaah ! Un RVNI !!! Noooon !!!!!
publié le 17/08/2009 - 23:28
Lorenzo my zero !