Brainscan
Critiques spectateurs
Réalisateur: John Flynn Avec Edward Furlong, Frank Langella, T. Ryder Smith, Amy Hargreaves, Jamie Marsh, Victor Ertmanis, David Hemblen, Vlasta VranaInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 03/11/2013 - 17:53
Frangin pour la vie
publié le 30/11/2012 - 21:25
Bon
A découvrir si vous voulez passer un bon moment !
publié le 31/03/2012 - 15:55
Mon avis
publié le 19/12/2011 - 03:47
Quand le médiocre rend nostalgique...
Il est vrai que dans l'ensemble il est bien inoffensif, mais il fait partie de ces films bien encrés dans leur époque qui ont un certain charme presque nanardesque.
La peur des nouvelles technologies au milieu des années 90 se traduit bel et bien en pointant du doigt les jeux vidéo. Et si maintenant Mémère s'amuse à déjouer les pièges du professeur Layton sur sa console de toilettes avant de suivre à la lettre la recette du hachis parmentier dicté par sa Wii-oui.
Il fut une époque que beaucoup ont sans doute connu ici, ou elle entrait dans nos chambre en criant "va jouer dehors, cette console va finir par t'abrutir complètement!", les jeux vidéo c’était le mal incarné, l'informatique : un exutoire d'ado frustré, le métal : de la musique de drogué (ça a pas trop changé), les films d'horreur menaient aux pires déviances, quand aux jeux de rôle et a la BD : des hobbys de tarés à tendance débile (seuls éléments manquant au tableau pour compléter le profil de paumé du héros).
Et puis la culture geek c'est démocratisée, et le terme en lui même c'est dénaturé, maintenant même la première pépette de 15 ans qui passe un peu trop de temps sur twitter peu se targuer d'en être une (c'est même devenue une sorte de qualité), sans vraiment trop savoir ce que ca signifie... et si tant est qu'elle joue son elfette sur WoW et qu'elle à lu son Vampire Knight c'est carrément une hard core
On trouve dans les kiosques des magazines au look arty censé être destiné à notre espèce, nos derniers privilèges d’asociaux consentant, notre droit à être regardé comme des bête de foire par nos congénères s'envolent, nous devenons peu à peu la norme et les salles obscures quasi déserte que nous fréquentions il y a encore une dizaine d'années, sont aujourd'hui envahis de jeunes et moins jeunes crétins qui poussent des cris d'effrois au moindre mouvement de caméra parce qu'ils ont vu dans des trailers américain que c'est comme ça qu'il faut réagir et qu'on leur a bien dit que c'est le film le plus terrifiant qu'ils verront jamais. Du coup en plus d'être inutilement bruyant, ils nous empêche par leur simple présence de caler nos pieds sur le siège de devant...
Bref toute digression complètement arbitraire et abusive d'aigrie prétentieuse mis à part, et bien qu'il reste une belle communauté d'illuminés qui s'imaginent que jouer a Doom entraînent immanquablement un adolescent à perpétrer un massacre dans son collège, le propos du film ne fonctionne plus vraiment en 2011, du moins pas de la façon dont il est exploité ici.
Maintenant pour parler du film en lui même.... un méchant rigolo plutôt bien interprété mais pas franchement effrayant, un jeune héros ma foi bien mignon, mi rebelle, mi naïf comme on les aime (dont on aurait pas soupçonné l'indéniable talent au vu de ce film), un scénario qui a du mal a trouvé son rythme et se mord un peu la queue dans son développement, des SFX de série TV qui sont aussi minables qu'ils se voudraient impressionnants autant d’hémoglobine que lors de ma dernière prise de sang, une action téléphonée au possible servant parfaitement un propos consensuel sachant parfaitement ménager la chèvre et le choux ...pas de quoi affoler un pantophobe
Et malgré tout ça je me dis qu'en 1994 j'avais 11 ans, et à cette époque bien plus naïve et moins dégourdie que la plupart des gamins de cet âge d'aujourd'hui, il aurait peut être fonctionné sur moi en tant que film d'horreur. Maintenant, et parce que les années ne nous ont épargnés ni lui ni moi je l'ai regardé presque comme on regarde une comédie familiale, et vous l'aurez constaté, ce "Brainscan" à éveillé en moi une certaine nostalgie.
Un film d'une époque, sans grand intérêt cinématographique et dans l'ensemble plutôt médiocre, qui se consomme comme un petit divertissement de fin de soirée mais qui est en soit tout a fait dispensable.
publié le 15/06/2011 - 18:59
Du jeu vidéo roux
Le scénario est relativement sympathique. On suit le jeune Michael qui est un môme un poil dérangé, enfin, c'est ce que croient la plupart de ses camarades sauf son meilleur pote. Il a perdu sa mère et vit quasiment seul car son père est souvent en déplacement. Il est fan de métal (période 90's propice à quelques bons groupes tout de même) et surtout adore les films d'horreur et les jeux vidéos. Son meilleur pote lui conseille alors un jeu du nom de Brainscan qui procurerait des sensations incroyables. Ni une, ni deux, il essaye le jeu et se voit trimballer dans son monde et se voit tuer une personne. Le lendemain, la dite personne est belle et bien morte et le jeu se montre plus dangereux quand apparait Trickster le maître du jeu au visage assez spécial. C'est original, assez spécial mais au moins, ça sort des sentiers battus.
Les acteurs ne sont pas mauvais. En même temps, on a deux acteurs connus au talent reconnu et un homme déguisé en monstre tout à fait convaincant. Edward Furlong reste relativement crédible dans son rôle de jeune ado mal dans sa peau et un peu torturé. Et même si on a vu que le temps a eu un effet néfaste sur sa carrière et sur son physique, on reconnait tout de même un bon acteur. Frank Langella reste un poil plus en retrait et campe un flic au flegme Derrickien, mais en même temps, son personnage n'est pas le plus important, donc il passe sans trop de problème. Reste Trickster à la tronche carré et à la chevelure improbable mais l'acteur reste bien dans le ton déjanté du personnage en dansant comme un niais ou en faisant des réflexions relativement pertinentes.
Là où le bas blesse, c'est au niveau des effets spéciaux. Effectivement, le film date de 1994 et certains passages font complètement obsolètes. Je pense notamment à une scène vers la fin du film où Trickster combat contre le jeune Michael, ou encore lorsque le grand méchant prend le jus sur une lampe et on a droit à des effets spéciaux bleutés digne d'un code Lisa. Mais malgré tout, l'effet nostalgie prend le dessus et on peut passer outre cette défaillance technique. Tout comme les doigts du méchant qui font très faux et très plastique.
Pour ce qui est des effets de peur, de gore ou de suspense, on reste quand même sur notre fin et le rythme du film demeure très haché. En effet, et mlagré une volonté de bien faire, on ressent quand même une grosse retenue sur les effets gores. Le sujet touchant les jeux vidéos et risquant d'attirer un maximum de jeunes gens, on peut comprendre l’amoindrissement d'effets gores. Néanmoins, certaines scènes comme la première partie du jeu vidéo reste assez immersive, et le découpage du pied reste de bon acabit. Petit bémol aussi sur les apparitions de Trickster qui ne sont tout le temps judicieuses et qui ne font pas du tout peur ou ne surprennent pas. Du coup, le film devient un poil lassant sur la fin mais rien de bien méchant. D'ailleurs la fin réserve une bonne surprise inattendue et le message qui semblait nauséabond au début se transforme en grosse farce à 5 minutes de la fin et c'est mieux ainsi.
Au final, Brainscan est un petit film d'horreur sans grande envergure mais qui a le mérite de divertir et de faire passer un agréable moment. Très peu gore mais parfois drôle, un peu long mais ayant de bonnes idées; il demeure un film pour nostalgique, qui correspond bien à l'époque des années 90. Je conseille pour les curieux et les nostalgiques de cette époque!
publié le 25/03/2009 - 20:27
Mon avis
publié le 24/12/2008 - 18:22
Pas déplaisant
publié le 31/12/2007 - 14:05
Passable, sans plus !
publié le 01/01/2007 - 00:00
Moyen
publié le 01/01/2007 - 00:00
Le virtuel réel
Perso, je ne me sens pas du tout concerné et je ne pense que les amateurs de films d'horreur sont des tordues prêt à trucider leur voisin à la première occasion. On se demande vraiment ce qu'Edward Furlong vient bien faire dans cette galère aussi complexe et recherchée qu'un film de Disney.
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