Forbidden siren
Critiques spectateurs
Réalisateur: Yukihiko Tsutsumi Avec Yui Ichikawa, Leo Morimoto, Naoki Tanaka, Hiroshi Abe, Naomi NishidaInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 12/11/2011 - 17:54
Ca sonne !!
publié le 27/08/2010 - 16:39
Maudite sirène !
publié le 14/11/2009 - 12:02
Magnifique !
publié le 21/10/2009 - 22:48
Lorsque la sirène sonnera 3 fois...
Revenons au film, le cinéaste réussit avec brio à instaurer une ambiance unique. Tout est voué à suggérer l’innommable, ressentir l’angoisse palpable. Chaque plan intensifie le sentiment d’isolement et de solitude qui imprègne l’île. Un cadre idéal pour l’intrigue où les habitants, mais également les lieux sont inquiétants. On ressent un passé douloureux et encré dans les mémoires. Une blessure qui ne cicatrisera jamais. Que s’est-il passé sur cette île ? On entend continuellement ce bruit strident d’une sirène au loin. Annonciateur d’un cataclysme. Un hurlement insupportable accroissant la terreur qui nous étreint depuis le début du film. L’histoire s’intensifie au fur et à mesure de son déroulement pour nous offrir un final ambigu et surprenant. L’une des grandes forces du jeu était son gameplay atypique.
En effet, la peur que l’on éprouvait résultée de pouvoir observer à travers les yeux de l’ennemi. Une démarche chancelante, un souffle court et saccadé. On discernait le danger sans pouvoir le fuir ou le contrôler. Il aurait été difficile, voire suicidaire, d’incorporer cet élément dans le film. Cependant, Yukihiko Tsutsumi a tenté ce pari fou. Certes, ces quelques séquences sont plutôt rares, pour ne pas dire anecdotiques, mais elles ont le mérite d’être présentes. Le réalisateur a voulu rester fidèle à l’œuvre originale, tout en restant conscient des limites d’une telle adaptation.
En conclusion, Forbidden Siren est une réussite totale. Possédant une ambiance malsaine et pesante, une histoire suscitant la curiosité et une bande son sinistre, il n’en fallait pas moins pour obtenir un excellent film. A regarder seul dans les ténèbres.
publié le 28/01/2008 - 21:35
A la niche, SILENT HILL !