Stonehenge Apocalypse
Critiques spectateurs
Réalisateur: Paul Ziller Avec Misha Collins, Hill Harper, Lauro Chartrand, Torri Higginson, Adrian Holmes, Dolores DrakeInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 12/08/2011 - 10:35
Je n'avais pas vu le nom du réalisateur
publié le 13/01/2011 - 10:20
La fin est proche (on l'espère)
Budget limité oblige, on nous inflige des effets spéciaux des plus pathétiques. Des pyramides rétractables, un déluge de feu et… plus rien. On revient à l’aventure principale de ces scientifiques au rabais. Le déplacement de Stonehenge est également très mauvais, ainsi que les éclairs censés représenter les champs magnétiques. Pourtant, on était loin d’une catastrophe annoncée au vu du pitch de départ. Certes, on ne criera pas au génie, mais certains éléments méritent d’être remarqués. Notamment, l’explication de la fin d’un cycle et non du monde pour que la vie et, par la même, l’humanité redémarrent sur de meilleures bases. Est-ce un hasard si le film débute sur un article de journal relatant une possible catastrophe en 2012 ?
Toujours est-il que ce seul aspect séduisant est tourné en dérision par le cinéaste, mais aussi par les acteurs. « Non, pas question de mourir. Je préfère vivre dans un monde pourri plutôt que la planète ne se régénère pour aller mieux ! » Bonjour, la compassion et l’empathie des protagonistes ! A vrai dire, d’un point de vue purement altruiste, le « méchant » du film est le seul à ouvrir les yeux sur la nécessité d’une fin de l’humanité pour l’émergence d’un nouveau monde, meilleur on l’espère. Les autres demeurant sur leur position pour prolonger et perpétuer leur pathétique existence ; ce qui rend le final d’autant plus affligeant et ridicule.
Bref, Stonehenge apocalypse n’améliorera certainement pas la réputation de Paul Ziller. Nouvelle incursion dans le domaine des cataclysmes qui pourrait donner lieu à un sous-genre très révélateur de la qualité du produit : la catastrophe éponyme ! Comprenez une catastrophe dans tous les sens du terme. Voilà qui est prometteur pour l’avenir, du moins s’il nous en reste encore un en ce bas monde.
publié le 01/12/2010 - 19:06
Stonehenge et le Maine ...