Rubber
Critiques spectateurs
Réalisateur: Quentin Dupieux Avec Stephen Spinella, Roxanne Mesquida, Pedro Winter, Thomas F. Duffy, Daniel QuinnInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 14/04/2024 - 15:55
Serial rubber !
Complètement barré, comme Quentin Dupieux. Sans être extraordinaire, c'est tellement atypique que ça mérite forcément le coup d'oeil. Il n'y a pas de raison d'en dire plus... ^^
publié le 30/08/2013 - 02:46
Rubber
publié le 26/02/2013 - 21:59
Roule, roule, roule
Oeuvre complètement hors des normes, véritable ovni, et le pire c'est que ça se regarde.
publié le 27/11/2011 - 19:37
Aucune raison !!
Certes, j'avoue qu'il est difficile de se divertir correctement avec un pneu comme personnage principal mais le film reste tout de même très lent tout au long. C'est ennuyeux aussi car les scènes se ressemblent trop au bout d'un moment et le film dure pour tourner en rond jusqu'à la scène finale. Les scènes d'horreur par exemple ne sont pas mauvaises et sont assez gores mais à force elles sont lassantes et sans surprise (le pneu tue toujours de la même façon).
Ajouté à l'ennui, on a le droit à un humour ahuri sans crédibilité, tout comme les acteurs. La réalisation reste quand même bien foutue pour nous faire comprendre ce que ressent le pneu dans certaines scènes. Le concept de film dans un film est par contre totalement tiré par les cheveux.
Mais il n'y a pas que des mauvaises choses : j'ai beaucoup aimé la fin ! L'idée d'une nouvelle armée menaçante est intéressante.
En conclusion, Rubber est un film unique en son genre mais pour ma part, l'ensemble est mal exploité pour cause de ressemblances et d'un humour sans profondeur.
publié le 20/11/2011 - 14:12
Sauve qui pneu!!
publié le 31/10/2011 - 20:36
Heu....
publié le 28/07/2011 - 23:32
Moueff
Non non, c'est pas une blague, mais un film, a mon gout un peu tiré par les cheveux.
Ceci étant dit, c'est du jamais vu.
Mais je vous conseille quand même de fumer les rideaux avant de regarder Rubber. Et peut être qu'il vous fera rire.
publié le 20/06/2011 - 17:29
Mon avis
Voila, ce qui devait être dit est à present dit
Ceci étant, malgré ce scenario qui pourrait franchement laisser penser à certains qu'on se paie la tête du peuple il n'en est en fait rien. A vrai dire ça pue ouvertement la merde ou le coup de genie... mais en tout cas ça en a des grosses dans le pantalon.
Le sens de la chose, si on peut l'appeler ainsi, nous est expliqué dès la première scène où l'on découvre une voiture de police en plein milieu du désert écraser des chaises et où le shérif sort ensuite pour nous clamer un discours philosophique au sujet des choses qui n'ont pas de raison, pas de sens, et ce film en est une suite et même un hymne. En gros, après cette première scène, on se sent partagé entre le sentiment qu'on va voir du tout et du n'importe quoi sans lien mais l'on reste curieux de voir si Dupieux tirera quelque chose de positif de son delirium.
Le décor est donc planté mais les spectateurs aussi... Oui, des spectateurs comme vous et moi, sauf que eux sont dans le film, ils sont donc les spectateurs en plein désert des aventures de Robert. La présence de ceux-ci est aussi très intriguante mais intéressante et donne un certain charme au film car ceux-ci commentent parfois l'action comme des bon gros boulets qu'on a tous eus au moins une fois au cinéma devant ou derrière nous. De plus ils ne sont pas inutiles dans le déroulement du film mais je ne vous en dirai pas plus à ce sujet.
Rubber se révèle être un film certes un peu lent par passages, mais doté de nombreuses qualités : tout d'abord c'est beau et bien filmé, les couleurs sont belles et les décors aussi. De plus la prestation de Stephen Spinella dans le rôle du shérif maître de l'absurde est remarquable. Les effets spéciaux ne sont pas en reste et nous proposent ici le premier film où un pneu est à l'origine de crimes particulièrement horribles, mais un peu répétitif il faut le reconnaître. A noter aussi, la bande son, réalisée par Dupieux en personne qui s'en tire avec les honneurs.
En définitive Rubber est un film unique et donc rien que pour cette raison à voir. Mais si son originalité en fait sa force elle n'est pas sa seule qualité. Le tout est de se laisser emporter dans cette farandole de l'absurde car si on ne part pas avec elle on risque de rester plutôt perplexe devant le spectacle.
publié le 05/05/2011 - 19:02
Mon avis roulant
Robert est donc un sérial killer doué de télékinésie, il erre dans le désert californien en semant la mort de ceux qui le croise, jusqu’à ce qu’il croise une jolie jeune femme…
Comme prévu, le scénario est complètement absurde car j’ai oublié de dire dans mon pitch que Robert est pneu de bagnole… Si le fond est d’une ineptie aussi profonde qu’artistiquement travaillée, la forme est tout aussi adaptée à son propos. De faux spectateurs sont aussi dans le film et multiplient les réactions que les “vrais“ spectateur ont probablement. Cette joyeuse addition de plein de n’importe-quoi-s est agrémentée d’images très correctes, compte tenu des moyens techniques utilisés, et d’une bande son électro évidement parfaite.
J’ai bien souvent envie de récompenser l’audace lorsqu’elle n’est pas au service d’une moralisation excessive, et c’est bien le cas ici. De toute façon, la présence d’une quelconque morale aurait tristement fait redescendre sur terre la sottise surréaliste recherchée et très justement trouvée. En revanche, soit le film n’est pas bien positionné soit le calibrage espéré n’est pas à la hauteur. Je suppose que l’humour est sensé prendre le pas sur l’angoisse, mais il faut bien avouer que le burlesque assumé n’est malheureusement que très rarement drôle. Quelques sourires isolés, mais point d’éclats enchainés devant des acteurs qui se démènent pourtant pour nous communiquer leurs stupéfactions joviales, me font penser que l’insuccès guette ce malheureux métrage sur le créneau emprunté.
En résumé, une tentative audacieuse tant tôt poétique et burlesque, se nourrissant de notre complaisance pour le néant mais malheureusement peu drôle et parfois ennuyeuse, qui me laisse un gout amer car il y avait largement moyen de satisfaire les attentes des cinéphiles les plus tordus. Et si l’objectif était finalement atteint, c'est-à-dire juste faire chier son monde ?
publié le 10/04/2011 - 21:40
Nul
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