Critiques spectateurs de el-thedeath
Afflicted
- Réalisme criant -
Afflicted un petit found footage sortit de nul pars réalisé par Derek Lee et Clif Prowse qui sont aussi les scénariste ainsi que les acteurs principaux ! Les amis et membres de la famille que l'on voit sont réellement les amis et famille des acteurs, ce qui donne à ce film une réelle authenticité. Un film qui est donc naturel et réaliste, si cela nous arrivais il y a des chances qu'on réagisse de la même façon que les personnages. Filmé caméra à la main on peut s'attendre à des scènes instables voir tremblotantes mais en faite non pas tant que ça, cela n'est pas du tout gênant et on a pas l'impression que le caméraman a parkinson. Les effets spéciaux sont également très réalistes et cela en est impressionnant, on ne dirait pas un film à petit budget.
- Plus pro que les pros -
On accroche vraiment à l'histoire qui nous tiens en haleine, malgré le coté amateur des acteurs ils jouent très bien ! C'est aussi grâce à son synopsis qui est intéressant, intriguant et bourré de bonnes idées ainsi qu'a son image qui est jolie et très bien tourné que ce film est un des meilleurs found footage que j'ai pus voir !
- Cronenberg inside -
La transformation du corps d'un de nos héros fait penser à du Cronenberg à l'ancienne avec son coté malsain et gore. Je comprend pourquoi ce long-métrage a gagné le prix du meilleur film d'horreur lors du Fantastic Fest car il le mérite amplement et j'espère que ce film ne restera pas inconnus.
Publié le 22 Juillet 2015
47 Ronin
Carl Erik Rinsch, nouveau venu réalise ici son premier long métrage, malheureusement pour lui il ne restera pas dans les annales. Pour moi ce film est un ratage, certes il y a largement pire mais c'est pas une excuse.
- Jolie mais... moche -
Obligé de le voir en 3D, je ne suis pas très adepte de la 3D car je trouve que le plupart du temps cela n'apporte pas grand chose au film et ici c'est le cas. La 3D n'apporte strictement rien et je l'ai même trouvé raté, on a pas l'impression que les choses nous fonce dessus. Par contre je reconnais que les décors choisis pour le film sont magnifique et colle assez bien avec le japon féodale!
- Mais où est l'homme zombie ? -
J'étais content de le voir dans la bande annonce, l'homme zombie aka Rick Genest a pour moi sa place dans le milieu du cinéma, je suis persuadé qu'il pourrait incarné un méchant somptueux! Sauf que la on le voit juste de dos dire un phrase et puis c'est tout! Puis l'image qu'on voit de lui entrain de tirer dans la bande annonce je ne l'ai pas vus dans le film et ça je ne comprend pas trop, à moins qu'il existe une version longue ou cette image serait.
- Culture Japonaise -
La culture Japonaise prend-elle du plomb dans l'aile ? L'histoire des 47 Rônins ne fait que changer au fil du temps, dans cette version il nous rajoute un étranger puis une histoire d'amour au lieu que cette légende est censé représenter les valeurs de loyauté, de sacrifice, de dévouement et d'honneur et ici même si on retrouve quand même un peut ces valeurs j'ai quand même l'impression qu'elles passent au second plan.
- Hollywood, Hollywood pourquoi es-tu Hollywood ? -
Ils ont rendu cette magnifique histoire ennuyeuse... Si je m'étais amusé à compter les rônins je me serais surement endormi.... Au final j'irais presque demander à Carl Erik Rinsch de se faire Seppuku pour avoir entaché l'honneur de ces rônins!!
Publié le 22 Juillet 2015
Snowpiercer : Le transperceneige
Snowpiercer est un film post-apocalyptique, en quasi huis-clos (vus que toute l'action de passe dans un train) adapté à partir d'une bande-dessiné française.
- La dictature pour les nuls -
Le film nous explique d’abord qu'en 2014, une tentative de géo-ingénierie contre le réchauffement climatique entraîne un cataclysme : une glaciation de toute la planète, détruisant la vie et exterminant presque toute l'humanité. Puis l'histoire débute vraiment en 2031, des passagers enfermés dans un train forcé à rouler continuellement sont les seuls survivants sur Terre. Les habitants des derniers wagons, contraints de vivre dans la promiscuité et le rationnement, se révoltent.
- Des bulles à l'écran -
Bong Joon-Ho sort ici son film le plus cher (39 200 000 de dollars, pas grand chose pour les USA mais énorme pour la Corée du Sud) ainsi que sont premier film tourné en anglais (85% anglais et 15% coréen). C'est en 2004, au moment où il vient de finir le chef d’œuvre qu'est Memories of Murder et juste avant la production de The Host qu'il découvre la BD française de Le Transperceneige créé par Jacques Lob et dessiné par Jean-Marc Rochette (qui d’ailleurs est en caméo dans le film, seules ses mains apparaissent en train de croquer les portraits), il lui aura fallu quatre ans pour développer ce projet et trois ans de plus pour le produire. Sont talent n'est plus à confirmer et il nous le prouve une nouvelle fois avec Snowpiercer. Il a été aidé pour le scénario par Park Chan-wook (autre mythique réalisateur sud-coréen) et Kelly Masterson (qu'il dit avoir choisi après avoir vus 7h58 ce samedi-là). Il n'a eu que 72 jours pour tourner ce film et, pour l'anecdote, a dus construire un train de plus de 500 mètres de long (26 wagons de 25m chacun).
- Peuplade du train, peuplade du monde -
Niveau casting je vous le dis directement : même les figurants sont géniaux!! Cela est sûrement dû à la superbe réalisation!
Tout d’abord on a Chris Evans en leader des derniers wagons qui signe peut-être son meilleur rôle ici, il commence à avoir une carrière assez chargé mais ici il est vraiment parfait. Octavia Spencer joue le rôle d'une mère de famille qui rejoint la révolution pour sauver son fils. Jamie Bell viens jouer le rôle du meilleur ami de Chris Evans. Ed Harris a quant a lui limite supplier le réalisateur pour pouvoir jouer dans le film.Tilda Swinton fait aussi partie de l'aventure (elle s'est liée d'amitié avec le réalisateur lors du festival de cannes 2011) pour y jouer une sorte de Premier Ministre. Song Kang-ho et Ko Ah-sung sont deux acteurs fétiches du réalisateur et viennent donc logiquement compléter le casting pour ne pas oublier le côté sud-coréen du film.
- Anarchy in the Train -
On est donc devant un film qui nous prend aux tripes des le début, il nous montre d’abord comment les personnes des derniers wagons vivent en étant tous entassés les uns sur les autres à manger une sorte de patté ou gelé bizarre, cela est une sorte de bidonville sans fenêtre où quand les soldats arrivent ils ne peuvent rien dire sans en subir les conséquences même quand on enlève leurs enfants. Ils vont donc se décider à se rebeller mais ils doivent arriver à libérer un prisonnier qui peut ouvrir toutes les portes, il est quelques wagons plus loin enfermer dans des casiers digne d'une morgue mais il est malheureusement accro à une sorte de drogue faite de déchet industriel.
Le chemin ne sera pas sans sacrifice et surtout très compliqué. On suit avec plaisir cette avancé wagon par wagon pour faire tomber cette dictature qui leurs est imposé depuis trop longtemps.
La BO est sublime et colle parfaitement à l'histoire. Les décors sont magnifique et parfaitement réaliste. Les scènes de combats sont très réussis aussi, il n'y a pas réellement de défaut dans ce film. Je suis près à le conseiller à n'importe qui, ceci est un des meilleurs films de 2013!
Publié le 22 Juillet 2015
American Nightmare 2 : Anarchy
En allant voir ce film au cinéma je restais assez sceptique, le premier étant raté et ennuyant ! J’espérais donc que James DeMonaco est compris ses erreurs. À première vue c'est plus palpitant, l'histoire se déroulant cette fois dans toute une ville.
Le sujet de la purge n'avait pas été poussé jusqu'au bout dans le premier volet, cette fois elle prend une ampleur beaucoup plus politique et cela est plaisant, il y a enfin quelque chose derrière tout ça ! Il y a même un groupe de rebelle anti-purge, c'est qu'il est allé plutôt loin avec ce second volet.
Beaucoup d'idées dans ce film, je ne les citerais pas toutes pour ne rien spoiler mais je ne me suis ennuyé à aucun moment, toujours de l'action, toujours un nouveau groupe de tueurs et une bonne pléiade de personnages.
Finalement je ressort du cinéma content, même si le film est loin d'être une chef d’œuvre il reste néanmoins un film distrayant où le réalisateur a corriger de nombreuses fautes du premier volet. Cela donne un film plus profond, plus réfléchis avec de réelle morale. American Nightmare 2 peut même nous faire légèrement penser aux Guerriers de la nuit (The Warriors) où une bande doit traverser la ville sauf que tout le monde cherche à les tuer.
Publié le 22 Juillet 2015
Why Don't You Play in Hell?
Sion Sono est un génie, ceci n'est pas nouveau il la déjà démontré à plusieurs reprise. Ici il part dans un délire Tarantinesque en y rajoutant la touche déjanté que peut avoir le cinéma japonais. Avec Why Don't You Play in Hell il nous offre deux heures génialissimes de pur folie accompagné de musique typiquement bien choisis.
- Brossez-vous les dents ! -
Dés la première image on est captivé et on rentre dans un univers délirant où vont s’entremêler les destins de plusieurs personnages. On voit une pub avec un petite fille qui chante un air entrainant pour nous conseiller de nous brosser les dents et cela est la base du film, beaucoup de choses partent de cette pub. Dés le début, deux scènes sont assez marquantes avec cette course poursuite rocambolesque d'une femme ensanglanté contre des Yakuzas et aussi la scène de cette fillette glissant sur une mare de sang. On a compris où on a mis les pieds et on est content de l'avoir fait!
- Bruce Lee Japonais -
Ce film est un immense hommage au cinéma!!! Ces jeunes qui rêvent de réaliser un chef d’œuvre sont remplie d'une passion sans fin, dans le film ils prient le dieu cinéma mais en réalité ne sont-ils pas entrain de prier Sion Sono ?
C'est une aventure haut en couleur qui attend qui nous est relaté et pour la scène final on se croirait sur le plateau de tournage de Kill Bill. C'est une hécatombe d'acteur que l'on visionne, on pourrait remplir plusieurs facilement plusieurs cimetières.
- Femme fatale -
La jeune actrice Fumi Nikaido est littéralement envoutante dans ce film! Une femme magnifique avec un tempérament de feu, la scène des morceaux de verres est sublime et nous montre la caractère de cette femme fatale qu'on a l'impression de connaitre depuis toujours. C'est la une force du film, avec peut de chose il nous donne l'impression de connaitre les personnages depuis des années.
- Arc-en-ciel sanguin -
On ne s'ennuie pas un seul moment, ce film un pur délire, une réel jouissance. Sion Sono nous fait ressentir sa folie, on voit aussi clairement l'influence de ses anciens films surtout de Love Exposure. Avec une réalisation dynamique qui mélange l'action avec un humour déjanté ce film est tout proche du chef d’œuvre, Sion Sono ne cessera-t-il jamais de m’impressionner ?
Frottez fortement vos dents.
Allez-y !
Frottez et frottez encore !
Déchaînez-vous !
Jusqu'à ce que ça picote !
Frottez-les fort !
Allez-y !
Frottez fortement vos dents.
Allez-y !
Frottez et frottez encore !
Déchaînez-vous !
Nettoyez-les à fond, Ga-Ga-Ga avec Gi-Gi-Gi !
Nettoyez-les à fond !
Dents Dures !
Publié le 22 Juillet 2015
Zombie: Le Crepuscule des Morts-Vivants
- Chef d’œuvre ultime -
Ce deuxième volet de la trilogie Of The Dead de Romero est pour moi un chef d’œuvre ultime du cinéma, un des plus grands classique que tout le monde devrait connaitre! Sa trilogie est vraiment génial mais je trouve que Dawn of the Dead est au-dessus des deux autres.
Sortie 8 ans après La nuit des Morts-vivants qui était une réelle révolution cinématographique, mais cette fois ce n'est pas en noir&blanc et avec un plus gros budget. Exactement 650 000 $ de budget pour Zombie, cela semble dérisoire comparé au film de maintenant mais Romero à toujours voulu rester indépendant. C'est grâce à l'aide de Dario Argento qu'il aura finalement l'argent pour tourner le film.
Pour les maquillages Tom Savini (aussi acteur dans le film) explique qu'il a reçu un télégramme de Romero qui lui disait : "On est sur Dawn of the Dead, pense à la meilleur façons de tuer les gens." Savini s'est servit de son expérience au Vietnam (reporter de guerre) pour créer cette violence qui peut mettre mal à l'aise. Tom Savini à d'ailleurs eu une nomination au prix des meilleurs maquillages en 1980 pour Zombie.
- Société moderne -
Romero à voulut avec La nuit de morts-vivants refléter les années 60 et donc par conséquence avec Dawn of the Dead il veut refléter les années 70. Leurs arrivé dans ce centre commercial peut paraitre paradisiaque, tout est à porter de main et tout est gratuit mais on se rendra vite compte que cela est obsolète, consommer pour vivre n'est pas une nécessité, tout ça est superficiel. Ceci est une énorme critique de la société de consommation!
On peut comparer les attaques zombies aux gens qui font les soldes, sauf que la au lieu de se battre pour une paire de chaussures ou un vêtement ils se battent pour de la chair humaine mais le principe reste le même. Tous, les héros comme les zombies cherche, dans ce centre commercial, à revenir à leurs vie passé.
- Une cruauté réelle -
Les zombies de Romero sont presque réel, ils nous ressemble. Ce sont seulement des âmes perdues. Ceci est notre monde, les humains contre les humains. Fini les monstres qui font peur, au revoir les Mothra, Frankenstein ou autres créatures, maintenant se sont les humains qui font peur!
- Ceci peut s'apparenter à un cauchemar dont ont ne se réveille pas! -
Les personnages, interprété à merveille par les acteurs, ne répondent pas aux critères archétypaux du genre et représente parfaitement la société de l'époque. Oublié les stéréotype ou la caricature, place à la réalité!
- La France qui n'aimait pas les zombies -
En France Zombie à été censuré pendant 5 ans. La Commission de contrôle des films cinématographiques justifiera la censure au nom d'une interprétation politique. Les membres de la commission auraient vu dans l'assaut des bikers et leur jubilation à massacrer des morts-vivants "une philosophie effrayante, avec une humanité et une sous-humanité". "Cette joie de tuer son semblable, de tuer les sous-hommes" formerait les "racines de l'idéologie nazie" dont il fallait protéger la jeunesse.
Je finirais ma critique par dire : George A. Romero est le maitre des zombies, sans lui les morts-vivants ne seraient rien! Il arrive subtilement à critiquer la société grâce à ses films, Roméro est un réalisateur connus mais il mériterait de l'être encore plus !
Publié le 22 Juillet 2015
Mad Max : Fury Road
Mad Max : Fury Road faisait partie des projets casse gueule, ceux que tout le monde attend au tournant, on a peur qu'hollywood empiète trop sur le film et qu'on nous offre un blockbuster typique sans réelle saveur puis ça fait presque quinze ans qu'ils essaient de faire ce film et finalement on se prend une grande claque par la gueule avec ce chef d’œuvre !
Ce film n'est qu'action durant deux heures sans aucune pause, on ressort de devant ce film entièrement comblé avec une pêche d'enfer, il est tout ce qu'on pouvait espérer mais en mieux !
George Miller revient enfin sur le devant de la scène, 30 ans qu'on avait perdu Max, Miller s'essayant à des films plus familiaux, passer de Mad Max à Babe ça fait quand même une grande différence puis je vois mal Babe conduire une Ford Falcon. Mais il reviens enfin et même si on est à l'age des effets spéciaux sur fond vert Miller se ramène avec un grand sourire en nous disant que 80% des prises du films sont réelles, bordel c'est tellement classe ça ! Voilà du vrai film qui nous en fou plein les yeux à grand coup d'univers post-apo somptueux avec des cascades hors normes !
Des la première scène on retrouve Max qui nous tourne le dos et déjà on ressent une certaine classe, une sorte de charisme grâce à la façon de filmé et se décor ainsi que la posture et paf des les premières secondes le film est déjà posé puis Max qui nous engloutis un lézard à deux têtes vivant qui trainait à ses pieds. La force des personnages c'est qu'il n'y a pas besoin de les présenter pendant une heure, des qu'on les voient on s'attache à eux, durant tout le film on aura sans cesse l'impression d'être au coté de Max et Furiosa ! Tellement que par moment on s'en retrouve presque essoufflé.
J'aime bien Tom Hardy mais je me demandais ce que cela allait donner, remplacer Mel Gibson n'est pas chose aisé et pourtant il s'en sort magnifiquement, il prend le personnage pour lui et y impose ça touche, on a un Max plus tourmenté que jamais en proie à des visions qui vont autant le désorienter que l'aider. Mais au final le personnage le plus captivant et quasi principal n'est pas Max mais Furiosa, interprété à merveille par Charlize Theron qui nous offre ici sa meilleur prestation et surtout la plus badass qui en ferait trembler les Machete ou autre Blackmamba. Puis on à Immortan Joe qui est le Méchant avec un M majuscule, une sorte de gourou qui promet à ses kamikaze un accès au Valhalla qui traite ses femmes comme des vaches à lait ou des esclaves sexuelles et qui assouvit son peuple à grand coup de goutte d'eau. Le prototype du mec qu'on a envie de bruler vif, de l'écarteler, de le dépecer vivant... etc
Tout est comme la route dans le titre : furieux, de la bande sons à grand coup de guitare électrique signé Junkie XL aux moteurs V8 surpuissant ! Ça sent l'essence, la violence, le désespoir, la brutalité, tout ce qu'on aime quoi !
Mais tiens parlons un peu de Junkie XL qui niveau sons nous a fait jouir durant tout le film ! Une BO surpuissante qui avait toujours juste en implantant le rythme qu'il faut mais quel pied qu'on prend grâce à elle, d'ailleurs je suis entrains de l'écouter en écrivant cette critique, l'histoire d'être dans le bon trip ! C'est n'est pas un coup d'essai, il a déjà fait les BO de plusieurs films notamment Divergente ou encore 300: la naissance d’un empire ainsi que Man Of Steel, la plupart du temps avec un très bon coté bourrin comme je les aimes. Ici la musique est quasi essentiellement à base de percussion sauvage et de gros riffs de guitare électrique dont on voit durant tout le film le guitariste accroché devant ses baffes en plein milieu des autres bagnole avec une guitare crachant du feu ! Avec tout ça je deviens presque impatient de voir ce que Junkie XL va nous faire sur Batman Vs Superman.
Le seul petit reproche qu'on pourrait faire au film c'est qu'il a un scénario quelque peu simpliste mais en allant voir Mad Max on vient pas voir un film psychologique, on vient voir de l'action et à ce niveau la on n'est plus que comblé ! Après on peut quand même voir dans le film certains sujets ou morales mais sans que le film s'y perde dedans, on y voit du féminisme, on y voit la cruauté humaine (loi du plus fort notamment), on y voit des problèmes environnementaux, on y voit une critique de la société de consommation (Aqua-Cola, émissions, Mc Festin)... si on veux des sujets sérieux on en trouve mais c'est pas le but du film.
Le but c'est juste de nous faire plaisir et c'est exactement ce que fait le film ! Ça faisant tellement longtemps que j'avais pas mis de dix sur dix donc clairement je conseil vivement ce film à tout le monde, faut que le monde entier vois ce chef d’œuvre !!!
Publié le 22 Juillet 2015