La Dernière Cavale

Critiques Spectateurs de La Dernière Cavale

8.0
La Dernière Cavale

Raymond Lembecke sort de prison.
Il est bien décidé cette fois à rompre avec le passé pour vivre avec Addy, la femme dont il est éperdument amoureux.

Pour assurer le futur de la famille qu'il souhaite fonder, il tente un dernier coup.
Il s'associe avec Curtis et Marcus ils s'emparent d'une importante quantité de drogue.

Mais l'opération dérape lorsque Curtis abat ceux qu'il dévalise.
Le trio kidnappe alors un couple, en fuyant vers le Mexique...

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Portrait de Dexter Dexter
Serial Killer - 475 critiques
publié le 23/04/2008 - 13:19
8
 

Chaque acte a ses conséquences

Comment peut se terminer une histoire pour une bande de braqueur a laquelle se serait mise des flics et la mafia sur le dos , voila le thème proposée par Kiefer Sutherland dans sont propre film , a vrai dire l'intro nous laisse un peu perplexe , un type (Vincent Giallo) filmé au ralentie sortant de sa cellule de prison pour retrouvé la liberté le tout accompagné par une musique ‘love’ dehors il y retrouvera sa compagne, a ce moment on se demande si l’on ne c’est pas trompé de film, tant que ca nous donne l’impression que le film va tourné a l’eau de rose , mais patience quand le personnage qu’incarne Kiefer Sutherland se ramènera on comprendra vite que le monsieur est un chien fou et que les situation ‘love’ pour lui c’est pour les fiottes , premier quart d’heure présentation des persos et tout se que l’on puisse dire c’est que chacun possède une forte personnalité , le mec et sa nana qui rêve d’une belle vie , le type prés a sauté sur tous ce qui bouge et le dernier un gars qui joue a un double jeu avec eux , suite a un braquage de coke tournant au bain de sang , la joyeuse bande se voit dans l’obligation de prendre en otage un jeune couple avec leur véhicule, objectif revendre la drogue a une connaissance d’un des fugitif, mais la ou Kiefer en tant que real arrive a surprendre en ajoutant une chose que peu de film on fait (du moins j’ai rarement vu ca ) c’est la relation du couples otage et leurs ravisseur , car le mari va être atteins du syndrome de Stockholm (affection pour ces ravisseurs) et ca Kiefer le maitrise très bien en tant que real que sont personnage qui parallèlement va apprécier ce brave monsieur tout le monde , mais malheureusement pour eux la transaction aussi va virée a l’effusion d’hémoglobine car sans le savoir la coke qu’il ont volé appartenais a celui a qui il voulait la revendre , ce qui entrainera la mort d’un des parrain de la pègre , et la les chose devienne encore plus dangereuse car le remplaçant par intérim sera monsieur Martin Sheen, froid , calculateur , seulement voila l’histoire ne s’attardera pas sur lui ce qui est réellement dommage car le monsieur avait un réel potentiel pour apporté un je ne sais quoi de plus au film , pour la fin vous l’aurez devinez gunfight a gogo mais assez émouvante dans ces cinq dernières minutes, Kiefer Sutherland derrière la camera c’est quand même pas rien, l’histoire peu paraitre légère mais mise en image elle gagne en charme .

Devinez le film par sa tagline :

If you have the guts...IT WANTS THEM!
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