Cabin Fever 2
Critiques spectateurs
Réalisateur: Ti West Avec Rider Strong, Noah Segan, Giuseppe Andrews, Alexi Wasser, Marc SenterInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 17/07/2016 - 21:41
Mieux qu'initialement...
Je viens de le revoir (et oui je me refais tous les Cabin Fever avant de voir le 3ème) et je vais ré-hausser ma note d'un point.
Car c'est quand même bien marrant et plein de références. Certes c'est plus une comédie qu'un film d'horreur mais on passe un bon moment. Ca tranche tout de même un peu trop avec le premier mais why not (?), ça change et c'est certainement voulu. A voir aussi.
publié le 28/11/2013 - 02:03
La contagion continue
publié le 30/07/2011 - 00:28
Dans la lignee du 1er, moyen moyen
publié le 24/07/2011 - 23:48
Fouillie
publié le 02/05/2011 - 23:12
Du virus qui s'invite au balCabin fever,
Le scénario reprend là où le premier s'est arrêté. On retrouve le flic débile du premier qui retourne dans sa ville. En même temps, un des infectés du premier se baigne dans une source où l'eau locale est tirée. Du coup, toutes les bouteilles d'eau sont infectées et tous ceux qui la boivent le deviennent. Mais le camion de livraison livre au bahut et les trois quart des lycéens vont souffrir lentement. En plus, ça tombe bien, c'est le bel de promo! Vu comme ça, c'est assez surréaliste, mais avec Cabin fever, je ne m'attendais pas à du grandiose. Les scènes se suivent, on suit le tout relativement bien et on ne s'ennuie pas.
Les acteurs sont assez inégaux, on en a de très bons comme le héros de l'histoire, mais on en a aussi de très mauvais comme la prof de biologie. On a aussi notre lot d'adolescents crétins, entre les grosses moches, les intellos, les beaux gosses idiots et les filles faciles, on obtient une hétérogénéité typique de tout film d'horreur américain. Pour ce qui est du flic crétin, il devient vraiment lourd et le problème, c'est qu'il en devient vraiment antipathique et quand on voit le sort que le réalisateur lui réserve, on est assez déçu. Le casting reste moyen sans plus.
Mais ce qui caractérise Cabin Fever, ce sont les effets gores. En effet, on en a pour notre argent et le sirop de framboise coule à flots. Le virus dévorant les chairs, il est assez logique que l'on voit de la dislocation et de la putréfaction. Malgré tout, et après une introduction gore, il faut attendre un petit peu pour que le tout devienne vraiment too much avec une caméra elle aussi, rouge sang. On voit de la tête écrasée, de l'amputation de membres et même une quéquette qui saigne. Les âmes sensibles peuvent s'abstenir, mais il est vrai que pour moi, cela m'a plutôt prêté à sourire.
L'humour est aussi très présent, mais on ne va pas chercher dans un humour fin anglais, ni dans un humour pète-sec français. Non, là on est dans le bien gras, le gros triple cheeseburger qui dégouline, quand on écoute les vannes, on a déjà nos artères qui se bouche à cause du cholestérol auditif. Mais en prenant cela au dixième degré, on rigole comme un âne et on prend un certain plaisir à entendre les conneries sexuelles de ces jeunes ados. Et puis il faut dire que la bande son donne bien envie de rire avec eux. Comment rester de marbre devant un mec qui se recolle l'ongle à la superglu sur Born to be alive de Patrick Hernandez? Puis le reste très folk rock et très sudiste donne bien envie de se dandiner.
Au final, Cabin fever n'atteint pas des sommets, loin de là, mais avec un montage débile, des acteurs débiles, une histoire débile, on peut faire un divertissement débile qui s'assume complètement et qui nous fait passer un bon petit moment qui oscille entre le gore très sale et l'humour de jeunes à deux balles. Finalement, je rejoins l'avis de ceux qui avaient détesté le premier et qui ont plutôt aimé le deuxième. Un petit film sans prétention, ni message et qui ouvre sur un hypothétique troisième opus. Pourquoi pas? A noter aussi que les scènes de générique et de fin en animation sont assez hilarantes avec des graphismes assez proche de South Park.
publié le 08/03/2011 - 22:32
Humour noir et ultra gore
publié le 30/12/2010 - 04:22
Cacabin Fever: le fièvre est retombée
Après un premier film qui a marqué les mémoires, on peut difficilement se permettre de proposer n'importe quoi, même s'il s'agit d'un DTV. La chose la plus important: éviter tous les écueils. Humour gras au détriment de l'angoisse, copié/collé du concept mais avec le paradoxe d'en faire finalement un "truc" complètement éloigné... des attentes légitimes du public en tout cas; vague liaison avec l'histoire originelle pour justifier le titre et que t'allonges la thune sans broncher, mais finalement qu'il se situe avant après pendant ou dans une dimension parallèle, on s'en carre parce les deux histoires se mélanges aussi bien que des torchons et des serviettes; casting de beaux gosses pour ados pré-puberts aussi charismatiques qu'un bouton sur le cul... J'en passe et des meilleures, difficile d'être exhaustif, sauf pour ce film qui met un point d'honneur à ratisser tout ce qu'il faut pour foirer une suite!
Que le film fasse la connerie de tomber dans la comédie potache pour jeunes branleurs boutonneux est une chose; mais quand en plus il ne parvient pas à établir ne serait-ce que le squelette d'un scénario, le tout enterré par des dialogues d'une platitude rare, et des acteurs dont la seule qualité est d'être en osmose avec le niveau d'écriture; on se demande comment on peut foirer à ce point!
Certains films sont pardonnables car les problèmes interviennent pendant le tournage ou après pour des raisons diverses (budget aussi serré que le cul de ta copine avant qu'elle m'ait rencontré par exemple), et on ne peut pas tout prévoir à l'avance. Mais quand le script est aussi minable, pourquoi le tourner? N'est-ce pas une évidence que l'on va droit dans le mur avant de financer quoi que ce soit?
Et si on décide de tourner un scénar de merde parce que ça rapportera quand même suffisamment de thune, au moins bien choisir les acteurs. "Il n'y a pas de bon film sans un bon méchant" disait Hitchcock. C'est vrai! Alors pourquoi un acteur qui ne fait pas plus peur que ma cousine de 9 ans après une soirée teub arrosée au champagne et à la coke, joue le rôle du "méchant"? Hein hein? Il impressionne que dalle à part la pellicule avariée qui a daigné "immortaliser" sa prestation de merde. Non seulement l'acteur est transparent, mais de toute façon totalement sous-employé.
Comme le reste d'ailleurs, les bonnes idées étant lancées au hasard, bien utilisées, mal utilisées, ça dépend du vent pas du talent, le tout dans un concept utilisé qu'en surface!
La fin, inepte, est un modèle de tout ce qui ne faut pas faire. Le sort des protagonistes principaux est expédié en queue de poisson. Et les 10 dernières minutes se focalisent uniquement sur un personnage secondaire, pour exprimer une évidence qui aurait été bien plus efficace avec une ellipse au bout de quelques secondes... Consternant!
Reste des scènes honorables, de bons effets gores, certaines situations amusantes et bien vues, mais le tout perdu dans un ensemble trop bâclé et outré pour convaincre ou seulement divertir de manière homogène.
Mais Merde, pas de thune ne signifie pas se serrer la ceinture sur tout, y compris sur ce qui est peu coûteux en cherchant bien, à savoir le talent et la motivation...
publié le 05/12/2010 - 19:12
Eau Precieuse !
on va commencer par les défauts : scenario convenu, realisation moyenne, personnages peu concernées et décors limités
voilà on dirait bien qu'on est dans le cadre d'un mauvais z mais cette episode trouve son originalité dans l'humour decalé dont elle est impregnée
les scenes de contaminations sont risibles, le scene dans la piscine avec moby dick était "d-entesque " et le flic est completement à l'ouest !
j'ai beaucoup apprecié les phases de dessins animés au debut et en fin de film, ca donne une tonalité antonomique qui nous laisse un drole de gout au fond de la gorge.
De belles histoire de strip teaseuse à la fin enfoncent dans l'humour risible ce film qui malgré un scenarion famelique tire son epingle du jeu avec quelques scenes bien travaillés et un humour décapant !
publié le 10/11/2010 - 18:22
Carrie au bal de...La boucherie!
publié le 29/10/2010 - 20:48
Décallage
Y a du gore de chez gore dans ce deuxième volet. J'avoue, des fois ça dégoute carrément, et c'est traité avec le même humour que le reste du film. Certains dialogues sont parfois tirés en longueur, et le thème du film (virus en mode actif), met beaucoup de temps à arriver. Mais quand ça arrive, ça y va très fort.
Enfin, il vaut mieux avoir vu le premier (ou au moins la fin), pour comprendre cet épisode dans la mesure où même le générique de début (qui est vraiment réussi dit en passant), fait partie intégrante du film.
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