REC

Vous êtes fan de toutes sorte de film , mais pas d’horreur , mais vous décidez un beau jour d’avoir envie de frissonner avec un film d’horreur , alors oui REC est fait pour vous ! par contre pour les habitués du genre , si vous décidez aussi de le regarder , la trouille risque de ne pas trop être au rendez vous . Pourtant tout est en place dans ce film , pour faire un sacré effet , l’endroit ou tout ce déroule et assez étouffant avec la sensation d’être pris au piège et des personnages a la vie simple , qui pourraient être nous habitant dans cette immeuble . Mais bon quand ce fameux virus va se déclencher la , le public va être divisé un deux , d’un coté ceux qui frémiront au moindre bruit et d’autre qui verront les coups arriver a l’avance , comment ne pas se douter lorsque la lumière de la cage d’escalier s’éteind , qu’un visage de contaminée va se retrouvé collé en gros plan a la caméra , quand la lumière reviendra , par contre la où vraiment Balaguero et plaza ont fait fort viens du sentiment de panique auquel ces deux journalistes sont confronté , la impossible de ne pas avoir le cœur qui s’emballe quand ces deux la vers la fin jette un coup d’œil dans la cage d’escalier , pour y voir tous ces contaminées , les fixant la bave au lèvres tout en montant vers eux . REC n’est pas non plus la bombe assurée comme décris plusieurs magasines , mais peut quand même faire son petit effets de frissons à chacun , mais pas pour les mêmes raisons que pour son voisin.

Et bien jai été voir [REC] dimanche dernier et je trouve ce film trés interressant car la tension monte de plus en plus qu'on ce raproche du dénouement, et cette facon de filmer nous insert vraiment dans le film ( aprés qu'il soit le film le plus flipant......mouais on pourra en débattre longtemp) c'est vrai que les scéne avec les zombies sont tous plus ou moin prévisible et tant donner kon a vu ca moulte fois, mais j'aime ce genre de vu caméra embarqué (et je vais pas bouder mon plaisir tant que les producteur surf sur cette vague ) mais pour revenir a nos maccabé [REC] reste tout de meme un trés bon film d'horreur jouant sur les peurs les plus humaines (l'inconue,l'impossibilité de s'échaper,etc).......j'approuve..sauf la journaliste qu'on aimerai voir crever au plus vite,mais on l'excusera elle est mignonne..et blonde en meme temps XD

Tout à fait ! Pour ce qui est de ma citation de Lynch, je voulais plutot faire penser au coté trés "bizaroide" de ses histoires qui fait que la plupart de ses films sont trés compliqués. Sinon pour le reste tu as bien traduis ce que je pense du film REC :-)

Arretez de comparer REC au PROJET BLAIR WITCH ! Ce n'est pas étonnant que vous soyez déçus. Je parle ici aux détracteurs qui osent injustement taxé le film d'indigeste. C'est filmé caméra à l'épaule d'accord, mais nous ne sommes pas en plein milieu d'un bois ! C'est souvent mal cadré, ça bouge de partout et l'image est parfois trés floue. Je trouve cela normal à partir du moment ou le climat de panique général s'installe. Qu'auriez vous fait à la place de Pablo ? Auriez-vous gardés votre sang froid durant 80 minutes ? Si vous cherchez un documentaire d'étudiant de dernière année je connais une chaine qui s'appelle ARTE :-) Il est aussi incroyable de voir à quel point certaines personnes sont difficiles. On dirait qu'ils leur faudrait un scénario à la David Lynch à chaque films. Ce qu'ils ne comprennent pas, ou ne veulent pas comprendre c'est selon, c'est que pour réaliser un bon suspense pas besoin d'avoir systèmatiquement un scénario en béton qui explique les moindres détails d'un film ! C'est comme dans le theâtre, pas besoin de tout expliquer pour apprécier la beauté de certaines pièces. Et votre imagination alors ? Les metteurs en scènes sont des marchands de rêves qui nous laisse le loisir de faire fonctionner notre imaginaire pour pouvoir nous faire notre propre idée. C'est çà partir de là que je suis d'accord que l'on veuille descendre un film et non pas sans avoir compris la base réelle et essentielle d'un film de trouille comme REC. L'on compare aussi le film pa rapport à 28 JOURS PLUS TARD. Et là encore il y a erreur ! Il n'y a pas de zombies dans 28 JOURS PLUS TARD ! Car ce sont bel et bien des contaminés et non des gens morts qui reviennent à la vie ! Donc pas de zombies dans REC. Alors les insinuations faciles comme "les zombies ça court pas" ou "zombies milles fois vus" non merci. Réfléchissez avant de vous mettre sur le défensive pour attirer les regards... Je parle beaucoup des détracteurs mais je pense aussi aux défenseurs. Je suis d'accord avec eux à 70 %. Car je pense que le film ne mérite pas autant d'éloges même au vu de ses qualités évidentes. Nous avons une histoire originale de contamination. Des comédiens convaincants notamment la petite fille. Une caméra à l'épaule qui donne plus mal aux yeux et au ventre avant tout. Car je n'ai pas pu m'empecher de penser plus à CLOVERFIELD qu'au PROJET BLAIR WITCH. Peut-être est ce le fait que ce film est sorti avant. J'attendais tellement de ce film suite à toutes les éloges que l'on avait bien put lui faire que je suis obligatoirement resté un peu sur faim au niveau de la réalisation. Par contre pas de regret à avoir du coté du suspense et des scènes horrifiques. Peu nombreuses mais trés efficaces. Surtout la séquence finale. Un élément purement "fantastique" dans un monde on ne peut plus réel ! Cet élément est balançé à la geule du spectateur sans prévention aucunes ! Voilà bien le plus incroyable du film. Le dernier quart d'heure est quand à lui la meilleure partie du film car je dois avouer que REC tournait un peu en rond dans la deuxième bobine. Voilà donc un trés bon film d'angoisse pure avec ses défauts propres mais qui n'entâche en rien ses nombreuses qualités. Que la paella soit classée patrimoine mondiale !

Une équipe de télévision locale tourne gentiment un reportage dans une caserne de pompiers quand une intervention de routine va mal tourner… « Virtuose ! » « Radical ! » « Terrifiant ! » « Phénoménal ! », une fois de plus la machine à superlatif qu’est devenue Mad Movies s’est déchaînée, et une fois encore me voilà au cinéma avec la certitude d’assister à un évènement du genre ! 80 minutes plus tard, me voilà donc sur le trottoir, incrédule, entouré d’adolescents qui n’osent même pas rentrer chez eux tellement ils ont flippé grave. Et pourtant… C’est toujours désagréable le désaccord total. Mais le constat est là : [REC], sans être une purge, ne m’a fait aucun des effets annoncés par Mad. Alors que je devais y trouver « un sentiment de peur palpable », [REC] fait moins peur que Blair Witch. Pire même, il ne fait pas peur du tout. A cela une raison simple : l’immersion du reportage capote dès lors que les réactions de la journaliste, les déplacements trop bien réglés des protagonistes et l’extrême lourdeur de la démonstration théorique sur le pouvoir d’attraction de la caméra rendent le tout aussi spontané qu’une pièce de théâtre d’avant-garde. Sans cette fameuse immersion, que reste il donc ? Des zombis ? Mille fois vus, en mille fois mieux. Un scénario ? Tellement con et prévisible qu’il aurait pu servir à la création d’un jeu vidéo pour bac à solde. Une « Maîtrise technique virtuose » doublée d’une « magistrale mise en scène » ? C’est peut-être là que l’adoration semble rendre aveugle tant la réalisation caricature le style reportage jusqu’à en devenir indigeste. Ici, le caméraman n’est pas capable de cadrer correctement le moindre plan, et je ne vous parle pas de sa tremblote, de ses zooms misérables et des ses flous incompréhensibles qui démontrent une incompétence qui choquerait ma grand-mère. A noter que je n’ai jamais suivi à la télévision un reportage aussi mal filmé de toute mon existence, ce qui tend à démontrer que le caractère « réaliste » de [REC], salué par tous les observateurs, est vraiment exagéré. Alors peut-être que le génie de la paire de réalisateur est d’avoir fait passer un film aussi banal que sans relief, pour une bombe cosmique à ranger au panthéon du cinéma de genre. Après les très moyens « Secte sans nom », « Fragile » et « A louer », une preuve de plus de la surcôte aberrante dont jouit Balaguero dans les média français, réalisateur quelconque qui recycle paresseusement (et sous les vivas de la foule) ses vieilles recettes de films en films (Ici la dernière scène crapoteuse au quatrième, déjà vue cent fois chez Balaguero). Hallucinant de médiocrité.

J'ai sursauté une fois,mais le film est ultra réaliste,bien foutu,très bien joué,histoire assez orginal (pour l'info:ce ne sont pas des zombies mais des "possèdés" entre parenthèse, et encore c'est vague,tant mieux),j'ai apprecié.A voir au ciné ou dans le noir.

Excellent film-concept qui vous prend aux tripes comme peu l'ont fait dans le genre. Rien de bien neuf sur le plan du scénario (un peu de Blair Witch Project par-ci, un peu de 28 Days Later par-là), mais un survival d'une efficacité telle qu'il supplante sans problème ses plus illustres références. Des acteurs criants de vérité, un climat d'hystérie collective et de cauchemar éveillé vraiment pas rigolo et des scènes-chocs particulièrement impressionnantes, lesquelles se tiennent pourtant bien de basculer dans la surenchère ou le ridicule. Retour en force de la part de Balaguero après le tiède Fragile qui nous faisait déjà regretter son captivant et glauquissime thriller La Secte sans Nom. Une jolie claque en plein visage.

Réussi là où d'autres se sont vautrés. Ou plutôt, là où d'autres ont tenté de faire du spectaculaire pour cacher un manque de matière. REC est une référence à lui tout seul (là où Fragile l'était aussi dans le genre "hôpital et ses fantômes"), un nouveau standard, un nouveau maître étalon popcorn mais "popcorn salé", celui qui assèche la gorge, nous tétanise le temps de trois plans serrés, de cadrages judicieux très explicites certes (zooms, dézooms, focales en pagaille) mais ne faisant jamais dans l'expressionnisme spectaculaire grisant. Les sensations le sont, grisantes, mais jamais gratuites. La mise en place du sujet est merveilleuse, travaillée et coincée : un hall d'immeuble d'architecture classique, presque Andalouse, des rumeurs, des bruits, deux pompiers, un flic, deux journalistes. Point barre. Le film va aussi culminer dans l'horreur la plus totale lorsque les portes de l'entrée se verront fermées par ordre de la police. Le spectateur, à l'image des protagonistes du film, ne sait pas pourquoi, et lorsqu'il sera mis au courant, l'issue sera déjà fatale. Balaguero instaure alors une ambiance qui puise sa force dans la suggestion, certes, mais aussi dans la brutalité du direct renforcée par un mixage sonore démentiel. A ce stade, le climax des vingt dernières minutes est proprement marquant, inoubliable parce qu'il tétanise, paralyse, submerge le spectateur à ce moment en manque de souffle.

Je suis actuellement en Espagne et c'est là que j'ai pu voir le film.Ce fut une révélation! J'adore!C'est un véritable petit chef-d'oeuvre pour ma part!!!Un film court certes mais intense où l'angoisse est chaque minute au rendez vous.Que dire de plus à part qu'il faut à tout prix le voir.... Excellent film!