Cannibal Holocaust
Critiques spectateurs
Réalisateur: Ruggero Deodato Avec Robert Kerman, Francesca Clardi, Perry Pirkanen, Luca Barbareschi, Salvatore BasileInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 01/01/2007 - 00:00
à vous
publié le 01/01/2007 - 00:00
Réponse à Tim
publié le 01/01/2007 - 00:00
Réponse à jeremygrouard
publié le 01/01/2007 - 00:00
!!!
publié le 01/01/2007 - 00:00
Mon Avis
publié le 01/01/2007 - 00:00
A Grouard
publié le 01/01/2007 - 00:00
Réponse à Guill
publié le 01/01/2007 - 00:00
Réponse à masterG
publié le 01/01/2007 - 00:00
Mouais
publié le 01/01/2007 - 00:00
Réponse à Slashers_Fan
publié le 01/01/2007 - 00:00
Mon Avis
publié le 01/01/2007 - 00:00
Du bon boulot
publié le 01/01/2007 - 00:00
Un film à voir
publié le 01/01/2007 - 00:00
Réponse à single_dot
publié le 01/01/2007 - 00:00
Passionnel à ce point?
C'est ça que j'ai trouvé intéressant dans CH; la façon dont justement notre point de vue est retourné, sachant que les vrais monstres ne sont pas ceux qu'on imagine au vu de l'affiche.
Moi aussi j'étais presque content de voir les pourris se faire bouffer tout cru mais au bout du compte, c'était simplement parce que je participais du message acerbe et pamphlétaire contre les médias voyeuristes qui était exposé ici. Cette identification ne m'a pas poussé à descendre ce film, certes bourrin mais intelligent.
Pour ceux qui ont vu 'Baise-moi' (ou 'C'est arrivé près de chez vous'), la logique est un peu la même. Critiquer un mal en utilisant ses codes par souci d'être explicite quitte à trancher dans le lard et mettre de côté les concessions. Personnellement, les snuffs du type 'Face à la mort' et autres me font vomir. CH m'a semblé être une réponse claire à ce type d'image et ceux qui en vivent, en pénétrant le public justement acquis à ces émissions.
Le spectateur avide d'images trash lance la lecture en s'attendant à en prendre plein les mirettes et se trouve au bout du compte devant une oeuvre violemment moralisatrice qui le désigne indirectement par l'intermédiaire des 'journalistes' (si on peut les appeler comme ça) commetant les pires exactions, à l'abri des regards du monde dit civilisé.
Deodato a du se dire qu'un noeud de polémiques valait bien mieux qu'un vague désintérêt.
publié le 01/01/2007 - 00:00
Réponse à jeremygrouard
publié le 01/01/2007 - 00:00
Pour Tim
publié le 01/01/2007 - 00:00
Mon Avis
publié le 01/01/2007 - 00:00
Réponse à Guill
publié le 01/01/2007 - 00:00
Marquant
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