Psalm 21

Outre l'intrigue principale, le curé étant pris d'hallucination à la mort de son père lui aussi pasteur, nous nous intéresseront à savoir pourquoi dans le village ou son père pratiquait, tout le monde était presser de le mettre en terre.

J'avouerai que le film tiens un bon rythme, cependant vers la 45ème minute se permet un tant soit peu d'avancer en vitesse de croisière. Finalement cette perte de vitesse n'est pas pour autant fortuite, car même si la présence de spectre nous faisait pressentir un énième combat le bien contre le mal durant son final, queunini, le combat final n'est autre que ... rôh j'vous gache pas la surprise, mais sachez que le rythme baisse car la conclusion ne se veut pas graphique mais morale et psychologique.

Le tout se soldera par un discours final pouvant faire crier (comme les figurants dans l'église) au scandale, au discours blasphématoire, mais moi j'y ai entendu un discours censé, beau, et c'est toujours bien de tomber sur un gars arrivant à très bien dire ce que nous même pensons sans jamais avoir réussi à trouver les mots.