The Woman
Critiques spectateurs
Réalisateur: Lucky McKee Avec Carlee Baker, Shana Barry, Marcia Bennett, Angela Bettis, Sean BridgersInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 04/11/2018 - 18:29
Civil primaire
Une sauvageonne va croiser la route d'un père de famille très perturbé...
On a affaire ici à un enfoiré de première qui va lui (nous) faire subir les pires des horreurs. Un psychopathe sans morale. C'est l'histoire du comportement d'un grand malade et des dommages collatéraux et conséquence qui vont en découler...
Un film si réaliste et iréel à la fois, un truc vraiment dur et dérangeant (peut être trop...). Très déroutant, digne de son réalisateur (cf. "May"). Et une fin scotchante.
J'ai adoré et j'ai détesté, une sensation étrange...
A voir.
publié le 19/11/2013 - 19:19
Prévision: Electro-choc
publié le 24/11/2012 - 16:54
Du pur McKee
McKee a toujours construit ses histoires autour des femmes. The Woman ne déroge pas à la règle et va même plus loin dans cette démarche. On est à la limite du féminisme. Selon les personnages, les femmes sont représentées à différents âges, et dans différents contextes. Tout cela permet de pousser plus loin la réflexion une fois le film terminé.
Le thème est parfaitement mis en avant, devenant de plus en plus dérangeant scène après scène. J’aime le voile de mystère qui entoure le personnage de The Woman. J’aime la famille américaine parfaite qui perd les pédales. J’aime les secrets inavouables qui refont surface petit à petit. Et j’aime le final : puissant, et menant le spectateur à repenser à l’ensemble. C’est brillant !
Lucky McKee fait un bras d’honneur aux producteurs castrateurs qui l’ont empêché de s’exprimer complètement (voir The Woods et les films suivants). The Woman est tourné avec peu de moyens, mais avec une vraie volonté de se démarquer dans un film horrifique débridé et réfléchi. On y sent la liberté du réalisateur, et c’est pour ça que ça tape fort.
Le casting est aussi un point fort du métrage. On retrouve avec grand plaisir l’excellente Angela (May) Bettis qui semble maintenant être la muse du réalisateur. A ses côtés, Sean Bridges est étonnant dans son rôle de père de famille imprévisible. Les enfants s’en tirent aussi très bien. Enfin, mention spéciale pour la belle Pollyanna McIntosh qui réveille la bête qui est en elle !
Satire virulente du politiquement correct, The Women ne laisse pas indifférent. Lucky McKee réussi une fois de plus à donner une claque cinématographique en jouant sur le contraste entre l’idéale beauté face à la saleté de notre nature sauvage. Le pari était risqué, le budget serré, mais la réussite est totale ! Bravo !
publié le 06/09/2012 - 16:24
Mais? Mais?
-les acteurs
-le scenario (novateur pour moi,c'est tres original!)
-la realisation
-les effets gores ectrement bien realises
A m'entendre on dirait le film parfait mais meme si il est ''top" ce n'est pas un film revolutionnaire. Chapeau aux acteurs surtout pour l'actrice incarnant "the woman''
publié le 15/05/2012 - 00:44
No woman no cry
publié le 09/04/2012 - 01:24
Mon avis
publié le 25/03/2012 - 15:06
I got the woman
publié le 03/03/2012 - 01:13
Et quelle femme !
Bref au delà de ça, comme beaucoup j'avais adoré "May", et j'avais laissée Lucky McKee juste après "The woods" que j'avais bien aimé et ça fait un petit moment que j'ai très envie de voir le film réalisé par Angela Bettis et écrit par lui sans arriver à me le procurer. Du coup j'eus moi même pensé que j'allais me jeter littéralement sur ce "Woman" qui était la sélection du mois de février d'un certain magasine, bah même pas, comme quoi une jaquette ratée c'est pas si anodin finalement.
Bénéficiant d'une scène d'exposition plutôt étrange, spécialement lié à la bande son en total décalage avec ce qu'on est en train de regarder, décalage qui surviendra par la suite lors de toute les scènes de violence qui seront toujours accompagnées de musique pop, the woman déroule ensuite son portrait, celui d'une famille américaine moyenne traditionnelle, patriarcale et bien comme il faut.
Alors que le père de famille découvre et capture lors d'une partie de chasse une jeune sauvage qui vie dans les bois, l'équilibre familiale que l'on sent déjà fragile va littéralement imploser.
Bien que le personnage de la sauvage en impose, Mc kee va pourtant continuer de se concentrer sur les membre de la famille pendant la quasi totalité du métrage, ainsi ce n'est pas un être dé-sociabilisé qui va faire "son entré en société" qui nous est donné a regardé mais plutôt un conflit d’intérêt entre deux civilisations qui ne peuvent coexister que si elle s'ignorent cordialement, et plus étonnant comment l'une parvient à s'autodétruire en voulant s'imposer à l'autre.
La propriété de notre famille sera aussi le théâtre d'une lutte des sexes sans merci... Étonnement dans un cas comme dans l'autre Mc Kee ne tranche pas, une société cannibale représentée par la jeune sauvage n'est finalement ni plus cruelle ou brutale que la notre, et il en va de même pour la lutte homme/ femme qui ne connais de vainqueur que dans la loi du plus fort, les deux genres se valent finalement avec un vague longueur d'avance pour la femme mais uniquement en cela qu'elle enfante.
Côté acteurs, on ne peut que saluer la distribution et spécialement les prestation des trois rôles féminins principaux Angela Bettis, Lauren Ashley Carter mais surtout l'inconnue et la grande surprise du film Pollyanna McIntosh qui est juste splendide, une carrure impressionnante, un regard incroyable, et une véritable force de la nature.
En résumé, puissant et sensible à la foi, emprunt d'un réalisme dénué de cynisme qui prend aux tripes, "The woman" est un film magnifique
publié le 26/08/2011 - 18:24
Mon avis