Forrest Gump

Une partie de l'histoire des Etats Unis à travers la vie d'un garçon handicapé. La vie de Forrest Gump ce héros, un long poème. Une tragi-comédie sur les différences et sur les difficultés de la vie. Un conte pas comme les autres et une histoire formidable.

Peu importe si ce que nous raconte Forrest est vrai ou pas ; attachant personnage qui en fait peut-être des tonnes ou qui est peut-être réellement un héro malgré lui... Des scènes drôles ou étonnantes, critique de l'Amérique avec notre héro au centre ; Elvis, Kennedy, Vietnam, Bubba, Smiley...et plein d'autre références subtiles. Et beaucoup de tendresse et d'émotion avec Jenny l'histoire d'amour de Forrest, jusqu’à sa fin tragique.

Émouvant, drôle, triste, tendre, réaliste. Poétique, tragique, utopique, comique. Ce film, c'est un peu de tous ses adjectifs mélangés.

Un culte d'une grande force par le grand raconteur qu'est Mr Zemeckis.
Un symbole d’innocence et de pureté.
Un rayon de soleil dans ce monde formaté.

A voir ! A revoir ! A faire découvrir !

Décidément je sais pas ce que j'ai à être de mauvaise humeur comme ça, ça me ressemble pas.. Cela dit, Ghylin ne se laisse jamais aveuglée par ses hormones et finit toujours pas rendre un avis le plus objectif possible (mais Ghylin parle parfois comme Alain Delon, il ne faut pas lui en vouloir...)

Oui, God Bless America and Love All the Americans, Even the Cotorep !! Forrest Gump, vous fûtes un si émouvant personnage du cinéma du 20eme siècle... Combien de fois ai-je versé des larmes lorsque votre maman décède, lorsque vous transportez le corps de votre copain Bouba au Vietnam, lorsqu'avec votre enfant vous vous recueillez sur la tombe de la douce Jenny qui vous aima de la manière la plus pure, aussi pure que de l'héroïne pour héroïne...

Alors oui, Forrest Gump, c'est triste, Forrest Gump ça parle des United States of the Etats-Unis et c'est un beau témoignage de leur histoire (presque) non censurée ... (ils parlent même des Blacks Panthers, c'est dire!)... mais Forrest Gump c'est un contrepied terrible à un autre film qui était sorti à la même époque... mais si, souvenez vous! "Tueurs Nés" d'Oliver Stone qui avait défrayé la chronique telle l'Orange Mécanique des années 90... Voilà deux visions de l'Amerique, deux photomaton pris au même instant d'une société bicéphale, Janus des temps modernes...

Je remercie l'un autant que l'autre d'exister et de m'avoir appris qu'il n'y a jamais qu'un point de vue... ma critique vous paraît peut être fausse, mais à l'époque je me souviens que le parallèle m'avait choqué... et j'étais une toute ptiote de 11 ans...