Funny Games U.S.

Funny games U.S, remake de l'exelent funny games d'Haneke par lui même 10 ans plus tard ! Michael est farçeur et il aime l'argent ! alors ques ce qui change par rapport à la premiere version ? hé bien pas grand chose, j'ai très souvent eu l'impression de regarder un copier coller, donc un bon film...mais sincérement je ne voie pas pourquoi le re faire pour ne rien changer, si c'est pour l'argent, autant faire une suite...

Il manque quelque chose dans Funny games U.S, l'ambiance est moins oppressante, moins dérangeante, moins stressante que la version de 97, les deux psycopathes sont moins convaincant aussi, leurs interactions avec nous n'a pas la même forçe, il souffre de la comparaison sur tout les niveaux avec son ainé . dommage ... j'ai cette impression car je connais bien le premier film, je suis quasi sur qu'une personne qui découvre FG U.S sans avoir vu FG prendra beaucoup de plaisir.

Naomi Watts est vraiment exelente ! parfaite dans son rôle . les autres acteurs aussi mais Naomi Watts ressort vraiment du lot, elle se donne à 100% .

Film ultra réaliste et très dur ! Je m'en vais voir l'original pour comparer...

Bien entendu, le film le plus nul de tous les temps. Insupportable, dérangeant. Des scènes improbables, ridicules de nullité crasse comme celle où les victimes, les pathétiques victimes, tentent de faire fonctionner un portable tombé à l'eau : 10 putain de longues et interminables minutes. Des victimes à la limite du consentement, dont on sent qu'elles ne se révolteront jamais. Un mari inutile. Un scandale.

...des oeufs.

N'ayant pas vu l'original en entier, je m'abstiendrai de tout commentaire comparatif.

Voilà donc le produit d'un homme qui a longtemps critiqué (pour ne pas dire, fait la morale) aux USA sans jamais y avoir mis les pieds. Bonne nouvelle, ce film a été tourné dans l'état de New-York. Ce que cela apporte de plus au film? Bonne question. Et, ce que le public (cible) américain à suivi (et compris) le propos du cinéaste (donneur de leçon) de la vieille Europe? ...Non.

Ce film est intéressant, car il n'est pas se qu'il semble être. La violence physique est présente, mais largement supplantée par la violence psychologique. Pourtant c'est bien la frustration et le désarroi qui dominent... Pour finir en dénonciation peu habile, mais assumée.

Les acteurs sont bons. Les jeunes 'plaisantins' sont biens campés. Dès le début, on a une furieuse envie de les fesser violemment. L'interprétation de la petite famille est bonne, même si parfois en deçà. L'image est classique au possible. Aucun grain de folie ou de dynamise, on reste dans le plan fixe (limite contemplatif) ou le déplacement lent. La 'surprise' ou transgression (qui moi m'a étonné pour un tel film) que s'autorise le réalisateur: (SPOIL) Les brefs instants ou un des acteur s'adresse directement au téléspectateur ou quand il utilise la télécommande... Le scénario a beau être bon, ceci dessert totalement le film en lui retirant tout réalisme (Donc identification du public). Une forme de sabordage en soi; consciente ou non? Assumé c'est sur.

Pour paraphraser le texte du film: « Fiction ou Réalité...blablabla... c'est n'importe quoi.»

Malgré tout un film à voir pour son culot... moral.

(8, car j aime les gens qui osent)

Je vais coller à ce film un zéro pointé. Pourquoi?

Est-ce un problème de réalisation ou de scénario? Non, la réalisation est bien maîtrisée, froide, jouant avec les plans fixes et les hors-champ. Quant au scénario, il joue habilement des montées de tension et des longueurs pour nous faire vivre la tragique aventure qui arrive à la famille victime.

Est-ce un problème d'interprétation? NOn plus, les acteurs sont excellents, Naomi Watts en tête. Les deux psychopathes de blanc vêtu sont parfaits de sadisme et de sang-froid.

Quel est le problème alors? Michael Haneke a fait ce remake parce qu'il estimait que la première version n'avait pas trouvé son public: les spectateurs américains. Le cinéaste veut en effet adresser un message et dénoncer la fascination pour la violence et les mécanismes du cinéma qui nourrit celle-ci, d'où des effets de distanciation comme Michael Pitt qui s'adresse au spectateur ou la scène de la télécommande où ce dernier rembobine le film, montrant ainsi que c'est lui qui maîtrise la fiction. Or la démarche de Haneke se solde par un échec total. D'abord, et sans vouloir blesser l'égo de ce dernier, nous pouvons remarquer que la face du monde n'a pas changé depuis la sortie de son film aux USA. Pire: son objet de dénonciation est devenu un objet de consommation comme les autres à cause précisément de la maîtrise des mécanismes de la violence du cinéaste. Autrement dit, Haneke démonte la machine, nous montre les pièces mais ne fait rien d'autre. Le film devient par défaut ce qu'il était censé dénoncer.

Echec total donc et zéro pointé. CQFD.

N'ayant pas non plus vu la première version, ma critique sera totalement objective. L'idée est assez sympatique, les acteurs sont tous réellement bons et en particulier Naomi Watts qui est désarmante. Dans l'ensemble le film est plutôt bon et prenant, malgré quelques longueurs inutiles. J'ai passé un bon moment... Ca mérite un 6.5 arrondi à 7

Pratiquement dépourvu de scènes gores, ce film n'en est pas moins dérangeant. Disons que le réalisateur tape là ou ça fait mal. Imaginez une famille, tout ce qu'il ya de plus normal, confronté à 2 psycopathe. Car oubliez les dégenerés armés de haches ou de tronçonneuses qui vous poursuivent des heures durant. Imaginez plutôt deux beaux gosses angéliques très polis en tenue blanche de tennisman, gants assortis, d'ailleurs on dirait 2 frangins. En fait ce film m'a rendu incroyablement nerveux, car on sent le malaise s'installer peu à peu, pour arriver à un final abominable. J'ai dis que le final tapait la ou ça fait mal ?, eh bien oui !, si vous avez vous même une famille vous ne pouvez vous empêcher de vous mettre à la place de ces gens qui n'ont rien demander à personne. Parfois je me surpend même à donner des conseils à tout ces braves gens , sur la conduite à adopter !. En fait c'est un cauchemard, car que peuvent faire ces gens façe à leurs bourreaux, surtout quand ceux-ci sont gentils ?, d'ailleurs on se dit qu'il ne doit pas être très durs de venir à bout de pareilles petites crevures. Et là on trouve que le film est soudain trop réel, même si ce genre d'agression totalement gratuite est extremement rare, surtout de la part de pervers qui passent à l'action en géneral, que si ils savent qu'ils ne risquent rien. Donc point de violence physique dans ce film, mais plutôt de la torture psychologique Une seule note d'optimisme dans tout cela, il existe une sorte de second degré dans le film, je parle de la façon dont un moment une de ces petites ordures s'adressent au spectateur, ou le retour sur image, ou encore la conversation quasi-existentielle finale. Par contre on se pose des questions quand à l'utilité de certaines séquences, surtout celle du télephone. Etait-ce du au réalisateur qui ne souhaitait pas faire de la sur-enchère dans les humiliations infligées à cette malheureuse famille ?, et dans ce cas il était nécessaire de meubler un peu ?

Bon comme d’hab, des cinglés qui vont s’en prendre à plus faible qu’eux. Mais pourquoi ne font-ils jamais un film auquel des tarés de leurs espèces irait s’en prendre à la famille de Jean Claude Van Damme avec lui-même dans la maison, combien de temps pourrait durée un film comme ça, 5 ou 10 minutes ? Avant que celui-ci attrape ces barjes et les fasse passer par la fenêtre avec leurs slips sur la tête ?

Funny Games lui reste classique (c’est un Rape no Revenge) et doit sa force majeur sur la cruauté des agissements des ravisseurs car il n’y a rien de bien affriolant à ce placer sous la dent à par cela. Mais justement cette inhumanité est réellement bien maitriser, sans tomber dans le grossier ou le n’importe nawak puis le tout nous entraine dans une spirale de mauvais gout qu’il en devient vrai que lorsqu’un des ravisseurs s’adressera à nous en nous demandant si nous étions vraiment du coté des gentils, il est encore vrai, que le spectateur avait jusqu'à cette remarque basculé du coté obscur.

Cependant ce qui est fort regrettable c’est la présence de longueurs quasi inutiles, une fois les ravisseurs partis, estimait bien dix minutes entre ce que Naomi Watt défasse ces liens et aide sont mari à s’assoir (passionnant hein ?) puis ensuite vient le coup du téléphone portable à sécher, qui en gros prend autant de temps, à se demander si c’est longueur n’on pas pour but d’augmenter la durée du film. N’empêche que la performance de ce petit monde est amplement convaincante, Naomi Watt est encore plus mignonne qu’à l’accoutumé, et dans un sens ca ennuie un peu le spectateur de devoir la regardé se faire rabaisser de la sorte. Mais justement ca s’arrête ici, les personnages n’ayant aucun droit d’approfondissement qu’il en devient dur de plaindre les victimes, finalement que fait dans la vie cette famille, était t’ils des gens bien sous tout rapport, dans quel but ont ces jeunes de les persécuté, mérite t’il ce qu’ils leurs arrivent ? Autant de réponses auquel aucune réponse sera donnée, et vu ma remarque ci haute sur les longueurs inutiles, tout ces éléments de réponse aurait pu trouver leurs place. Funny Games reste quand même un film cruel et ombreux qui en fait un de ces rares films qui mettra aux anges les anti happy end.

Immoral, psychologiquement pas évident, ce Funny Game a tout du film dérangeant (malsain ?) qui tape là où ça fait mal et nous fait passer un bon et tendu moment. Je n'ai pas vu l'original, donc pas moyen de comparaison, mais il s'en sort avec tout les honneurs, malgré quelques longueurs qui n'apportent pas forcément grand chose à l'ensemble.

Si si, regarde bien, c'est subtil mais il y a un élément moderne : le téléphone portable que notre pauvre couple tente d'utiliser n'est pas le même !!!