2012 : L'âge de glace
Critiques spectateurs
Réalisateur: Travis Fort Avec Patrick Labyorteaux, Julie McCullough, Katie Wilson, Nick Afanasiev, Kyle Morris, Cedric ScottInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 17/02/2014 - 02:44
Plus gros que celui de votre whisky
Encore que ici ce n'est pas de la pollution qui est en cause , mais une éruption volcanique en Islande, qui fait évidement penser a celle survenue à ce volcan, au nom imprononçable et juste écrivable !.
Mais jusque là le film de ce genre présentait des choses à la limite possible !, par exemple dans le film que j'ai précédemment cité, il s'agissait d'énormes dépression neigeuse qui arrivaient tout droit du pôle Nord.
Sauf qu’ici, ce qui se passe, en gros ce sont les glacier qui fond (et non pas qui fondent) à toute à allure , vers...NY , la sacro-sainte ville du monde qui est située dans le sacro-saint meilleur pays du monde !Un danger planétaire ?, que ce soit des ouragans ds tremblement de terre ou des piranhas mutant, finira toujours par vouloir atteindre la glorieuse civilisation Américaine comme dirait Borat.
Et là c'est carrément du grand n'importe quoi,c'est un gros morceaux de glace e,n fait qui se rapproche a 300 km /h, ou moins pour votre Whisky, vous serrez comblé, a ce moment là autant imaginer des planètes carrées, des étoiles composées d'eau liquide , des arbres poussant par les branches.....voyez dans l'absurdité et dans la déraison on peut tout imaginer , c'est pas comme la raison qui elle finalement est très limitée.
Alors de plus la réalisation est lamentable, les trucages numériques horribles !, les acteurs jouent comme ils peuvent !, on est a -40 degré, mais pas de buée ne sortent de leur bouches !. En plus le réalisateur aurait pu faire gaffe à ne pas nous présenter des plans ensoleillés situé en plein brouillard, des séquences tournés à la montagne, oui ! ,évidement faut bien présenter un peu de vrai neige tout de même !, oui mais alors il aurait fallut gommer de l'image les résineux, et autres conifères qui dont typique des régions montagneuses, ce qui n'existe pas dans la banlieue de NY que je sache.
Alors je vous préviens c'est pas marrant , c'est un truc qui est resucée de ce qui c'est déjà fait , et très vite on décroche , jusqu’à se foutre complémentent du film.
publié le 07/10/2013 - 09:48
Mon avis
publié le 19/09/2011 - 11:44
Ça caille !
Après les facéties aquatiques de 2010 – Moby Dick, Trey Stokes récidive de nouveau chez Asylum. Point d’aspect moralisateur comme dans 2012 – Doomsday ou de relents patriotiques de 2012 – Supernova à l’horizon. Le réalisateur se contente de déglutir les formules éculées du parfait petit film catastrophe sans ambition. On ne s’appesantira pas sur les personnages ou l’histoire qui, au passage, n’a rien de très crédible et ferait passer l’iceberg du Titanic pour un pauvre glaçon perdu au fond de votre verre. C’est maladroit, absurde, mais surtout très laid.
Certes, Trey Stokes ne possède pas les moyens nécessaires pour ce genre de produits, mais on ne peut adhérer à des images de synthèse aussi sommaires. Des explosions timides, une éruption volcanique brouillonne ou des tempêtes de neige très classiques, rien n’est entrepris pour capter l’attention du spectateur, et ce, malgré la volonté de Trey Stokes à multiplier les effets pyrotechniques et les séquences cataclysmiques. Le déroulement du récit dispose d’un rythme somme toute constant, mais là encore, les piètres situations ne sont qu’un ramassis d’idées pompées et recyclées à la va-vite par les responsables du projet.
Bref, 2012 – Ice age ne se révèle rien de plus qu’un énième film catastrophe sans saveur. La faute à un budget limité, une histoire maintes fois vue, mais surtout à un manque d’ambition flagrant de la part de l’équipe. Qui plus est, le film n’a rien à voir avec 2012. Il se contente d’arborer un titre racoleur pour tenter d’attirer l’attention (comme le fit 2012 – Terre brûlée). Un procédé fallacieux qui ne mérite que mépris de notre part, car au final, l’on juge 2012 - Ice age pour ce qu’il est : une production terriblement conventionnelle et trop médiocre pour faire la différence.