Astérix aux Jeux olympiques
Critiques Spectateurs de Astérix aux Jeux olympiques
Astérix et Obélix doivent remporter les Jeux Olympiques pour permettre au jeune Gaulois Alafolix d'épouser la Princesse Irina et lutter contre le terrible Brutus, prêt à tous les stratagèmes pour lui aussi gagner les Jeux et se débarrasser de son père: Jules César...
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publié le 07/02/2023 - 19:28
"Formation de la tortue d'un point de vue animalier !"
C'est sympathique mais ça ne vaut même pas le premier. On gardera surtout Poelvoorde-Brutus et Delon-César, et leurs scènes partagées. Ainsi que Mr Astier, toujours impeccable dans ce genre d'exercice. Et disons la première partie du film dans l'ensemble avec des bons moments rigolos…
Mais bon, à part ça, c'est quand même pas terrible : références bofs, jeux d'acteurs bofs, blagues et répliques bofs, bof, bof… Et puis ça en devient d'un long au final, je me suis assoupis avant la fin.
Un fourre-tout bien peu inspiré.
publié le 21/03/2014 - 13:40
La médaille d'or de la médiocrité
publié le 10/02/2014 - 10:04
La foireuse aventure de Brutus
Comment faire simple pour décrire ce ratage. Tout d'’abord, le positif : ça se laisse regarder en lisant un bouquin ou en repassant. Les effets spéciaux sont corrects, même si certains décors ne font pas illusion. Les horreurs du temps de Zidi sont terminées. Sinon, agréable surprise : Clovis Cornillac est un bien meilleur Astérix que Christian « Jacquouille » Clavier (qui ne correspondait en rien au personnage).
Voilà. Pour le reste, c’est le résultat d’une superproduction bling-bling qui a pour ambition de se remplir les poches en exposant son pognon, son carnet d’adresses et en rendant une sorte d’hommages aux (très riches) sportifs populaires qui font baver l’hexagone. L’aspect artistique ou le respect de l’œuvre d’origine, on s’en branle très clairement.
Bilan : les dialogues sont plats. Difficile d’y trouver un soupçon de la finesse ou de l’humour de Goscinny. La maigre histoire est cousue de fil blanc et sans aucun intérêt, les personnages cultes de la BD deviennent secondaires et l’ensemble souffre d’un gros problème de rythme dû aux ambitions des producteurs. Il y a tellement de guests stars et de potes à glorifier que le montage est complètement déséquilibré. Il suffit de voir la fin interminable pour s’en convaincre : celle où le pathétique Debbouze essaie de nous amuser en accumulant les erreurs de prononciation pour noyer le fait qu’on n’a pas réussi à intégrer certains sportifs à l’histoire (mais comme on les a payé grassement, mieux vaut les montrer un peu quand même).
publié le 16/11/2012 - 16:06
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