L'Antre du Mal
Critiques spectateurs
Réalisateur: Micheal Bafaro Avec Daryl Hannah, Leah Gibson, Luke Camilleri, Lee Tomaschefski, Maria Gruending, Jeb BeachInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
- Connectez-vous ou inscrivez-vous pour publier une critique
Vous souhaitez soutenir Horreur.net ? N'hésitez pas à faire un don, même symbolique, sur Tipee(le lien est externe).
publié le 03/12/2013 - 01:07
Réaliser ce film, ça c'est mal !
En fait notre conductrice est à la recherche de son fiancé qui a disparu en partant de Los-angeles à Bangore plusieurs années auparavant. Et incroyable voilà quelle découvre sa voiture. Coup de bol, hein, de tomber pile poile à l'endroit où son fiancé a disparu sur un trajet d'au moins 6000 km.
Très clairement le film reprend beaucoup d’éléments de ce qui a déjà fait au ciné, mais en les ringardisant le plus possible. Et puis apparemment chaque fois qu'elle quitte un pompiste, elle tombe sur un autre pompiste qui est lui même de la famille que le précédent. Ben là, au moins, on ne peut pas parler de désert des stations service, dans ce coin-là.
C'est marrant par certains cotés, consternant par d'autres. Le coup du pompiste sans bras par exemple. Je ne sais pas mais ce sont quand même des étudiants, donc intelligents ils trouvent le moyen de se foutre de la gueule de ce type comme ça pour s'amuser. Et puis j'aime bien la relation qu'a notre homme avec son frère..... oui là on nous rejoue un peu le coup de la famille hewitt, mais façon Etat du Maine.
publié le 30/01/2012 - 12:18
La famille bargeot vous accueille
publié le 29/01/2012 - 19:05
Frisette et frisé et leur copain niais..
Entre survival et slasher Bafaro a bien du mal à faire son choix mais de toute façon avec un scénario bateau, des acteurs minables, des dialogues aussi débiles qu'inutiles on ne va jamais très loin spécialement quand on film tout ça en dilettante sans chercher ni l'esthétisme ni l'efficacité.
En fin de compte nous spectateur bah on se fait bien chier, 5 abrutis coursés par un chasseurs dans les bois qui prennent le temps de babiller comme si de rien n'était, une tension quasi absente puisque dès le début le potentiel survivant nous est présenté et le retournement de situation final grotesque et prévisible ne parvient pas non plus a donner une autre perspective à l'ensemble.
Si au moins on nous présentait des exécutions digne de ce nom ou inventive, pour justifier la platitude générale du scénario que nenni. Les victime crèvent dans l’indifférence générale et de façon assez peu spectaculaire.
"Devil's playgroud" est un film inutile et médiocre, le terrain de jeu du diable...mon cul...sure qu'il ferai mieux que ça dans un bac a sable avec une pelle et un râteau en plastique
publié le 31/08/2011 - 12:57
Ne vous y attardez pas...
On commence par une poursuite dans les bois qui démontre d'emblée les nombreux défauts du film, ainsi que son classicisme exacerbé. Rapidement, on s'aperçoit que la distribution pâtit d'un cabotinage à outrance. En cela, ce ne serait pas si grave si les personnages ne paraissaient pas si caricaturaux et plats. Une brochette d'acteurs de seconde zone qui ont la tête de l'emploi pour se faire trucider en pleine forêt. Toutefois, la mise en scène ne les aide nullement à se démarquer. Un cadrage approximatif, des séquences mal orchestrées, on peine à trouver nos marques pour un résultat des plus brouillons.
Comme si cela n'était pas suffisant, l'intrigue se ponctue des flashbacks de l'unique survivante. Ce n'est pas un mal si tant est que le déroulement du récit tienne le rythme. On s'ennuie ferme, les situations se suivent et se ressemblent. On a l'impression de connaître l'histoire à l'avance et ce n'est pas un rebondissement maladroit de dernière minute qui changera la donne. De fait, le film de Michael Bafaro ne retiendra nullement l'attention de par ses trop nombreuses lacunes, ses incessants flashbacks, sans compter le degré d'innovation proche du néant.
Long, ennuyeux et surtout inutile, L'antre du mal est un slasher bas de gamme qui rejoint irrémédiablement les navets du genre. Des bimbos décérébrés, des types pas très malins, un tueur au charisme de crustacé, pas de doute, le film de Michael Bafaro ressasse les pires clichés que l'on puisse commettre dans pareille entreprise. Qui plus est, le cinéaste nous avait habitués à beaucoup mieux en termes de réalisation. À noter, une photographie des plus hideuses qui finit d'achever une atmosphère inexistante. On ne frémit pas, mais on ne se réjouit pas non plus du spectacle. À éviter sans remords.