Scream Show: Volume 2

La première histoire (qui pour moi reste la meilleure) nous fait suivre l'expédition de trois spéléologues du dimanche qui au lieu de rester devant un match de foot décident d'aller se chercher des problèmes en se retrouvant en mauvaise posture là où il ne faut jamais l'être... au moins devant un match le seul problème existentiel aurait été plus de bières au frigo. Pour être franc se segment ne vaut le détour pour ses effets gore assez saisissant, c'est crade et ça se présente sans détour. La dernière image (et maquillage) quanT à elle pourrait même faire un lien avec le film de Neil Marshall 'The descent' en nous expliquant comment les Crawlers ont pris possessios des grottes.

Le deuxième segment nous narre l'histoire d'un prof ne supportant pas que l'on manque son cours (quite à pourrir l'année entière à l'élève manquant son cours ! Et vous pensez que le membre Dorian Gray est un méchant professeur après ça ! ). Malheureusement sa politique de l'éducation va méchamment se retourner contre lui. Bon, que dire, à partir de là, la qualité de Scream Show 2 baisse un peu. L'épisode est un peu long à démarrer mais voulait vraiment donner une présence à ses personnages et situations, seulement le manque de temps semble l'avoir obligé à couper à travers champs. Dommage car, plus long, cet épisode aurait pu amener beaucoup de folie et d'idées.

Le troisième lui annonce vraiment la fin, car c'est le plus chiant, sorte de ripp off d'un épisode d'Au delà du réel avec Alyssa Milano. Au contact d'une poudre venant de mars une cancéreuse se voit transformée en folle du cul (hé hé oui, un mars et ça repart ... non non l'est pas macho le réal non, non du tout, pour lui, une femme malade, c'est une femme qui baise pas ! Doit surement être pote avec Gory Freddy le scénariste ... ) M'enfin, imaginez un épisode où on voit un couple copuler, du début jusqu'à la fin, radin en effets spéciaux et en plus mou du genou (mais pas de la b-Censuré-te).

Conclusion un film à sketches à voir tranquille, seul. Vous le conseiller, ça je ne sais pas, puisqu'il a l'air du genre vite vu vite oublié.