And Soon the Darkness
Critiques spectateurs
Réalisateur: Marcos Efron Avec Amber Heard, Karl Urban, Odette Yustman, Gia Mantegna, Adriana BarrazaInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
- Connectez-vous ou inscrivez-vous pour publier une critique
Vous souhaitez soutenir Horreur.net ? N'hésitez pas à faire un don, même symbolique, sur Tipee.
publié le 19/07/2013 - 13:13
2 jolies nanas et.......c'est tout.
C'est donc à partir de ce moment-là que les choses vont se gâter pour elles, l'une va disparaître et l'autre en a profité pour lui piquer son mec. Mais non je plaisante bien sûr, elle va tout faire pour retrouver son amie. Bon voilà ça n'a rien de vraiment palpitant, l'histoire met du temps à démarrer mais a au moins le mérite de nous présenter une argentine aux paysages très contrastés, un pays assez méconnu finalement.
Si la réalisation se veut sobre et réaliste, l'intrigue quand à elle est trop quelconque, du reste il y manque cette tension indispensable pour atteindre le haut du panier des meilleurs thrillers et là on en est loin.
Finalement ce film est regardable mais ne vaut que par la présence d'une Amber Heard joliment carrossée mais qui ne remportera sûrement jamais l'oscar de la meilleure actrice.
publié le 04/06/2012 - 02:22
Pas mieux...
Cela dit vu la vacuité du scénario présent je me tâte à aller vérifier mes hypothèses de peur de devoir affronter une autre heure et demi d'ennui qui ne seront pas ponctuellement égayer cette foi par de splendides paysages exotiques.
Côté actrices elle sont effectivement très belles, malheureusement n'ayant aucun penchant saphique leur plastique aussi parfaite soit elle ne parviendra pas à me faire oublier que je suis en train de regarder un film de merde ou il ne se passe rien de bien intéressant, des méchants qui prêtent à sourire, un rythme mollasson, une mise en place très longue et des rebondissements prévisibles n'aident pas vraiment à sortir de la torpeur dans lequel ce "And soon the darkness" plonge, (titre probablement motivé par l'assoupissement des spectateurs lors des projections tests).
Comme "Touristas" qui est tout aussi mauvais, le film jouera sur des bouts de fesses bikiniquées pour tenter la blague, et Efron n'aura pas le même talent pour saisir sur pellicule la beauté des paysages bien qu'il parvient par-ci par la à livrer quelques jolis plans .
Bref un film qui donne envie de ressusciter des expressions désuètes telle que nazebroque.
publié le 07/03/2012 - 14:35
And Soon The Boredom
publié le 26/12/2011 - 11:33
And soon, Odette en bikini
publié le 17/10/2011 - 18:25
De la lénifiante argentine
Pourtant le scénario aurait pu être pas trop mal. D'ailleurs, on peut y voir une approche assez similaire de l'histoire des deux jeunes françaises qui se sont faites abattre en Argentine. Mais le film étant un remake d'un métrage des années 70 (bonjour créativité), on ne peut qu'y voir une coïncidence morbide. En gros deux jeunes filles sexys font un voyage en Argentine. En cours de route, elles font faire la fête et l'une des deux nanas va se trouver un amant. Mais ce dernier étant plus violent que prévu, elle va devoir compter sur l'aide d'un voisin musclé pour la sauver. Le lendemain, les deux jeunes filles se disputent et l'une d'entre elle disparait. La deuxième va alors partir à sa recherche. Il n'y a pas grand chose d'original la-dedans, certes, mais on aurait pu avoir quelques scènes pêchues et une intrigue un peu mieux ficelée. Malheureusement, le tout est drôlement linéaire et prévisible.
Au niveau de l'ambiance, on est vraiment au ras des pâquerettes. Le réalisateur, Marcos Efron (à ne pas confondre avec Zac Estron qui est un acteur scatologique) essaye désespérément de donner un aspect lugubre et misérable à l'Argentine profonde, mais malheureusement, le tout est vraiment trop propre et trop aseptisé et il passe complètement à coté de sa volonté de montrer la misère argentine et l’appât du gain facile. Il reste les magnifiques paysages et des plongées assez bien fichues mais qui ne servent strictement à rien et qui finalement n'instaurent pas une ambiance angoissante et dangereuse. Le village délabré de la fin aurait pu être mieux exploité, surtout que le décor se veut vraiment misérabiliste voir apocalyptique, mais malheureusement, il demeure lénifiant au possible.
Par contre, le choix des actrices est assez judicieux. En effet, on prend deux bombes anatomiques montantes dans le cinéma actuel et on les montre en tenue courte voir même en bikini. Pour ceux qui voulaient les voir à poil, il faudra se rabattre sur un porno. Les deux actrices sont Amber Heard, que l'on a pu voir dans le très moyen The informers (et profitez-en, dans ce film, elle est tout le temps à moitié nue) tiré d'un roman de Brest Easton Ellis ou encore dans le récent Hell driver avec Nicolas Cage, et Odette Yustman qui est l'héroïne du mauvais The Unborn et qui est juste excellente de charme. Pour le niveau actrice, on reviendra, mais quel corps et quel sourire! Elles sont accompagnées par Karl Urban qui est juste Eoden dans le Seigneur des anneaux. Malheureusement, les deux méchants de l'histoire ne sont pas assez charismatiques et restent franchement décevants.
Mais le pire du pire, c'est au niveau des effets de peur ou de gore. Quand on fait un film d'horreur ou d'épouvante, il faut prévoir des scènes un peu plus chocs ou alors du sang. Ou encore s'il n'y a pas de sang, prévoir une ambiance glauque, un peu malsaine, enfin, avec de quoi faire frisonner le spectateur. Mais là, dans ce film, il n'y a rien. Le néant. Le vide. Les abîmes. Un gouffre sombre et moite (rappelez-vous, and foufoune the darkness, Marc Dorcel devrait s'en souvenir...). Du coup, on n'a pas peur, on n'est pas surpris et en plus on se fait chier. Pas de sang, même pas une goutte, quelques électrocutions indigne d'un taser et une fin relativement minable et expédiée en deux deux, on obtient un film qui ne mérite ni l'appellation de film d'horreur ni même de thriller.
Au final, and soon the darkness est un film insignifiant et qui ne vaut le coup d’œil que pour une seule chose, la présence de deux actrices aux corps de rêve. Alors on a la choix, soit on adore ces actrices et on est prête à se branler devant ce film notamment quand elles se mettent en maillot de bain, soit on aime bien ces deux actrices mais on préférerait les voir dans un porno et dans ce cas là, on cherche désespérément une vidéo x avec leurs sosie dedans. Ne perdez pas trop votre temps avec ce film qui est aussi inutile qu'insignifiant. Encore un remake de merde.
publié le 14/01/2011 - 10:11
Et bientôt... l'ennui
L’on débute avec une introduction de deux minutes où l’on aperçoit une jeune femme légèrement vêtu qui subit des électrocutions purement gratuites. A ce stade, on s’attend à un torture-porn assez virulent qui prendra place en Argentine. Seulement, plus le temps passe, plus on a l’impression de s’être fourvoyé sur les intentions de départ. La suite nous conforte dans ce malaise, puisque l’on aura droit à rien d’autre en ce qui concerne cet aspect de l’histoire. Récit qui, au demeurant, reprend grosso-modo une trame extrêmement basique où l’on s’ennuie assez vite.
Pourtant, on tente de s’accrocher et de garder espoir, en vain. Par le biais d’une réalisation sans saveur qui ne prodigue aucune émotion, on parcourt de mornes paysages sans jamais s’émerveiller par la magnificence de la nature ou ressentir la profonde détresse des locaux gangrenés par la pauvreté. Rien n’est entrepris pour nous faire ressentir le calvaire des deux américaines. L’atmosphère est au plus bas quand, tout à cas coup, on retrouve Ellie aux prises avec son kidnappeur. Dès lors, on finit de sombrer dans le plagiat bas de gamme d’autres productions tout en s’appliquant à ne pas froisser les mentalités les plus fragiles.
Bref, And soon the darkness n’a aucun intérêt. Jonchés de longueurs agaçantes, impersonnel, inconsistant et maladroit, on ne ressent aucune envie de la part du réalisateur d’entreprendre le sujet sous un angle différent. On notera tout de même une photographie assez soignée qui se révèle l’un des rares atouts du métrage. Maintes fois vues par le passé, ce genre d’histoires ne peut parvenir à se démarquer qu’avec du talent, de l’audace et une once de lucidité. Or, ici, ce n’est nullement le cas. Un produit lambda pour une histoire tout aussi plate et sans relief.