Le Chaperon Rouge
Critiques spectateurs
Réalisateur: Catherine Hardwicke Avec Amanda Seyfried, Billy Burke, Lukas Haas, Gary Oldman, Michael Shanks, Virginia Madsen, Julie Christie, Michael Hogan, Max IronsInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 24/09/2011 - 15:30
Le petit chaperon vampire
publié le 21/09/2011 - 12:49
Le chaperon rebelle
Apparemment, la cinéaste n’a pas jugé nécessaire de se renouveler avec une formule destinée à émouvoir les petits cœurs et les adolescentes en mal de romance à l’eau de rose. On ne prend que les noms du conte, ainsi que quelques détails et l’on massacre le tout à grand coup d’amourette passionnel. Au lieu de se retrouver avec une histoire sombre et réaliste à souhait (comme c’était le cas avec Blanche Neige – Le plus horrible des contes), on se trouve en présence d’un ersatz de Twilight au pays du grand méchant loup. L’atmosphère en pâtit sérieusement et n’est nullement angoissante ou intrigante. À vrai dire, on se moque de l’identité du grand méchant loup. Les personnages étant tellement fades qu’il importe peu de découvrir la vérité.
Pour ce qui est de la mise en scène, rien de très surprenant. Les effets de style se multiplient sur fond de musique planante et totalement anachronique par rapport aux images. Il reste une photographie assez séduisante. Si le casting s’avère des plus inégal (les seconds rôles sont davantage passionnants que les protagonistes eux-mêmes), on remarque des physiques très conformistes (jeune fille blonde, clone de Robert Pattinson…) pour servir l’histoire. Le film auquel aurait pu prétendre la réalisatrice n’est en fait rien d’autre qu’un produit formaté et agencé pour une tranche d'âge bien spécifique.
Tant par ses (rares) qualités que ses (nombreux) défauts, Le chaperon rouge rappelle indubitablement Twilight. Outre son scénario calqué sur les péripéties de son précédent film, on retrouve les mêmes têtes à claques, des effets spéciaux similaires (notamment le design du loup) et des enjeux aussi superficiels que pathétiques. Mis à part une image propre (peut-être un peu trop), la réalisation manque d’enthousiasme. Tout comme les intentions sont clairement établies et le public ciblé, l’ensemble se révèle très académique. Catherine Hardwicke ne prend aucun risque et récite sa leçon par cœur. Terriblement creux.
publié le 30/06/2011 - 12:19
A la sauce Twilight
publié le 07/04/2011 - 08:43
Mon avis
publié le 21/03/2011 - 20:57
Une vraie merde