Mega Piranha
Critiques spectateurs
Réalisateur: Eric Forsberg Avec Paul Logan, Barry Williams, David Labiosa, Jude Gerard Prest, Jesse DalyInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 01/03/2013 - 15:10
Big Fish
Les piranhas ont la côte, autant en profiter. Et pourquoi ne pas un peu les booster? Comment? En les rendant énormes? Ouais pourquoi pas? On se retrouve donc face à un banc de poiscaille survitaminée, un super américain qui résout les problème, une scientifique plus douée pour remplir un soutif qu'un rôle d'actrice et une bande de soldat méchants et laids anti américains.
Niveau consternation retrouvons: un piranha en plastique avec des dents ridicules, un héros aussi charismatique qu'un WC dans une goelette par temps d'orage (en plus il sais super bien faire les mimiques selon la situation le gars!)et qui joue au foot avec les poissons (appelez B.B.!), des CGI tout pourris, une attaque de piranhas kamikazes (la tendance japonaise peut-être?) et le final magistral où l'Amérique sauve le monde (qui n'en a rien à foutre vu qu'il était pas au courant, té).
Pour les adeptes du nanar poids lourd.
publié le 02/01/2013 - 03:51
Méga nanard genetiquement modifié
Et là malgré une invitation des militaires du pays, qui ressemble plutôt à une assignation à résidence (normal les étatsuniens sont des démocrates eux !,Guantánamo ils connaissent pas), notre homme fausse compagnie à ses hôtes, et décident d'aller lui meme explorer le fleuve.
La, il achete les services d'un guide (qui utilise les mêmes expressions Américaines), et plonge dans la flotte. mais là...il ya comme qui dirai un problème, car le réalisateur nous film des fonds...sous-marins, oui oui, des fonds que l'on trouve sous la mer, alors que l'eau aurait du être opaque et boueuse, car chargé de limon. Et que dire d'une autre énorme faute, lorsque notre homme appel son supérieur à Washington qui se trouve alors plongé dans la nuit, alors que lui au Vénezuela est au environ de midi !, que je sache Washington et le Vénezuela sont a peu près au même fuseau horaire, ou a quelque chose près.
Et puis le réalisateur revient au laboratoire ou officie plusieurs scientifiques dont la femme citée plus haut, et l'un d'eux emet l'hypothèse que les poissons vont grossir très vite , sans blague il a trouver ça tout seul celui-là. Et ça doit être vrai car notre militaire resté sur la berge vient de zigouiller un de ces poissons qui a littéralement voler hors de l'eau, et on constate que l'hypothese émise plus haut est vrai car notre poisson grandit même mort !, car il n'a plus la même taille une fois ramené au labo.Et on a le droit à une simulation par ordi de la propagation de nos poissons, (qui poussent des grognements, comme les requins d'un autre film) qui on pense risquent d'arriver très vite au état-unis !.Si si, ils vont traverser l'océan (ils vont survivre à l'eau salée, mais bon passons, on est plus à une anerie près), et vont attaquer le sacro-saint du saint, j'ai nommé les états-unis d'amériques !, car le monde est bien un axe nord-sud entre les USA et l'amérique latine !,un peu comme certains pensent également que la France se résume à être un axe unique entre Paris et la Côte d'azur !.
Je ne vais pas tout raconter, mais à un certain moment le film disjoncte complètement, c'est lors de l'attaque des poissons sur la ville !, il vole hors de l'eau et vont bouffer les habitants dans les maisons et reparte à la flotte, là j'ai failli mettre 0 au film, mais dans ma carrière de critiqueur, je l'ai très rarement fait. Et puis le film nous dépeint une course poursuite entre les militaires Vénezuelien et nos héros, qui au beau annoncés qui ne veulent pas les tuer, les canardent quand même!, d'ailleurs on se demande bien ce qu'ils leur veulent réellement.
Là les etats-uniens vont prendre les chose en main car ils vont bombarder à l'arme lourde les poissons devenus très gros (les venezueliens ont fait la même chose précedement, oui mais eux ils sont nuls, car ils sont venezuelien) comme des bourrin au petit bonheur la chance (comme au vietnam lorsqu'ils bombardaient la jungle au napalm en espérant tuer quelques vilains communistes), eh non les gars c'est pas la bonne méthode !, d'autant que la violation d'un pays neutre...(ça non plus ils ne connaissent pas, ils n'ont jamais illégalement occupé l'Irak).
Du coup on frappe encore plus fort, car les gars de l'US Navy dans un sous-marin nucléaire, décident eux d'employer carrément l'arme atomique ( en se passant de l'ordre du président, normal il devait être occuppé avec une stagiaire), eh non !, encore raté !, pourtant il me semble que le seul animal qui puisse resister à une explosion nucléair c'est le cafard (pourquoi, je sais pas). mais là il ya un petit malin qui emet l'idée d'utiliser beaucoup plus de bombes !, là vous vous faites la même réflexion que pour le film "deep impact", a savoir que le remede risque d'etre pire que le mal.
Alors notre militaire avec ses acolytes décident de plonger pour blesser une de ses bestioles, tout en penssant qu'ils vont ainsi se dévorer entre eux, un héro le gars !, prêt à se sacrifier pour la bannière étoilé. et là voilà a nouveau nos Vénezuelien !, je ne sais pas ce qu'ils foutent là, mais bon passons.
Mais rassurez-vous mes bons amis, le film se terminera très bien, et le héro du film emballera dans un long baiser langoureux la scientifique survivante.
Pour résumé, je crois que l'on tient là un des pires nanars que je n'ai jamais vu, mais jouissif. ça joue mal, les effets spéciaux sont à chier. Et en plus le film nous dépeind des Américains interventionistes et donneur de leçon, eux les crises ils savent les gèrer (comme à la Nouvel-Orléan avec Katrina). Le réalisateur aurait-il reçu des pressions pour faire un film anti-vénezuelien, dont le président Chavez n'est pas favorable aux etatsuniens. Eh oui ! finit le temps d'ou il ya 40 ans l'amérique latine était la chasse gardée de l'Amérique.
publié le 31/03/2011 - 11:19
Mon avis
Quand aux piranhas dans l'histoire et bien ils sont génétiquement modifiés bien sûr ! Ils grossissent d'heure en heure pour atteindre la taille de baleines arrivé au 3/4 du film et viennent s'écraser sur les bâtiments aux bords des fleuves, attaqués des navires de guerre et un sous-marin... Il faut le voir pour le croire !
La photo a vomir et la façon de filmé est tel que si la caméra avait été accrochée sur le dos d'un chien. Niveau dialogues y a vraiment de quoi se fendre la gueule tellement c'est bidon ! Non mais là très sincèrement c'est tellement mauvais que ça en devient presque bon (s'que je viens de dire est un poil contradictoire, mais je me comprends). C'est pas un film que je conseillerai c'est clair et net, mais si vous n'êtes pas complètement fermés aux gros nanars bien con tenté l'expérience et revenez me remercier par la suite je vous attends (rires).
publié le 29/01/2011 - 12:45
Megacacapipiranhas
Attention voici le film au 8 oscars, donc James Cameron jalouse secrètement les effets spéciaux !
Dialogues à la con mais le meilleur reste les piranhas heurtant un bateau et la pouf de service s'écrie "On a heurté un dauphin ?" ... oui ma cocotte un dauphin, dans une rivière c'est courant !
Mais bon, en domaine nanard ça assure le spectacle, tellement de débilite à entendre et à voir que la sauce prend bien, on attend presque impatiemment quel connerie plus grosse que la précédente va arrivé et quel odieux effet spéciaux grand guignolesque va nous tombé sous les yeux.
De manière rationnel, 3/10 et domaine nanard 8/10
publié le 31/10/2010 - 21:25
Mega Piranha...?
publié le 25/10/2010 - 00:04
Méga bouze!!!
Friands de bons vieux nanars moi aussi je dirais quand même que là on frôle l'hérésie tellement ce film atteint un niveau de ridicule et de nullité affirmée!!!....c'est clair que ça fait sourire d'assister à ça..... il aura au moins le mérite d'avoir la meilleure note en partant du bas!!!!
publié le 27/09/2010 - 22:34
Mega Pire
publié le 21/09/2010 - 09:50
Abandonnez le navire !
Cette fois, se sont de bon vieux piranhas transgéniques qui seront la victime de la firme d’aliénés. On aura encore droit aux bons vieux poncifs du genre que les scénaristes se sont appropriés afin de les péricliter dans la vase grouillante de l’Amazone. Jugez plutôt par vous-mêmes : un haut fonctionnaire demande à un Navy seals de se rendre au Venezuela suite au décès de l’ambassadeur (jusque là rien de bien méchant). Il s’avère que sa mort n’est pas dû ni à des terroristes ou une quelconque explosion, non se serait trop merveilleux. En fait, il s’agit d’une bande de piranhas affamés et génétiquement modifié par une scientifique au cerveau rabougrie (Pourquoi donc s’amuser à triturer les gènes de ces bons vieux piranhas ?). Le problème est qu’ils ne cessent de grandir. Ainsi, on va se retrouver avec des piranhas de la taille d’un pachyderme qui continue à jalonner l’Amazone comme si de rien n’était.
A partir de ce moment, on nage dans le grand n’importe quoi le plus total. Les petits poissons vont avoir un comportement aussi incroyable qu’inimaginable. Vous vous souvenez du megalodon attaquant un Boeing 767 en plein vol ? Quelle rigolade ! Avec Mega piranha, on fait un nouveau bond dans l’histoire cinématographique avec le MPVNI – comprenez Mega piranha volant non-identifié – qui s’attaque à un hélicoptère (mal modélisé). Il faut le voir pour le croire et encore, ceci n’est qu’un petit aperçu de séquences toutes plus ridicules les unes que les autres. Enfin, la mise en scène se révèle vomitive. Faux-raccords, répétitions d’images de synthèses pour combler les vides, dialogues insipides, rien ne nous est épargné. C’est laid, idiot, absurde et à la fois tellement typique d’Asylum qu’il est difficile de leur en tenir rigueur.
En conclusion, Mega piranha se veut la méga-somme de ce que l’on peut faire de pire dans un film, quel qu’il soit. Inutile de ressasser tous les points négatifs, la liste ne serait jamais exhaustive ! Une production insignifiante et dangereuse pour vos neurones qui risquent de succomber, non pas à ces chers petits poissons carnassiers, mais à un fatras d’imbécillité grand guignolesque. Il faut reconnaître que l’asile d’aliénés s’est surpassé et ce, malgré son illustre réputation en matière de nanars.