Rage

Après un "Frissons" très sexuel et avant un "Chromosome 3" très colérique, le père David nous offre cet entre deux eaux...mêlant un peu des deux.

Un accident. Une femme opéré par un chirurgien esthétique avant-gardiste qui lui greffe une peau "neutre". Elle devient alors une vrai mutante qui enlace ses victimes avant de les empaler de son dard ! La belle s'en nourrie et part la même occasion les contamine d'une furieuse rage...

Encore un trip étrange de Cronenberg mais toujours aussi bien réalisé. Un très bon film à (re)découvrir !

Rage est je pense le film qui influança le cinema, au niveau du genre contamination, folie... Dès le début, l'histoire est prenante, comment faire pour sauver cette femme? Une nouvelle tehnique apparament... Et c'est la ou l'on voit ou vera que le film va donner de l'idée dans le futur. Le film bascule dans la folie, le tout dans un aspect donnant les frissons. La touche sensuel du film y est pour beaucoup, le charme de Marilyn Chambers risque de vous troublez . Derriere se charme se cache donc, la folie, le sang, la rage!!! Pas tres sanglant, mais tres bien realiser, les quelque scenes de d 'hemoglobine sont prenante. Puis on est asser sous le choc vu le progression troublante du film ainsi, que se son aspect noir et marquant .

Dans la lignée de Frissons, ce film expose un thème de contagion et de mutations génétiques sous une ambiance quasi-apocalyptique. Marilyn Chambers, actrice spécialisée dans le porno, se révèle des plus convaincante dans un rôle assez difficile. Un métrage intéressant, qui accuse aujourd'hui le poids des ans, et ce dans le fond comme dans la forme, mais qui distille encore un climat de morbidité palpable. Le meilleur de Cronenberg reste à venir.

Bon film d'horreur avec une histoire de greffe qui rend la personne completement folle de sang et contamine plusieurs personnes!!! Une sorte de nuit des morts-vivants!!!!

On est plus dans l'horreur que dans le thriller contrairement aux autres films de Cronenberg, les simptomes de l'épidemie du virus ainsi que la cause de la propagion ressemblant à s'y méprendre aux zombis. La jeune actrice qui tient le film entier sur ses épaules (ce qui était asser rare dans les 70's surtout dans ce genre hormis Sigourney Weaver), c'est un joli petit lot qui va devoir survivre en commetant crimes sur crimes. Mais là où les choses lui sont facilités, c'est à travers les hommes dépeints dans ce film, véritables bètes traquant la proie, elle ne pourra jamais se reposer cinq minutes pour faire le point, il y aura toujours un bélatre pour venir tenter sa chance, on n'en ressort pas grandis.

Comme il est de tradition dans les films de zombis, aucune explication ne viendra nous expliquer le pourquoi du comment mais j'en garde tout de même un bon souvenir, une vraie curiosité que tous fans du Canadien doit connaître.