Bruiser

Bon ce film n'est pas terrible, Peter Stormare est drole dans le role , ses repliques sont poilantes. Le film manque de gore, on aurait aimé le chien sur la scie. On a a faire face a un petit film, l'acteur principal est tres bof. En gros un mauvais film avec un scenario pas trop mal ,mais qui aurait pu etre mieux .

J'ai un peu de mal à comprendre toutes ces critiques assassines au sujet de ce film, bien évidemment certains fans de la saga des morts vivants (dont je fais partie)ont du être un peu déroutés d'assister à un métrage qui met aussi longtemps à se mettre en place. Mais personnellement je me suis identifié sans problème au personnage d' Henry Creedlow et j'ai ressenti beaucoup d'empathie pour lui. L'idée du type qui à force de se laisser marcher dessus en perd son identité et par la même son visage est très originale, et s'inscrit pleinement dans les thématiques évoquées par le Sieur Romero tout au long de sa filmographie. Bien sûr ce film n'est pas exempt de défauts, la réalisation est parfois plate, et les meurtres sont beaucoup plus raffinés que dans les morts vivants (mais est - ce bien un défaut étant donné l'histoire, je l'aurais mal vu arracher les bras de sa femme et lui dévorer la panse!). Bref, ce n'est pas un film majeur dans la biographie de son auteur, bien entendu, et ce n'est pas un super film, mais c'est loin d'être une bouse. Romero fait tout de même du zombie depuis quarante ans et il essaie - à raison - de faire autre chose, je ne pense pas que ce soit une raison de trouver ce film mauvais pour autant, où en tout cas de le descendre en flèche comme certains.... Moi en tout cas je tiens à l'encourager à nous faire du zombie, mais aussi de nous sortir de temps à autre de petits essais de sortie des sentiers battus, comme Bruiser.

Après le très bon La Part des Ténèbres, Romero poursuit ses explorations sur le dédoublement de personnalité, inscrivant une fois encore ce dernier dans un contexte fictionnel. Le traitement léger de ce thriller de série B et ses quelques problèmes de rythme qui surviennent en seconde partie ne justifient pas des critiques aussi assassines. C'est oublier trop vite que l'auteur de La Nuit des Morts-Vivants et Zombie sait s'attaquer à d'autres registres que celui des macchabées sanglants et pour l'occasion nous conter une intéressante histoire fantastico-psychologique, mise en scène et interprétée avec une élégante sobriété. Pas un chef-d'œuvre, mais un bon petit film fortement sous-estimé.

Quoi !!!! mais vous êtes cinglés de mettre des 0/10 , 1/10 ou 3/10, ce film est très bon et merite les honneurs . georges romero signe un excelent film psychologique comme quoi un pauvre type peut devenir un fou furieux (un peu comme "old boy" de park chan wook ) et il a bien raison ! les meurtres sont pas du tout gores mais très raffinés . voilà c'est un film très efficace qui montre que nous tous ,au plus profond de nous , nous avons notre propre masque de vengeance .

Quand Romero décide de délaisser les morts vivants pour une commande, ça donne Bruiser. L'histoire d'une lopette qui ne parvient pas à gérer sa vie et attends le seuil critique de l'intolérance pour se vanger avec un masque, caché derrière ce morceau de plastique, il trouve les castagnettes pour s'imposer et régler de manière définitive ces différents problèmes avec son entourage. Thème minimaliste, Bruiser est un vulgaire polar narrant la misérable existence d'un refoulé comme il en existe des millions, un film qui mériterais de passer en seconde partie sur TF1 tant le manque d'ambition et de complexité est déplorable. Je mets 1 pour les dialogues.

J'y crois tjs pas!!! Tout est mauvais sauf la pouliche qui se fait balancée par la fenetre,mais ca fait pas un film.

C'est avec ce film que l'on voit à quel point Romero a perdu la maitrise qu'il possédait auparavant (Zombie,Night Of The Living Dead...).En effet,le casting n'est ici pas super et le scénario est assez moyen.Cependant j'ai pas trop mal aimé l'ambiance du film.Résultat,on sent que Romero s'en va mais le scénario et l'ambiance du film peuvent cependant aidé à réhaussé le film.