Pontypool
Critiques spectateurs
Réalisateur: Bruce McDonald Avec Stephen McHattie, Lisa Houle, Georgina Reilly, Hrant Alianak, Rick RobertsInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 16/12/2015 - 15:22
Naze
Très mauvais film:
- les dialogues radio sur la première partie du film sont très lourds, voir un studio pendant 20 minutes c'est d'un c******
- l'explication est impossible scientifiquement, c'est du n'importe quoi
Encore un film avec peu de mouvement, peu d'acteurs.
Coupé avant la fin.
publié le 23/06/2014 - 03:00
Pontypool
Avant de donner mon avis, ce DVD je l'ai acheté sous le nom "Talking Dead, la mort en direct" mais Pontypool est bien le nom inscrit sur le Disque, ça me rappelle le film "l'Abattoir" mais la comparaison s'arrête la.
Ce film est bourré de bonnes idées, d'une réalisation soigné et d'acteurs convaincants qui savent nous maintenir en éveil dans une intrigue vraiment très énigmatique, on ne capte pas tout des le début mais tout doucement s'installe une atmosphère d'angoisse du plus bel effet, c'est simple et efficace, malheureusement la fin du film est bien trop confuse et nous laisse dans le flou, que ce soit la vrai fin du film ou la petite séquence après le générique de fin. à voir quand même... 6/10.
publié le 15/11/2012 - 14:37
Méga cool !
publié le 07/01/2012 - 14:18
Des mots qui tuent?????
publié le 25/04/2011 - 21:16
Mon av... chut... chut
Grant Mazzy anime, avec une verve inappropriée, une émission matinale de radio locale avec l’aide de sa productrice et d’une jeune standardiste. Entre deux rubriques, ils reçoivent des infos d’un reporter ou d’auditeurs sur des événements en direct. Ce matin là, ils évoquent des comportements étranges de la population massivement regroupée provoquant rapidement des incidents…
Ce film est d’une inventivité rarissime en surfant sur des recettes connus mais jamais exploitées de la sorte. Le concept autour de l’émission de radio et sa description orale des événements rend le sujet captivant et parfaitement angoissant. Là où beaucoup de métrages nous font ouvrir grand les yeux, celui-ci nous fait tendre l’oreille avec stress et anxiété. Malgré l’exercice difficile du huit clos oppressant, l’interprétation est excellente et aurait sans doute mérité d’exploiter plus en profondeur des personnages pourtant consistants.
Mon principal regret est la qualité médiocre de la suite des événements. La compréhension de la source de contamination peut paraitre ridicule, puis la découverte du “sérum“ dépasse allégrement la limite de l’absurde non intentionnel. Dommageable, mais pas irrémédiable si la forme est des révélations est légèrement ratée, il faut signaler l’originalité de leurs contenus. Le fond de l’histoire, une fois dénouée, est assez cocasse et justifie grandement d’y consacrer long métrage.
Avec Frissons, Cronenberg nous avait déjà proposé une alternative lubrique aux zombies usuels ou aux fréquents contaminés. Le canadien McDonald nous livre (sans que ça se frite) une astucieuse création qui atteint la plupart de ses objectifs dans la gestion de l’angoisse sur un terrain jusqu’ici inexploité.
publié le 14/02/2011 - 13:27
Original et bon!
publié le 06/02/2011 - 06:18
Mon avis
publié le 10/12/2010 - 17:49
Faites attention à ce que vous dites!!!
publié le 11/11/2010 - 12:46
Retrouver Honey le chat le chat le chat
Dès les premières secondes, on saura que l’on est sur le point d’assister à une histoire atypique, qui sort des chantiers battus. Un film qui prend à contre-pied toutes nos attentes, quelle qu’elle soit. L’histoire revisite, à sa manière, le mythe du zombie. Un thème où il est très difficile de se faire nom et encore plus d’innover. En effet, combien de métrages prennent un groupe de survivants tentant de slalomer entre nos chers cadavres avariés ? On a droit à quelques productions cultes, mais surtout à pléthore de série B, voire Z, qui se contente simplement de plagier les maîtres du genre. Même si Pontypool ne l’avouera qu’à demi-mot (sans faire de mauvais jeu de mots, comprendrons ce qui auront vu le film), il ne fait pas étalage de ses influences et ne cite à aucun moment le terme de zombie.
Il est bien au-dessus de cela car, avant tout, Pontypool est un film d’ambiance. Un huis clos âpre où se dégage une atmosphère chargée. Les témoignages à la radio intriguent. On se demande ce qu’il peut bien se passer à l’extérieur, sans toutefois se rendre compte de l’ampleur de la catastrophe. De fait, on ne se trouve pas seulement spectateur du film, mais auditeur de l’émission de radio de Mazzy. Une idée immersive au possible qui nous met dans les bonnes conditions afin d’appréhender la suite des évènements. Plus l’histoire avance, plus le mystère s’épaissit. L’étrangeté s’invite et les raisons de la contamination étonnent, interpellent. C’est tellement… inattendu et si bien trouvé que l’on adhère totalement au concept.
Ainsi, la deuxième partie – clairement accès dans le survival – prend un tournant déroutant. On s’amuse parfois de la situation, mais l’on ressent ce besoin, presque vital, d’exprimer leurs émotions. Il est difficile de ne pas trop en révéler, aussi je dirais que cette seconde partie apporte une touche psychologique à son récit, peut-être même métaphysique si l’on pousse l’analyse de ce qu’elle implique à son paroxysme.
Bref, Pontypool est une œuvre atypique, folle, originale. Le genre de productions qui surprend et parvient à réjouir le plus blasés des cinéphiles. Nanti d’une réalisation maîtrisée où la paranoïa monte crescendo, d’un panel de personnages très attachants et d’un concept tout bonnement génial, Pontypool est clairement le film à découvrir en cette fin d’année. Assurément l’un des moments forts de cette année 2010 pour l’hexagone.
publié le 09/11/2010 - 12:05
Wouaaahhh
Mais quand "l'évènement" survient, le film devient d'une intensité dont ça fait longtemps que je n'avais pas été spectateur. Tout se passe en direct de la radio et les personnages se retrouvent rapidement dans un huit clos horrifique. Le reporter décrit avec attrocité ce qu'il se passe à l'extérieur et comment le monde est entrain de devenir fou, le spectateur ne peut qu'immaginer et son effroi est le même que les vrais personnages du film. Spectateur visuel, nous devenons un spectateur audio qui vit les évènements aussi intensément que de vrais auditeurs.
Bruce McDonald nous livre un film d'une tension énorme et palpable. Le fait que le virus se propage dans le language fait que les personnages commenencent à balbutier n'importe quoi, c'est hyper flippant et nous ne faisons plus la différence entre le délir des personnages face à cette situation et le virus en tant que tel.
Notre perception du film est très particulière car les mots prennent le dessus sur les images...
publié le 10/05/2010 - 11:31
6/9 Canadien