Resident Evil : Extinction

La véritable apocalypse est plus dans ce troisième épisode que dans le précédent...tout est ravagé, le virus est partout !

L'intro et le préambule sont vraiment bons ! Puis rapidement on découvre de nouvelles références aux jeux ; Claire Redfield, Albert Wesker, corbeaux, Tyran...

Mieux maîtrisé dans sa réalisation, cet opus dispose en plus d'une excellente bande sonore. Toujours de l'action mais une meilleurs ambiance je trouve. Le fin donne par ailleurs vraiment envie de voir la suite...

Cool et fun, sans atteindre des sommets, comme ses grands frères... A voir !

Après un second opus complètement raté, Alice est de retour pour de nouvelles aventures mouvementées, dans un univers post-apocalyptique qui n'est pas sans rappeler Mad Max 2... Exit Racoon City et ses buildings hantés, place au désert du Nevada et à ses dunes de sable. Un environnement idéal pour ce genre de film, et qui se révèle plutôt bien exploité ici.

Alice erre comme une âme en peine à travers une Amérique dévastée, jusqu'à tomber sur un groupe d'une trentaine de survivants, dont quelques-uns de ses anciens potes (Claire, Carlos...) Leur convoi est plutôt cool, même si l'on sait déjà que la très grande majorité d'entre-eux n'est là que pour servir d'apéritif aux zombies. Mais bon, j'aime bien cette idée de convoi roulant à travers des paysages de désolation. Evidemment, pas le temps de s'attarder sur tel ou tel personnage, ou d'en savoir plus sur leurs méthodes de survie dans un tel monde en décomposition. On n'est pas dans Lost ou dans The Walking Dead, mais juste dans le troisième épisode d'une franchise destinée à un public de boutonneux peu exigeants et pas forcément fins cinéphiles. Bref, la forme prime sur le fond !

Personnages stéréotypés, dialogues très limités (merci pour ta participation Carlos) et mise en scène bancale. L'ambiance aurait pu être très réussie si la réalisation ne s'était pas mise en tête de jouer au hochet avec la caméra lors des scènes d'action, et surtout si le choix de la bande-son avait été plus judicieux... Pour résumer, et à l'image de son prédécesseur, ça manque d'une touche de personnalité. Enfin, le film bascule trop souvent dans la surenchère, tant avec Alice et ses pouvoirs psycho-machin-chose, qu'avec le professeur foldingue bossant pour Umbrella Corporation. Un manichéisme outrancier qui ne rend pas service au film, avec une sorte de "boss final" peu convaincant.

Mais bon, globalement ce troisième opus se révèle correct et même assez divertissant, au point de redonner un peu de crédibilité à cette franchise au goût commercial trop prononcé. Beaucoup de maladresses, mais sympathique quand même.

Alors que le monde est contaminé par le Virus-T, Alice poursuit son périple seule tandis que la puissante multinationale Umbrella poursuit ses expériences sur les morts-vivants. Rapidement, Alice va rejoindre un groupe de survivants dont certains d’entre eux sont de vieilles connaissances. Troisième volet de la saga Resident evil, Extinction coupe court à toutes les spéculations quant à son cadre. D'emblée, on découvre un monde post-apocalyptique où les survivants n’ont pour seule compagnie que le désespoir. Les contrées désertiques, omniprésentes dans le film, font immédiatement penser à Mad Max. Une référence assumée qui permet au film de s’affranchir de ses prédécesseurs. Pour rappel, le premier était un huis clos aux teintes froides ; le second, un survival plus classique dans un milieu urbain (la nuit de rigueur).

Grâce à ce cadre, nous partons avec un bon a priori pour la suite des festivités. Après un deuxième volet des plus discutables sur le plan scénaristique, Extinction tend à s’en éloigner en situant l’action cinq années après la contamination. Ainsi, les voyages itinérants sont donc de rigueur dans un monde désolé. À noter, l’absence de Jill Valentine dans cet épisode pour on ne sait trop quelle raison. À la place, on trouve Claire Redfield, sœur de Chris, en tant que responsable d’un convoi de survivants. L’idée est louable, mais l’on aurait aimé plus d’explications sur l’entre-deux où nos personnages se sont séparés. On remarquera également que le docteur Isaacs occupe enfin une place prépondérante dans l’intrigue et l’apparition d’Albert Wesker qui, il faut le reconnaître, manque cruellement de charisme par rapport au personnage du jeu vidéo.

Tout comme le premier volet en son temps, le scénario prend des largesses par rapport à l’univers vidéoludique. La mythologie des adaptations cinématographiques étant en place, l’histoire prend ses aises avec des protagonistes plus soutenus (Alice et Olivera gagnent en consistance) tandis que d’autres peinent à apporter de l’épaisseur à leur personnage. Outre un Jason O’Mara des plus anecdotiques en Wesker, Ali Larter ne fait office que de remplaçante sans relief de Sienna Guillory. Alors que son personnage (Claire Redfield) possède des traits de caractères distincts et intéressants. Tout comme son histoire personnelle qui passe littéralement à la trappe. Ceux qui ne sont pas familiers du jeu vidéo ne peuvent même pas deviner qu’elle a un frère.

Bref, Resident evil Extinction est un volet qui sort des sentiers battus. De par un virage à 180 degrés pour le cadre et une intrigue résolument plus sombre, Russel Mulcahy parvient à instaurer une atmosphère post-apocalyptique du plus bel effet. Davantage structuré sur le plan narratif que le précédent opus, Extinction se veut moins brouillon qu’Apocalypse. Toutefois, on ne peut s’empêcher de gamberger sur quelques détails (la caractérisation des personnages principalement) assez gênants pour le fin connaisseur. C’est à cause de cela qu’Extinction ne parvient pas à être le meilleur épisode de la saga. Dans le cas contraire, nous aurions eu droit à un troisième volet des plus jouissifs. Il demeure tout de même une belle transposition d’un monde envahi par nos chers amis zombies.

Une bonne séquelle, certes parfois du grand n'importe quoi, mais faut avouer que c'est le plus jouissif de la saga!! Les zombies sont plus méchant que jamais et les corbeaux zombies, quelle idée!! Une séquelle comme celle-là j'en redemande.

Bon il est clair qu'avec ce "résident evil: Extinction", on s'éloigne de plus en plus de l'univers crée par Capcom dans les jeux vidéo, mais faut avouer que ce film est un défouloir zombièsque remplis d'action et devant lequel on ne s'ennuie pas un instant. Les acteurs sont bon et la belle Milla toujours fidèle à elle même. Les décors sont vraiment très beau et la photographie ainsi que la mise en scène sont de première ordre. Le seul véritable soucis sur ce film c'est le scénario, qui devient de plus en plus mince et incohérent avec les opus précédent, comme l'a déjà signaler un internaute précédent, il ne c'est seulement écouler 5 ans et la terre n'est que désolation et désert, Las Vegas totalement recouvert par le sable...c'est peu crédible tout de même. Et le final aussi qui est vraiment limite toute une armée d'Alice... ça devient un peu du n'importe quoi et j'ai un peu peur quand au devenir de la série, du moins pour le quatrième opus à venir, enfin on verra bien. Sinon, hormis la faiblesse du scénario ce film est vraiment sympathique et très distrayant, c'est loin d'être un chef d'œuvre mais ce n'est pas du tout une bouse non plus.

Je pense qu'avec ce film, il faut-être tolérant. Il repend les éléments du précédent épisode, tout en nous faisant gober le fait que la terre est devenue un véritable désert en 5 ans !, les forêts, les rivières ont disparues en quelques années....hum à mon avis le processus devrait prendre quelque milliers d'années.On à l'impression que tout cela ne sert qu'a justifier que certains survivants parcourent le désert dans de gigantesques camions, à la recherche d'autres survivants, un peu comme dans Mad max, quoi !. Et pendant ce temps là les méchants dirigeants de la World Compagny se sont réfugiés sous terre, à la recherche d'un sérum pour "changer la face du monde", à mon avis à ce stade là, ils en ont fait assez comme ça, et feraient mieux de se loger une balle dans la tête.mais curieusement outre la loufoquerie sous-jacente, le film n'est pas insupportable !, disons que ça joue correctement c'est déjà ça. Il nous faut encore nous armer d'indulgence pour accepter la bébête finale, et cette histoire de clone. Je pense que ça devrait convenir au fans du genre.

Le troisième volet serait-il enfin réussi ? D'un coté oui et d'un autre malheureusement non ! Non car ceci ne ressemble de nouveau à aucun des jeux RE ... toutefois ma critique négative s'arrête là ! Le schéma narratif bis choisi pour ce film réussit plus ou moins bien (même si on regrettera la finale quelque peu éjectée !) ... les acteurs s'en sortent plus ou moins bien (même si je trouve inutile d'avoir supprimé quelques rôles secondaires dont le très intéressant Chris Egan) ... les effets spéciaux sont assez bons et mêmes effrayants par moments ... le tout ne manque pas de vie (comique pour un film de zombies !) ... d'action ... de réflexion ... c'est bon, voire très bon par moments ! Dommage que ce soit le dernier opus qui bénéficie de cette transformation bienvenue !

Je n'étais pas d'accord avec les critiques qui disaient que le 1er était mauvais, moi je l'ai aimé. Ni avec celles qui disaient que le 2nd était bien meilleur, moi il m'a bien déçu, notamment à cause d'un montage à la truelle. Pour ce 3e opus, je n'ai même pas lu les critiques... car j'emmerde les critiques!!! A part poser leur gros cul inculte, condescendant et frustré (au fait, vous faites quoi pour le 7e art, vous?) dans un fauteuil de ciné, il ne sont pas bon à grand chose finalement... Ce film est vraiment très sympa, grâce à un scénario pas compliqué (mouarf!), mais efficace, et surtout à des scènes d'action vraiment mémorables! Cette chère Milla Jovovich est vraiment une femme qu'il ne faut pas emmerder, et pour ceux qui rêvent d'elle, le plan final aura de quoi les combler. Les mecs auront du boulot pour la/les combler, elle(s)!!! Dommage que le film soit si court, et que la fin si exitante et prometteuse, s'en remette aux aléas du succès pour nous proposer la super baston suggérée, au lieu de nous l'offrir tout de suite en passant d'un film de 84 mn, à un film de 104 mn...

Fan de la série des jeux vidéos et des adaptations en livres, je le suis aussi des films... Clair que certains crient au scandale parce que les adaptations cinématographiques n'ont rien à voir avec les jeux et cet opus n'arrange pas leur colère. Mais franchement, j'ai passé un superbe moment devant cet épisode que j'attendais avec impatience. Gros film de zombies bien gore, le sang gicle dans tous les sens et les effets spéciaux sont vraiment spectaculaires même si j'en ai trouvés quelques-uns un peu ratés. Le personnage d'Alice est vraiment bien développé par rapport à "Nemesis" et la continuation de l'histoire est claire et sans détours. Seul bémol, la disparition de personnages importants dans le numéro 2 et dont on n'entend même plus parler dans celui-ci. Le décalage temporaire entre le 2 et le 3 m'a aussi un peu gêné car j'aurai préféré que moins de temps se soit écoulé au niveau du récit. Mais bon, je n'ai vraiment pas boudé mon plaisir devant ce film et franchement ne pas s'amuser à comparer jeux et films permet de vraiment profiter du spectacle... Et d'en prendre plein la vue... D'autant plus que la fin est vraiment grandiose !

ENFIN!!! Paul Anderson(au scénar) a enfin compris ce qu'est Resident Evil,c'est à dire : un gros survival dans lequel il faut sauver ses fesses en explosant un max de monstres cannibales dans un déluge de sang! Après un premier film correct(qui manquait cruellement de rythme et de gore) qui expliquait la génèse du jeu et un second film qui se contentait de reproduire plus ou moins le même spectacle(et aussi avec des mouvements de camera qui me donnaient envie de gerber!), le dernier opus de la trilogie(ouais,c'est ce qu'on dit toujours!jusqu'à ce que les popoches des studios soient bien remplies...) m'a vraiment ravi... Je m'explique,tout d'abords j'ai l'impression que la belle Milla Jovovitch est née des manipulations génétiques d'Umbrella parce qu'elle est tellement douée pour mettre la pâtée aux créatures de l'enfer qu'elle ferait mieux de s'abonner au films de genre au lieu de ruiner sa carrière en jouant dans des bouses Luc Besson's Style!!! Et puis il y a le gore,cette fois ci on est servi avec des gorges tranchées,des coups de shotgun qui explosent des têtes ou encore des scientifiques mutilés par un tyrant du plus bel effet(remballe ton Nemesis Alexander Witt!!) Mention spéciale également à l'ambiance fin du monde,dans le genre Mad Max,je me suis régalé! Et merde aux pinailleurs qui vont reprocher au film de Mulcahy(tiens,il me semblait mort celui la...et bien non,la preuve! pffff,encore un coup d'Umbrella!) l'absence de continuité par rapport à la (superbe) saga videoludique de Capcom. Ces gens la seront ceux qui sont passé à côté d'une superbe série B fun et jouissive à cause de leur vision étriquée de fans...