Suspiria

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Alarc'h
Newbie - 1 critiques
publié le 29/12/2022 - 15:16

Vive Goblin

C'est loin d'être le meilleur film d'Argento. Bien en dessous de profondo rosso ou l'oiseau à plumage de cristal ou Inferno.

Mais il m'a laissé un souvenir : à sa sortie en 1978 une entrée de cinéma sur les Champs Elysées à Paris coûtait 6,50 francs et l'entrée pour Suspiria était à 9,50 francs ! Et ensuite les prix n'ont fait qu'augmenter jusqu'à ce jour. Augmentation pas toujours accompagnée d'une amélioration proportionnelle des films.

De ce film je retiens essentiellement la musique de Gobelin...

Portrait de Blockhead Blockhead
Graine de psychopathe - 121 critiques
publié le 17/04/2020 - 22:36

Pour son premier volet de la

Pour son premier volet de la trilogie des Trois Mères, Dario Argento joue avec maestria sur les couleurs, les décors et la musique pour construire un monument d'horreur baroque dont les scènes sanglantes pourront choquer les âmes les plus sensibles.

PowerCorine
Graine de psychopathe - 94 critiques
publié le 25/10/2013 - 12:23
10
 

Un classique!

Quel classique que ce film ! Le style de Dario Argento est incontestablement unique en son genre ! Belle narration, les décors sont époustouflants et que dire de la musique, qui est ténébreuse et freakante à souhait ! Les chuchotements, les bruits et l'ambiance nous mets en transe, littéralement! C'est une horreur, un cauchemar et un imaginaire vraiment fascinant! Bravo !
Portrait de VonRolling VonRolling
America's Most Wanted - 368 critiques
publié le 01/08/2013 - 08:41
10
 

200ème : expérience cinématographique

Suspiria fait partie des tout premiers films d’horreur que j’ai pu voir. A l’époque, M6 avait diffusé une version censurée dans les Jeudis de l’Angoisse. Aujourd’hui, je possède ce chef d’œuvre dans plusieurs éditions. Ma préférée étant celle d’Anchor Bay (n° 11.072 de la série limitée à 60.000 exemplaires). Elle contient une foule de bonus, dont la BO et un reportage de 52 minutes réalisé pour le 25ème anniversaire.

Pour moi, Suspiria est bien plus qu’un film. C’est avant tout une expérience cinématographique. J’entends par là que chaque visionnage est un nouveau plongeon dans le cauchemar psychédélique de Suzie Bannion. Je vibre beaucoup plus à travers les déchainements visuels et sonores que pour le sens de l’histoire ou le jeu des acteurs qui me paraissent ici secondaire. Je considère qu’il s’agit d’un conte aussi poétique qu’horrifique qui a la faculté de m’ensorceler jusqu’aux dernières flammes.

J’irai même jusqu’à dire que le film semble avoir une âme. Et bien évidemment, l’occulte l’enveloppant majestueusement, il s’y dégage quelque chose de malsain et de diabolique. Heureusement, cette magie ne franchira pas la barrière de l’écran.

Dario Argento disait, dans une interview accordée pour l’édition de TF1, que ce film était un peu « un délire. » Je le rejoins complètement. Selon moi, si le cauchemar de Suzie est devenu un classique, c’est parce que l’équipe du film a laissé une part d’inconscience les guider. Certes, le professionnalisme est palpable. Mais l’expérimental l’est encore plus. Résultat : Suspiria a des allures d’œuvre d’art moderne. Je le vois à chaque fois comme un tableau animé auquel il faut prendre garde. Je crains le syndrome de Stendhal…

L’avantage de ce film, c’est qu’il ne vieillit pas. Étrangement inspiré d’œuvres enfantines comme Alice in Wonderland ou Snow White and the Seven Dwarfs, il est même devenu une source d’inspiration profonde. Je pense à Aenigma ou au plus récent Masks, pour ne citer qu’eux. Ses jeux de lumières, principalement rouges et bleues, ont par exemple étés plusieurs fois repris (avec plus ou moins de sens), tout comme le concept de l’école de filles.

Au-delà de la puissance des couleurs et du déchainement musical de Goblin, je trouve que le charme de Suspiria passe également par la fragilité des élèves et par leurs peurs. En effet, avec du recul, le film traite du passage à l’âge adulte de façon métaphorique. Et il se mêle subtilement au danger qui se tapit dans chaque mur et dans chaque objet. Je suis également impressionné par la recherche picturale permanente dans laquelle apparaît Escher et l’emprunte d’Argento (les traversées de « miroirs » par exemple). Si je devais ne citer qu’une scène, ce serait celle qui est filmée au travers d'une ampoule. Elle me rappelle toujours The Wizard of Oz.

Ces quelques lignes ne sont donc pas une critique, mais une déclaration d’amour à l’un des chefs d’œuvres du cinéma d’horreur.

Portrait de Warhammer Warhammer
I am Legend - 1058 critiques
publié le 18/12/2012 - 13:41
10
 

Attention sorciére pas contente

SUSPIRIA est un superbe film à mi-chemin entre l'épouvante pur et l'horreur. La mise en scéne d'Argento est magnifique, rien que les décors de cette fameuse école de danse vaut le coup d'oeil, l'ambiance ténébreuse à souhait avec tous ces chuchotements ainsi qu'une musique des Goblin qui renforce parfaitement une atmosphére envoûtante. Les meurtres bien que peu nombreux sont brillament chorégraphiés et sont suffisament violents pour marquer les esprits, les conaisseurs d'Argento auront tout de suite reconnus son style. Les détracteurs vont dire que l'intrigue souffre par moment d'une certaine longueur mais moi je trouve que ce rythme lancinant fait aussi sa force. Rien ne vaut une bonne lenteur pour provoquer l'effroi,certes quand on le voit pour la 10e fois la peur n'est plus au rendez-vous,mais la premiére fois il fait son petit effet avec en point d'orgue une scéne finale bien cauchemardesque. Un film remarquable en bien des points que tous amateurs se doivent de posséder.
Portrait de Violet Fluid Violet Fluid
Copycat Killer - 19 critiques
publié le 18/08/2012 - 00:14
8
 

Mon avis

N'étant pas fan d'Argento car trop sur la surenchère de la branlette artistique.... Je trouve...... et ce sur une échelle de 1 -> 10 stagne sur le 1......

Puis n'étant pas fan parce que, disons le 'Direct 2 Comment' plus nanar que ça dans le cinéma contemporain du genre de l'ancien continent..... Faut se retenir !!!!! Argento est le best pour ce genre de truc ...... heuuu gianclo, giamo, vagiano, viagra...... Mmmmhhh quel est le terme exact du genre. BREF........ Suspiria j'ai aimé ! La dramaturge des acteurs à la corbeille, c'est déjà ça de moins à argumenter...... Scénar' je ne suis pas en mode Version que seul un post-it et crayon suffisent en attendant que le "ding" du four à micro-onde surgit pour dire la bouffe version mutation, car vu les saloperies que l'agro nous fait ingurgiter (nous pauvre conso').... Nous atteignerons jamais les 70 ans, ça pour sur) est assez chaude..... Non plus sérieusement. J'ai adoré mais vraiment adoré le film. Mutation entre le fantôme de l'opéra et je sais plus quoi d'autre(s) mais la constitutions des studios donc déco et jeux de lumières sont vraiment excellente. Je ne sais pas, mais cette façon de développer la déco et l'ambiance qui en dégage avec si peu de moyen à la base est de loin être une défaillance ....... Ensuite la zic du groupe italien qui accompagna la majorité (ou totalité) de la filmographie de Dario dont le nom m'échappe qui n'est pas en rapport avec un reptile ? (Pas Reptile ou Reptilian des Nine Inch Nails) ...... Rajoute un genre de Post-Punk Kitsch à certain moment du film..... et j'adore ça vraiment. En bref j'ai aimé ce long métrage du noyade (au conditionnel, lancé le bouée de sauvetage, mais pas obligatoire) pittoresque qu'est le cinéaste Dario.

J'aime beaucoup la culture Underground (batcave, le cinéma de minuit, no-new york) tant musicale que cinéma et Suspiria en fait partie......

Et suspiria se laisse fondre comme l'album l'album de The Soft Moon..... Font bien ensemble.

8/10

Portrait de Jojo-reactor Jojo-reactor
Graine de psychopathe - 186 critiques
publié le 02/04/2012 - 23:02
10
 

Un vrai chef-d'½uvre!

Dès le début, on est directement plongé dans l'ambiance, les décors et les effets spéciaux excellents! Des acteurs d'exceptions, une réalisation des plus soigné, et une bande son magistrale rendent ce film incontournable. Rien à dire d'autre, c'est un pure chef-d'½uvre du cinéma!
Portrait de Seblechien Seblechien
America's Most Wanted - 271 critiques
publié le 01/02/2012 - 21:51
10
 

Mr Argento S.V.P

Un bon gros classique qui fait l'unanimité chez les passionnés du genre. En dehors de ses effets spéciaux vieillissants, Suspiria restera dans les anales cinématographique pendant encore quelques années.

Tout d'abord grâce a son scénario excellent pour l'époque, une intrigue poignante tout au long du film ainsi qu' un suspense omniprésent.

Argento se démarque aussi par son jeu de caméra, qui n' a rien a envier a ses comparses de ces dernières années. Un jeu de couleur visuellement parfait avec une prédominance rouge, auquel le réalisateur sait rester fidèle. Notons aussi un décor hors du commun, toujours pour l' époque bien entendu. Avec un petit coté sixteen.

Je vous parle même pas de sa bande son tout simplement époustouflante, signé Goblin s'il vous plait! Encore une référence du genre.

Un jeux d' acteurs honnête, a défaut d' être parfait. Mais a mon avis c' est plutôt au niveau du doublage que se trouve ses quelques lacunes.

Bref, pas grand chose à jeter dans ce Suspiria.

Portrait de LUX LUX
Newbie - 4 critiques
publié le 25/04/2011 - 20:21
10
 

Lah lah lah lah lah lah lah...

Ce film mérite d'être vu rien que pour la bande son ! Un classique.
Hippo khondrie
Copycat Killer - 16 critiques
publié le 29/12/2010 - 11:50
8
 

Oui, mais enfin...

Une américaine intègre une prestigieuse école de danse suisse où il se passe d'étranges événements. Le pitch de départ est comparable à bien des oeuvres tournées depuis par des milliers de tâcherons. Argento a pour lui une démesure esthétique plutôt chiadée, et sympathique, et possède ce don précieux de savoir imprimer une histoire sur la pellicule. Ici, comme dans beaucoup de ses films, il y a à boire et à manger. Une histoire de sorcière vieille de 140 ans dont on ne sait finalement pas grand, mais une chute expédiée en l'espace d'un battement de cils. Des interprètes très clairement desservis par une post-synchronisation un rien je-m'en-foutisme (c'est le problème des italiens, ce procédé, et cela ne date pas d'hier : Rossellini et De Sica, pour ne citer qu'eux, pataugeaient déjà dans ce décalage entre le mouvements des lèvres et le son produit), mais une musique des Goblins particulièrement efficace (une première en ce qui me concerne, tant je déteste ce que groupe a produit). Bref, rien de fameux, mais visionner Suspiria reste un bon moment. Maintenant, si l'on s'amuse à le comparer à l'oiseau au plumage de cristal, on est tout de même très loin du compte.

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