Desperate Living

Pour Desperate Living, John s'est déchiré pour le scénario, tout commence quand Peggy, jeune bourgeoise défoncé fraichement sorti d'asile psychiatrique décide de tué "accidentellement" son mari avec l'aide de Grizelda, sa femme de menage obése. alors qu'il quitte la scène de crime, les deux femmes se font arretter par la police, l'agent pervers collectionneur de petite culotte leur propose pour éviter la prison d'aller vivre à Mortville, le repére de tout les reclus de la société et de tout les assassins et criminels de tout poils qui y purge leurs peine en semi liberté, arrivé à Mortville, les deux complice sont acceuillis par un couple de lesbienne... la ville est tenu d'une main de fer par la reine Carlotta (qui se fait livré des hommes régulierement) et par sa fille la princesse coo-coo, battu depuis l'enfance et amoureuse de l'éboueur nudiste... comme on peu le constaté, l'histoire est quand même un peu moins débille que pour Pink Flamingos ... plus réaliste en tout cas .. hum .

Coté personnage, à part la grosse Divine retenu sur une pièce de théatre et David Lochary mort d'une overdose quelques semaines avant le début du tournage, tout les acteurs stars de Waters sont présent, Edith massey en reine Carlotta toujours aussi barje et gueularde, Mink stole toujours aussi salope et Mary Vivian Pearce la cruche de service !

Susan Lowe, nouvelle arrivé incarne son role de gouine dépravé à merveille et Jean Hill l'enorme femme de menage nous prouve quelle aime le sexe avec des maigres .

Je suis assez fan de ce film, j'aime ce genre d'humour et d'ambiance malsaine, de mon avis un poil moins bon et marrant que Pink flamingos, desperate living n'en reste pas moins une perle du cinema Trash ! c'est dégeu, dérangeant, crade, écoeurant, rare . je ne m'en lasse pas . dans le fond, c'est nul mais c'est efficasse !