Shark in Venice
Critiques spectateurs
Réalisateur: Danny Lerner Avec Giacomo Gonnella, Stephen Baldwin, Vanessa Johansson, Hilda van der Meulen, Bashar RahalInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 04/08/2012 - 13:39
Requin a Venice
publié le 02/02/2011 - 10:05
Nanar in Venice
D’emblée, on sent la paresse d’un réalisateur peu scrupuleux sur le travail rendu, parler de conscience professionnelle serait un affront aux cinéastes consciencieux. Les séquences s’enchaînent avec une rare indifférence sans que rien ne soit fait pour retenir l’attention du spectateur. C’est bien simple, Danny Lerner semble aussi détaché de son « histoire » qu’un squale affamé d’algues pourrissantes. Il n’en a que faire et cela se voit à l’écran. Un constat d’autant plus malheureux que le charme et la singularité de Venise ne soient jamais mis en valeur. Deux ou trois pauvres monuments rapidement expédiés, ainsi que des canaux bigrement déserts sont le lot de cette horreur (au sens propre du terme).
Au niveau du « scénario », on a rarement vu tant d’incongruités et d’ignorances dans un script. Des requins à Venise ? La stupidité n’a décidément aucune limite. À cela, on ajoute une pseudo-chasse au trésor qui explique intégralement en quoi elle consiste (tant la nature dudit trésor que son emplacement) dans les cinq minutes d’explications où l’on voit batailler de pauvres croisés dans un flashback anémique. On rappelle que le but d’une aventure telle que la quête d’un trésor ou autre objet précieux est d’émerveiller et d’entretenir une part de mystères. Là, on se contente d’une morne ballade dans les canaux de Venise. Pour le ménagement du suspense, on repassera.
Avec tout cet amas d’imbécillités, on en oublierait presque nos chers requins qui sont clairement relégués au second plan. Un squale qui fonce tête baissée dans la caméra, des hurlements étouffés dans un gargouillis de bulles et un peu de sirop d’érable finissent d’achever une réalisation vomitive. Comme si cela ne suffisait pas, les hors-champ succèdent à des stock-shots tirés de documentaires animaliers. Il est amusant de constater que la fainéantise poursuit son chemin sans le moindre scrupule puisque la plupart des plans s’avèrent identiques aux précédents et, lorsque des images de synthèse pointent le bout de leurs dents, elles se révèlent aussi furtives qu’abominables.
Inintéressant au possible, Shark in Venice remet même en question sa propre existence. Un requin qui joue les filles de l’air, des « acteurs » au sommet de leur nullité, ainsi qu’une absence totale d’intérêts font de ce film une ignoble farce surgit des profondeurs que l’on aurait préféré ignorer. Dernier détail qui finit de convaincre du dédain du réalisateur pour cette chose : le générique de fin commence par une musique qui se termine subitement sans que rien ne soit fait pour y succéder. Qu’importe puisque la plupart des spectateurs auront déserté l’écran depuis la moitié du film.
publié le 06/02/2009 - 12:29
Mamma ! Y'a uno requin sous ma fenêtre !
L’ami Dorian lui à bien tout compris, et sincèrement, la il faut arrêter il ne faut surtout pas que ce genre de film trouve preneur parce que la trop c'est trop.
Quand on sait que des gars comme Spielberg, Jeannot Szwarc et d’autres on sué sang et larmes pour nous offrir des films de requins de haute qualité, et quand d’autres qui ne ce sont vraiment pas emmerder la vie arrive à nous les pondre (et trouvant leurs publique) on peut ce dire que faire un film n’a plus de mérite et même le dernier des abruties y’arriverais.
Par contre la ou Dorian ce trompe c’est que c’est effectivement un NU IMAGE et depuis qu’il on commencer avec leur Shark attack ici Sharh attack la, Shark attack va t’faire ! Et bien toujours la même rengaine c'est-à-dire qu’ils sont toujours pas compris que leurs stock shots d’océan national géographique ne se prête nullement au film.
Voir Shark in Venise n'est qu'une perte de temps et franchement faudrait arreté car la c'est plus le fond qu'on touche...
publié le 11/11/2008 - 11:36
Gondolier, t'en souviens-tu ?