B13-U - Banlieue 13 : Ultimatum
Critiques spectateurs
Réalisateur: Patrick Alessandrin Avec Cyril Raffaelli, David Belle, Alaa Oumouzoune, Milan Ojdanic, Moussa MaaskriInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 07/07/2012 - 14:52
Mon avis
publié le 19/09/2010 - 19:30
Toujours aussi subtil
publié le 13/06/2010 - 16:41
Un peu mieux que le premier !
Ce volet contient de bonnes scènes d'actions et quelques cascades tout comme pour son prédécesseur. Ce qui fait le plus par rapport au premier est la bonne dose d'humour, qui est plus présente, et qui rend le film plus agréable à regarder. De plus, j'ai beaucoup apprécié la présence de la Fouine.
Cependant, comme pour le premier volet, le scénario n'est pas non plus très recherché mais cela ne me dérange pas trop puisque le film est très sympathique à voir.
Ce deuxième Banlieue 13 est donc un vrai plaisir à regarder avec l'action et l'humour, même si le film est assez simpliste.
publié le 11/05/2010 - 19:05
De la wesh wesh attitude
publié le 19/10/2009 - 21:48
Yo !
publié le 28/08/2009 - 02:14
Bien en forme, bien au fond...
Bon, si je vous dis que c'est Luc Besson, metteur en scène émérite, mais scénariste mongoloïde qui a signé/chié le scénario, ça vous parle? Ben oui, c'est forcément mal écrit, blindé d'illogismes, dialogué avec les pieds, consternant de bout en bout, pathétique, navrant, pitoyable, incompréhensible de la part d'un adulte pourtant intelligent (sinon ils n'aurait pas fait autant de bons films)... mais pourtant bien là, sous nos yeux effarés et notre cervelle insultée... Comment ce gars surdoué pour la mise en scène, mais au QI de légume quand il s'agit d'écrire une ligne ("Taxi" et consors) peut s'obstiner à pondre les scénars de ses productions sans se poser de questions??? Inconscience? Stupidité? Nombrilisme? Mystère...
Scénario manichéen au possible, aux personnages creux et caricaturaux à l'extrême, "voulant dénoncer" des choses qui le dépasse complètement car demandant un minimum (voire un maximum) de subtilité et de recul, celui-ci court-circuite le film à la base, anéantissant toute possibilité d'en faire autre chose qu'un gros nanar "qui dépote et se regarde entre potes!". Yo! T'as vu la pure rime de fÔlie bâtard? Je suis MC (Masteure ov Cérémony, rien que ça) DJ Perfect Loser pour vous servir... ou plutôt se servir en piquant la thune des abrutis qui achètent mes déjections mentales! Oui, car en plus la "musique" de caillera va vous pourrir les oreilles pendant tout le film, histoire de s'assurer de vous achever au cas où les somptueux "dialogues" de Bulle Caisson (puissant jeux de mots faisant référence aux films mariniers qui ont fait la gloire d'Unlucky Besson) ne l'aient déjà fait...
Avouons que si on supporte la connerie ambiante et les raccourcis faciles, on passe un bon moment. Les scènes d'action sont vraiment bien rythmées, chorégraphiées, et spectaculaires... mais il n'y a que ça! Heureusement qu'elles sont nombreuses...
Si comme moi vous ne pouvez pas saquer la sale caillera, baronne de sa poubelle, princesse de son trottoir (- "Oh, mais tu marches sur mon trottoir! Tu as l'autorisation???"), que pour vous une racaille à la mer c'est la pollution, mais que 1000 c'est la solution (lol), vous prendrez un plaisir malin à la voir se faire dézinguer pendant une partie du film, même si celui-ci cherche maladroitement (ou hypocritement?) à la défendre, en faisant passer les flics pour des connards, et pour la voir s'unir pour combattre les élus, et "causer biZness" avec le président... Mouaaaahahaha! La fin est tellement incroyablement bête et naïve que l'on se dit que même un enfant n'aurait pas osé l'écrire... Alors un adulte...
C'est vrai qu'il n'y a pas que des Prix Nobels chez les poulets, que certains coqs font plus office de poules, et que lorsque l'on rencontre certains "défenseurs de l'ordre" on a peur. D'accord une fois je me promenais gaiement (non, pas gayment!) dans Paris avec un de mes meilleurs amis qui est noir. Là des flics "avec des couilles" nous arrêtent et demandent à mon ami ses papiers, mais pas à moi. Quand je leur fais remarquer que c'est un peu (beaucoup) douteux, ça s'énerve et y'en a un qui me met ses couilles hypertrophiées sous le nez pour me montrer "qui est le patron". D'accord, j'aurais dû éviter de leur dire qu'ils sont risiblement moins courageux dans les quartiers chauds, et que ma petite soeur peut aussi appréhender deux honnêtes citoyens en pleine rue passante des Champs Elysées... lol! Mais il ne faut pas généraliser, ils ne sont pas tous aussi cons et faussement testostéronés...
Avec Luc Besson, les racailles sont des victimes (les pÔvres, ils se font gronder après avoir tabassé une vieille de 94 ans comme ma grand-mère il y a 1 an), et les flics sont des salops fascistes, racistes et abusant de leur pouvoir au nez et à la barbe de la société permissive... Putain, mais grandis un peu Luc!
Bref, vous l'aurez compris, un film marrant dans la forme, mais qui ne vaut rien dans le fond! Un film bien en forme, mais qui vous la met bien au fond, bien profond...
PS. Quand je parle de la racaille, je ne parle que des boulets aux QIs de géraniums qui ne foutent rien (et ne savent rien foutre, de toutes façons), insultent et agressent continuellement les gens, absolument pas des jeunes de banlieues, bien plus méritants que nous, qui font tout pour s'en sortir...