Quantum Apocalypse

Désolé mais cette énième production Nu Images se démarque encore une fois ci par son manque de rythme hyper pesant, vous poussant à coup sur vers les chemins du sommeil...

Le scénario est grossièrement improbable, on nage constamment dans les eaux troubles de la bêtise avec cette histoire à dormir debout et au dénouement lourdingue. L’interprétation est quasi anecdotique ponctuée de dialogues creux et de pleurnicheries en tout genre à la limite du risible.

Je me démarque de certains commentaires précédents, ce film n'a pas grand chose de divertissant ; au contraire j'ai été agacé et je me suis forcé à vouloir regarder la fin.

La majeure partie du film on est face aux états d’âmes de ces pseudo personnages à la psychologie stéréotypée...Les maquillages sont aussi nul que l'ensemble déjà traitée et les FX sont tellement rares qu'on les sublimes à chaque apparition... malheureusement on comprend vite qu'on est devant un sous-produit avec tout ce qui va avec.

Conclusion : Violons et Pleurnicheries

Bonus Time : Le Tsunami en mode Nu Images

Une comète bouleverse l’espace-temps de notre univers. La conséquence : la formation d’un trou noir qui n’en est pas un et qui menace notre planète à l’échelle nationale (parole du président des Etats-Unis !). Il me sera difficile de trouver un quelconque intérêt à ce téléfilm ridicule. Aussi, je vais essayer de décrire tous les défauts du film et croyez-moi, ils sont nombreux ! Commençons par le scénario. On se trouve en présence d’une énième menace intercosmique risquant de provoquer la disparition de notre bonne vieille planète et accessoirement l’extinction de notre espèce. Quand on voit comment l’on traite notre Terre et le résultat final de ce misérable Quantum apocalypse, on est en droit de penser que ce n’est pas plus mal. L’histoire dispose d’un nombre effarant d’incohérences. Entre l’envoi de l’accélérateur de particule de Genève dans l’espace (pour rappel il fait 27 km de diamètre et est enfoui à 100 mètres de profondeurs) et les autres solutions farfelues de l’équipe de scientifiques, on se dit que l’on touche le fond ou plutôt, on décolle vers des sommets astronomiques de stupidités en tout genre. Second point noir et non des moindres : les acteurs. Dans la famille personnage à la ramasse aussi crédible qu’un poireau dans un champ de maïs (il n’y a aucun rapport), je demande le président des Etats-Unis. Si Morgan Freeman fut l’un des plus prestigieux interprètes pour cette fonction à haute responsabilité dans Deep impact, nul doute que Peter Jurasik devient le pire président de toute l’histoire du cinéma. Pataud, benêt, incompétent, il est doté d’un charisme aussi élevé qu’une méduse échouée sur une plage de sable fin. On continue avec la scientifique punk qui a la faculté de voir sa mèche de cheveux virés du vert clair au vert foncé. Magie du cinéma, cette mèche semble plus disparate sur certains plans. Assurément la plus exaspérante de cette équipe d’idiots finis. Elle cherche ses mots si bien que l’on soit l’impression d’être en fasse d’une simple d’esprit ou qu’elle improvise. Ce qui m’amène à un autre défaut : les dialogues. On perd volontairement le spectateur dans un charabia incompréhensible en espérant qu’il n’y verra que du feu. D’ailleurs il n’est pas sûr qu’ils comprennent eux-mêmes ce qu’il raconte. S’ensuis des situations toutes plus inutiles les unes que les autres où la parlotte prévaut sur l’action. On attend avec impatience le dénouement pour mettre un terme à nos souffrances. O surprise, le final est à l’image du film : lamentable. Bref, Quantum apocalypse est un film catastrophe dans le premier sens du terme. Il n’y a rien de louable dans cette entreprise. Lent, absurde, insignifiant. Ce n’est pas les quelques secondes où l’on voit des bâtiments s’envolés dans une purée de pixels ou un tsunami aussi furtif que ridicule qui me contrediront. Passez votre chemin, une daube sans nom.