Delivery
Critiques spectateurs
Réalisateur: Jose Zambrano Cassella Avec Matthew Nelson, Tara Cardinal, Kevin J. O'Neill, Trhea Danae, Jeremy King, Vinny DeMauro, Gail BowenInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 08/07/2012 - 01:07
Pauvre monty
publié le 11/07/2011 - 23:19
Petit bijou sorti de nulle part...
Au bout d'une demi-heure, j'avais plus vraiment envie de glisser ma main dans le sachet de chips...
A ma grande surprise, et malgré tout agréable fut-elle, "Delivery" est loin d'être un film popcorn, il est également à des années lumières d'être un banal slasher, là on peut le dire, les deux gaillards du dvdshop se sont vachement bien vautrés ! Il faut dire que moi aussi, mais j'avais eu la chance de l'avoir quand même acheté... Enfin bref, je cesse de tourner autour du pot, je vais vous expliquer ce qu'il y a de si bon dans ce film : c'est une série Z, un mauvais film sympathique mais ce n'est pas un nanar ! Oui, étrange cas, certes rare, mais il existe !
Je m'explique : dans n'importe quelle autre série Z, on aurait eu affaire à un slasher à 2 de Q.I mais comme je l'ai dit précédemment, ici, ce n'est pas le cas, il va falloir attendre une bonne heure avant de voir notre héros passer à l'action mais cette heure elle-même se montre digne de ce que je désignerais comme un vrai film d'horreur ! Oui, si dans les premières minutes, on constate que l'on se trouve dans une banlieue où tous les habitants sont des enfoirés à part les personnages principaux, au fur et à mesure que le film avance, on s'identifie et on s'attache énormément à cette grosse boule de graisse symbolisant le personnage moyen dans la société dont tout le monde se moque, celui qui n'a jamais rien fait de bien méchant mais sur lequel tout le monde s'acharne, sa tâche paraît de plus en plus insupportable et son parcours psychologiques est parsemé de rêves terribles sur son enfance, la meilleure scène est sans doute celle ou notre héros, étant enfant, explique qu'il veut devenir comme son père. Cela réfère à l'âge où les parents sont pour nous des héros auquels ont veut absolument ressembler, mais ce pauvre Monty fut victime d'un tragique destin qui le conduit pendant une heure vers une impasse dont personne ne peut s'échapper : la folie. Une fois qu'il a perdu tout espoir, nous nous trouvons à une heure de film, il reste une demi-heure mais quelle demi-heure ! Le sang gicle et coule beaucoup, les meurtres sont réjouissants de cruauté mais, paradoxalement, plutôt inquiétants car lorsqu'on réfléchit bien, le désespoir pourrait également nous mener à cet horrible état d'esprit...
Alors, bien sûr, c'est un tout petit film avec un budget riquiqui et cela se voit : il y a bien sûr des défauts, surtout d'un point de vue technique, les effets spéciaux sont perfectibles et l'image n'est pas de qualité formidable, "Delivery" n'est qu'une petite série Z en toute somme honnête mais ambitieuse : elle tient plus à montrer un personnage principal en relief dans un contexte réel vicitime d'une épreuve psychologique trop intense plutôt que tenter de nous distraire à coup de scènes gores et de dialogues trop inutiles, et c'est pour cela que j'ai parfaitement le droit de me montrer très indulgent envers cette toute petite production que trop de spectateurs blasés qualifiraient de "mauvaise"...
publié le 02/04/2009 - 20:51
Livreur de pizza psychopathe...
publié le 08/03/2009 - 12:40
Mon avis
publié le 26/02/2009 - 13:44
Film sans sauce piquante
Quoi qu'il en soit, même si il est autant charismatique qu'un beignet, je me suis quand même pris de sympathie envers ce brave nounours que tout les malheurs du monde lui serait tombé dessus, car oui déjà à sa plus tendre enfance, Jean-Luc Lahaye aurait pu lui faire une chanson du genre : Maman trop conne, Papa trop con, pleure paaaas, pleure paaaas bébé vie de meeeerde...
Mais Morty, lui un beau jours décidera de se révolté, mais en attendant il ne dit rien... il ait comme ça Morty, il veut être comme tout le monde, alors il prend son mal en patience et nous fait poiroter gentillement 1h00 avant de passer à l'acte.
Cela dit, parce qu'il est en programme de réinsertion, sa gentil psychiatre lui trouve une place d'agent d'entretien dans le domaine du cinéma... ben tiens j'vais m'faire passé pour fou, moi aussi j'ai eu un décès traumatisant dans ma famille, j'aurais du jouer dessus pour que l'on me déniche un emploi ou l'on pourrait côtoyer du beau monde !
Bon bref, même si Morty fait de la peine, ça ne cachera pas la colère de se faire balader en espérant que la dernière partie soit percutante...résultat, à part une tête tranchée et un joli coup de perceuse dans le front, Morty se révèle quand même avare en meurtres gore, mais pas en ingéniosité, une électrocution collective, bien pensée mais vraiment pas aidé par les effets spéciaux et la pizza aux organes et ce pourquoi il la crée reste bien pensé.
Sinon tous les personnages sont énervants, même toutes les gonzesses dénudée paraissaient d'une connerie affligeante comme c'est pas permis, la jolie artiste peinte qui franchement on pourrait se demandé qu'elle était sa place dans le film, et ainsi que le patron de la pizzeria que n'importe qui dans ce bas monde lui aurait mit son poing en pleine figure, en nous disant un quart de ce qu'il a pu dire à Morty.
Mais bon si tout ces personnages sont tant énervant, c'est justement pour bien faire comprendre au spectateur quel genre de plaie doit ce tapé ce pauvre livreur de pizzas tout les jours (mais le problème c'est que c'est peut être vrai, mais on ressent que c'est grossièrement exagéré)
Bref, Délivery, n'est pas déplaisant pour autant, mais ne restera pas non plus dans les mémoires, quoi que, mon frangin est livreur de pizzas et sa femme et enceinte... j'vais leur passé le film pour voir si ça va pas (surtout à elle) leurs rester dans la mémoire...
publié le 22/01/2009 - 19:13
La pizza est froide...
publié le 17/01/2009 - 20:47
Bad Delivery