Piranha 3D
Critiques spectateurs
Réalisateur: Alexandre Aja Avec Elisabeth Shue, Jerry O'Connell, Steven R. McQueen, Ving Rhames, Jessica Szohr, Kelly Brook, Riley Steele, Christopher LloydInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 09/03/2025 - 16:56
Un mélange des genres efficace
Contrairement à ce qu'on pourrait croire, il ne s'agit ni d'un remake ni d'une suite du film de Joe Dante. Le seul point commun entre les deux films est la présence des pinanhas, est là encore il y a une distinction puisque il s'agit ici de créatures préhistoriques, donc n'ayant pas mutées via une expérience humaine.
De plus, l'ambiance du film fait très teen movie, avec en plus un regard porté sur la pornographie. Donc, on peut dire que ce film se démarque aisément de ce qui avait été fait avant sur le sujet.
Pour autant, Aja n'en n'oublie pas le côté gore qui avait fait le succès de ses films précèdents, on se retrouve donc ici avec des morts assez brutales, même si l'effet 3D n'aide pas toujours dans l'immersion visuelle.
Les piranhas sont plutôt réussis, le numérique est ici bien employé pour leur donner un aspect assez réaliste.
On reprend aussi le cliché touristique du film "Les dents de la mer", appuyé par la séquence du grand massacre orchestré lors du rassemblement de Spring Break.
Je peux comprendre l'indignation des fans de la saga de voire ce film partir dans une direction différente, jouant plus sur le côté sexy de ses personnages et de la comédie à outrance mais c'est qui fait en même temps la force du film de Aja, ne pas singer l'oeuvre de Joe Dante mais trouver son propre style.
J'ai plutôt été emballé par cette proposition qui n'est certes pas un des meilleurs films du réalisateur mais qui arrive tout de même à instaurer une ambiance et jouer sur plusieurs genres de manière réussi.
publié le 13/07/2013 - 19:49
Mon avis
publié le 26/02/2013 - 20:07
50% nichons 50% poisson
Violente c'est le mot. Du jamais vu, on suit nos petits carnassiers à nageoires jusqu'à leur proie et les voyons se goinfrer allègrement dans un bain de sang et de boyaux, ça change du classique "bain à remous au ketchup". En prime, au lieu de nous servir le piranha classique on exibe son ancêtre, une espèce préhistorique, qui a la bonne idée de nous montrer une bande de poissons non seulement voraces mais aussi à l'aspect nettement plus agressif et massif.
En dehors du massacre perpétré par nos amis aquatiques on peu retrouver l'intellect estudiantin moyen des américains lors de la scène de viandage principale (mémo: ne pas avoir les cheveux longs lorsqu'un hors-bord est à proximité). Mais l'amateur de viande fraîche peu aussi s'en mettre plein les mirettes grâce à un ballet aquatique féminin ainsi que quelques délires d'un caméraman complètement accro aux seins (des nichons volants!) et obsédé par sa chose (scène délectable et amusante avec un charmant poisson).
On se fout de l'histoire dans les grandes lignes, les personnages étant vraiment peu attachant (Christopher Lloyd excepté), vu que le principal c'est de voir le jeunot se faire rétrécir par une horde de piscidés affamés. C'est bien dommage, un peu de profondeur aurait sûrement rendu le film moins lourdingue par moments.
publié le 22/01/2013 - 20:54
Mon avis
J'ai pris beaucoup de plaisir à regarder Piranha, pas seulement pour son nombre incalculable de bimbo à l'écran ou sa sublime scène du ballet aquatique... j'ai surtout apprécié sa débauche de gore, la scène de l'attaque massive des piranhas lors de la fête est une véritable tuerie, une boucherie extraordinaire ou le sang et les tripes giclent de partout, ça m'a rappelé "les dents de la mer" la panique qui s'en dégage, et là, je reconnait bien Aja qui excelle dans ce genre... jouissif.
J'ai aussi apprécié son ambiance, le Spring Break y est particulièrement bien rendu, surtout si on s'équipe d'un bon casque audio, on à l'impression d'y être... L'humour aussi, certes souvent en dessous du slip mais pas trop, c'est pas lourd du tout. Les acteurs sont correct sans plus, mais la seule présence de Christopher Lloyd dans le rôle du gérant de l'animalerie suffit à me faire oublier les autres... non je plaisante, j'ai pas oublié Kelly Brooks non plus.
publié le 19/10/2012 - 22:37
Tout simplement vain
Complaisant jusqu'à la nausée, Alexandre Aja, qu'on a connu pourtant plus inspiré, tente de pallier les défaillances du scénario par une surenchère de scènes censées être sexy puis une demi-heure de gore débridé: l'échec est total. Les scènes gavées de bimbos sont répétitives et interchangeables, l'exposition, qui dure tout de même près de trois quarts d'heure, ne sert qu'à présenter des personnages stéréotypés et dénués d'intérêt, l'humour est lourd et pathétique... Quant à la demi-heure gore, elle est certes efficace par moment mais, à trop hésiter entre burlesque à la Evil Dead et horreur pure, ne convainc pas au final.
Bref, un coup dans l'eau.
publié le 30/12/2011 - 18:45
Out !
publié le 28/10/2011 - 13:40
Sauvé par les piranhas
publié le 31/08/2011 - 10:32
Pour ados
publié le 26/06/2011 - 21:11
Les piranhas sont de retour
publié le 25/06/2011 - 21:51
Euh... non
publié le 05/05/2011 - 18:54
Mon avis
Une petite ville d’Amérique, dotée d’un lac somptueux, est le lieu choisi pour organiser un Spring Break. Ce rassemblement de tous les excès sera perturbé par des piranhas préhistoriques libérés d’une une faille au fond du lac créée par un léger séisme. Malgré les alertes préventives des autorités, les fêtards continuent comme s’y de rien était et s’exposent à un atroce carnage…
L’objectif de ce film n’est pas de tenir le spectateur en haleine par un scénario virtuose et alambiqué. Le minimum syndical requis est présent ici pour justifier l’apparition des bêbêtes, faire monter doucement la pression et s’attacher un tant soit peu aux multiples protagonistes. Hé oui comme Aja est un malin, il a su multiplier les personnages plus ou moins attachants, mais toujours dignes d’intérêt, pour élargir son potentiel de victimes. Et des victimes il y en a besoin car le carnage va durer longtemps, et les morsures, sur toutes les parties du corps (j’ai bien dis toutes…), ou les décès de toutes sortes vont surabonder. Le carnage est visuellement très réussi en originalité et en drôlerie. Ce n’était visiblement pas attendu de tous, mais ce film n’est pas à prendre au sérieux pour profiter de sa dimension burlesque et de son auto dérision.
C’est justement sur ce point qu’Aja mérite le respect et qu’il faut bien avouer que les Américains forment un peuple étonnant. Aja à su les séduire pour mieux les tourner en ridicule, et les ricains, si puritains mais gros consomMateurs de films X, savent se moquer des leurs propres travers sans aucun complexe. Malgré la présence d’un français aux manettes, je suis heureux que ce film se dispense de French Touch en s’évitant de moraliser foncièrement des propos qui ne s’y prête pas.
L’interprétation est globalement à la hauteur de la furie ambiante et beaucoup d’apparitions font bien plaisir, E. Roth et C. Lloyd en tête. Je ne vois guère de chose à rajouter sur ce point, si ce n’est qu’une bonne partie du casting est sponsorisé par Sopalin (heu… excusez-moi…).
J’ai donc adoré ce film totalement débridé et décomplexé où tous se lâchent, d’Alexandre Aja à Kelly Brook. D’ailleurs, lorsque cette dernière se lâche… c’est… bien… très très bien… [silence évocateur] Si vous êtes bien averti et conditionné pour ce film à prendre au second degré, avec des filles qui font grimper les degrés, vous devez visionner ce film de gré... ou de force…
publié le 06/04/2011 - 14:47
Assez satisfaisant.
publié le 01/04/2011 - 13:19
N'importe quoi
De plus J'avais reçu deux avis totalement opposés sur ce film.
L'un me disant que c'était une belle m... à ch..... !
L'autre était plus nuancé, me déclarant que la scène finale était aux petits oignons. Etant donné que je suis friand de scènes de massacres (mon petit coté psychopathe) je me suis quand même dit qu'il fallait que je vois ce film pour trancher.
Bon ben force est de constaer que je suis passé complètement à coté de ce film!
Premièrement que c'est moche, mais moche ! Les piranhas sont horribles (je parle du design pas de leurs gueules), difficile de regarder un film avec des effets spéciaux aussi moches.
Deuxièmement j'accroche pas du tout aux piranhas! De fait les morts les plus marrantes ne sont pas provoqués par ces petites bêtes! A quoi servent-elles à part grignoter ? Il n'y à aucun plaisir à voir ces ados ce faire bouffé !
Troisièmement, aucune histoire et personnages inexistants
En bref, un film voguant sur le fan service (sang et loches) sans grand intérêt
publié le 30/03/2011 - 12:21
Sympatique !
publié le 22/03/2011 - 12:08
A gore et à cris
publié le 21/03/2011 - 20:48
Piranhas, piranhas, mes chers piranhas
publié le 19/03/2011 - 23:07
Piranha ha ha
publié le 07/03/2011 - 21:41
Sea, Sex, Blood and... no Brain
Bien sûr le film "dépote", mais qu'à la fin en fait. Que le choix de faire un film totalement déconnatoire soit pleinement assumé, avec du sexe, des nichons, des femelles stupides et peu farouches, et des mâles encore plus stupides et très farouches; c'est bien, mais encore faut-il correctement le faire! Cela ne signifie pas non plus que le scénario doive être d'un néant aussi absolu, blindé de scènes longues et inutiles avec des protagonistes inexistants. Beaucoup de séquences "djeuns" qui s'amusent lassent rapidement car sont: 1. Trop attendues, 2. Mal écrites et tirées en longueur, 3. Interchangeables et sans répercussions sur l'histoire, 4. N'arrivant pas à rendre les personnages un tant soit peu intéressants, surtout les secondaires qui n'existent pratiquement pas. Et si il y a une chose que les bons scénaristes savent, c'est qu'une histoire est encore plus forte quand les protagonistes "de soutien" sont attachants.
Ici, les principaux ont déjà peine à nous intéresser. Heureusement que les têtes d'affiches sont bien choisies, mais on s'attache finalement plus aux acteurs qu'aux personnages...
Alors que se passe-t-il dans un tel film quand il n'y a pas d'histoire, et des scènes de remplissage faussement branchées à gogo? Et bien sachant qu'il fonctionne entièrement sur le principe de surenchère, et que le clou est à la toute fin, ça signifie que le début est faiblard, avec des scènes sympas ça et là, noyées dans un océan de vacuité, et que l'intérêt va grandissant, mais uniquement pour le côté spectaculaire tant attendu.
Donc, sans histoire bien écrite, ni situation forte, ni personnages réellement charismatiques, le film ne démarre vraiment qu'aux 2/3, vers la 55e minute, quand les Piranhas commencent vraiment à festoyer. Mais encore une fois, par rapport à ce que j'avais entendu, j'imaginais encore plus spectaculaire et délirant. C'est bien dégueulasse, parfois très très fun, mais terriblement prévisible, et à part un écart hilarant (le gros con - excellent Jerry O'Connell - obsédé du cul, boulotté jusqu'à la taille, qui se préoccupe encore de sa bite, les Piranhas se la disputant pour enfin nous la recracher à la gueule), le reste même si très sanglant, est finalement très "politiquement correct"...
En fait le film ne vaut que pour ses interprètes principaux qui sont attachants, et font ce qu'ils peuvent avec des personnages d'une rare vacuité, et surtout une débauche de FXs et de séquences gores, qui est bien défoulatoire, à défaut d'avoir une réelle raison d'être.
Enfin, je ne l'ai pas vu en 3D, mais la manière dont c'est filmé n'a pas l'air de beaucoup profiter de cet interraction visuelle avec le public. Si la mise en scène est très efficace, elle semble peu tenir compte de cette nouvelle dimension qui implique pourtant obligatoirement d'autres choix de placement de caméra ou de déplacements à l'intérieur de celle-ci.
Voilà, un film pop-corn assumé comme tel, mais qui aurait énormément gagné à avoir une histoire plus solide, et surtout des dialogues mieux écrits, en accord avec l'esprit potache et cynique de l'ensemble...
publié le 23/01/2011 - 20:29
Sexy et dégueulasse !
Le film commence tout doucement où l’on suit un jeune adolescent qui rejoint le bateau des Wild Wild Girls et puis avec la vision de jeunes femmes en bikini ou les seins nus. Au bout de la quarantième minute, le film nous punit lourdement d’avoir joué les voyeurismes. C’est l’heure de l’attaque des piranhas : un carnage ! Le film nous sort une cascade de scènes gores, très dégueulasses en l’espace de quelques minutes, avec une sensation insoutenable avec tous ces cris de terreur. Le rythme du film a littéralement explosé et ne sait nous offrir que du sang. Certaines scènes sont vraiment horribles (la fille qui avait ses cheveux coincé à l’hélice du bateau). Une vraie boucherie ! Par la suite, on découvre les dégâts de cette attaque, une séquence marquante et tragiquement horrible à la vue de cette femme, portée par deux hommes qui se déchire en deux par exemple. Avec tout ceci, le film se montre assez nerveux avec en prime des scènes ne se montrant pas au sérieux (la scène du pénis). A côté de ces "horribles"choses, il y a des éléments plus réjouissants comme les belles scènes sous l’eau et la bande son qui est agréable. Le film se finit en queue de poisson et laisse présager une suite.
Piranha 3D est donc un très bon film d’horreur bien dégueulasse rendant un bel hommage aux dents de la mer.
publié le 21/01/2011 - 10:47
L'été sera sanglant
Alexandre Aja décide donc de véhiculer les stéréotypes du survival animalier pour notre plus grand plaisir. Des protagonistes sans grandes épaisseurs, mais des plus enjoués compte tenu de ce qui les attend. D’ailleurs, l’accroche de l’affiche « Sea, sex and blood » résume à elle seule ce que vous offrira le film. Des naïades qui se trémoussent sur fond de musique techno, des jeunes survoltés, un producteur de film porno complètement à l’ouest, tout est réunit pour offrir au spectateur un banquet digne de ce nom. Le déroulement est assez classique, mais lorsque les piranhas passent à l’attaque, on nous octroie un festival d’hémoglobines, de démembrements et de curages d’os sans nul autre pareil.
Direct et sans ambages, les petits poissons ne font pas dans le détail. L’attaque de la plage est à ce titre un moment d’anthologie où les victimes s’amoncellent dans des eaux écarlates. Une véritable débandade qui voit son lot de morts toutes plus horribles les unes que les autres et ce n’est pas forcément les piranhas qui en sont toujours responsables. Les clins d’œil aux références du genre (le film original bien entendu, mais surtout Les dents de la mer) fusent à tout vent et s’avère des plus jouissifs. On retiendra la participation de Richard Dreyfuss qui nous offre une introduction des plus sympathiques.
Bref, Piranha 3D est un survival animalier dans la plus grande tradition du genre. Les moyens, plutôt conséquents pour ce genre de production, nous offre une véritable orgie de gore et de tripailles à la volée sans jamais se soucier d’un quelconque réalisme. Qu’importe, étant donné que le plaisir est au rendez-vous et qu’il est de bon ton de prendre tout cela à la légère. Foncièrement classique dans le fond, il demeure un film des plus distrayants où les vacances se transforment en véritable cauchemar. Décomplexé, Piranha 3D se révèle une distraction certaine.
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